Calculatrice scientique graphique programmable, fonctions base N,
statistiques à une et deux variables, probabilités, fonctions arithmétiques et
trigonométriques, programmation.
Nous sommes heureux de vous compter aujourd’hui parmi les nombreux
utilisateurs des produits Lexibook® et nous vous remercions de votre
conance.
Depuis plus de 15 ans, la société française Lexibook conçoit, développe,
fabrique et distribue à travers le monde des produits électroniques pour tous,
reconnus pour leur valeur technologique et leur qualité de fabrication.
Calculatrices, dictionnaires et traducteurs électroniques, stations météo,
multimédia, horlogerie, téléphonie… Nos produits accompagnent votre
quotidien.
Pour apprécier pleinement les capacités de la calculatrice graphique GC460,
nous vous invitons à lire attentivement ce mode d’emploi.
Avant la première utilisation
Avant de démarrer, veuillez suivre attentivement les étapes suivantes :
1. Retirez avec précaution la languette de protection du compartiment à pile
en tirant sur l’extrémité de la languette.
2. Si la languette reste coincée, dévissez le compartiment à pile à l’aide d’un
tournevis et retirez la pile, puis la languette. Replacez ensuite une pile
CR2032 en respectant la polarité comme indiqué dans le compartiment
de l’appareil (côté + au-dessus). Remettez ensuite en place le couvercle
du compartiment et la vis.
Français
Reset
Vis
3. Positionnez la calculatrice dans le couvercle pour accéder au clavier.
4. Retirez la pellicule statique protectrice de l’écran LCD.
5. Appuyez sur la touche [AC] pour mettre la calculatrice en marche. Vous
verrez alors la lettre D et un curseur clignotant apparaître sur l’écran. Si
ce n’est pas le cas, vériez l’état de la pile et recommencez l’opération
Français
(voir si nécessaire le chapitre « Précautions d’emploi »).
6. Localisez le trou du RESET au dos de l’appareil. Insérez une pointe ne
(un trombone par exemple) et appuyez doucement.
Pour plus d’informations concernant la pile, l’importance de RESET et de la
sauvegarde de vos données, voir le chapitre « Précautions d’emploi ».
1. PRISE EN MAIN DE VOTRE CALCULATRICE
Mise en marche et arrêt de la calculatrice
[AC]
[SHIFT]
[OFF]
Afchage et symboles utilisés
Votre calculatrice est une calculatrice scientique, graphique et
programmable. Il y a un type d’écran correspondant à chacune de ces
applications. Pour tout ce qui concerne les applications graphiques et la
programmation, se référer aux chapitres correspondants.
L’afchage correspondant aux fonctions usuelles est le suivant :
Mise en marche de la calculatrice.
Mise à zéro.
Note : quand votre calculatrice se remet en marche après
avoir été éteinte, elle est réglée par défaut en mode
décimal (DEC), avec virgule ottante et des mesures
d’angles en degrés D .
Arrêt.
Après 6 minutes environ de non utilisation, la calculatrice
s’éteindra automatiquement.
D
99
-1.031914894
Sur la ligne du bas vous pouvez visualiser en alphanumérique les opérations
saisies.
La ligne du bas afche un résultat numérique avec 10 chiffres signicatifs,
ou bien 10 chiffres signicatifs plus 2, en haut sur la droite, de notation
scientique (voir paragraphe “Notation scientique”).
Exposant
Mantisse
A l’écran vous trouverez un certain nombre de symboles (ici seul D est
afché). Ces symboles vous donnent des indications qui vous permettent
une meilleure lisibilité des opérations en cours :
Signe moins pour indiquer que le nombre afché est
négatif.
S’afche pour indiquer que le calcul en cours est trop long
pour être afché en entier. Dans ce cas appuyer sur [ ]
ou [ ] pour afcher le reste du calcul.
Indique que la valeur afchée est un résultat intermédiaire,
voir le paragraphe « Calculs successifs » sur une ligne, ou
le chapitre « Programmation ».
La fonction MODE est activée.
La fonction SHIFT est activée.
La fonction ALPHA est activée.
S’afche quand le calcul excède les limites permises
ou qu’une erreur est détectée. Les différents messages
d’erreur, leurs causes et leurs remèdes sont détaillés dans
le chapitre correspondant, « Messages d’erreur ».
Français
hyp
FIX
SCI
D
R
G
Réglage du contraste de l’écran
[MODE]
[ ] , [ ]
Au centre de la calculatrice sous l’écran, vous trouverez les èches [ ] ,
[ ] , [ ] et [ ]. Pour l’instant nous nous intéresserons à [ ] et [ ].
Pour régler le contraste, appuyez une fois sur [MODE] et ensuite appuyez
sur [ ] pour baisser le contraste, ou sur [ ] pour l’augmenter. Si le
contraste n’augmente pas lors de cette manœuvre c’est probablement
que le niveau de piles est faible et qu’il faut les changer ; référez-vous aux
conseils et aux instructions sur le changement des piles en n de manuel.
S’afche quand la fonction hyperbolique est activée.
Indique que le résultat sera afché avec un nombre
déterminé de chiffres après la virgule.
Indique que le résultat sera afché avec un nombre
déterminé de chiffres signicatifs.
S’afche en mode degré ou quand la mesure d’angle
afchée est en degrés.
S’afche en mode radian ou quand la mesure d’angle
afchée est en radians.
S’afche en mode grade ou quand la mesure d’angle
afchée est en grades.
Réglage du contraste de l’écran.
Note :
la touche [MODE] doit être pressée pour chaque utilisation de [ ] et [ ].
Fonctions secondes et fonctions alphanumériques (SHIFT et ALPHA)
[SHIFT]
Français
[ALPHA]
[SHIFT]
[A-LOCK]
Le plus souvent les touches de votre calculatrice comportent au moins deux
fonctions, voire trois ou quatre. Elles sont repérées par des couleurs et par
leur position autour de la touche qui sert à y accéder.
Par exemple :
Accès aux fonctions secondes, signalées en orange au
dessus de la touche concernée.
Accès aux fonctions alphanumériques, signalées en rouge
au dessous à droite de la touche concernée.
Accès en continu aux fonctions alphanumériques
(verrouillage de la fonction ALPHA), annulation en
appuyant sur [ALPHA] de nouveau, ou sur [EXE].
-1
sin
Sin
D
ID
l sin est la fonction principale, en accès direct par pression de la touche.
l sin-1 est la fonction seconde, il faut appuyer sur [SHIFT] puis sur la touche
concernée ( S apparaît brièvement à l’afchage).
l D est la fonction alphanumérique, il faut appuyer sur [ALPHA] puis sur
la touche concernée ( A apparaît brièvement à l’afchage). Il s’agit
principalement de touches pour les mémoires ou la saisie de texte.
l ID et les autres fonctions indiquées en bleu sont des fonctions
accessibles uniquement lors des calculs en Base N, vous trouverez les
détails de cette fonction au chapitre correspondant.
De même, les fonctions signalées entre
fonctions statistiques qui seront détaillées dans le chapitre correspondant.
Si vous appuyez une fois sur la touche [SHIFT], le symbole S s’afche sur
l’écran pour indiquer que [SHIFT] est activée et que vous pouvez accéder
aux fonctions secondes. Le symbole s’éteint dès que vous appuyez sur une
autre touche ou que vous appuyez une nouvelle fois sur [SHIFT].
De même si vous appuyez une fois sur la touche [ALPHA], le symbole A
s’afche sur l’écran pour indiquer que [ALPHA] est activée et que vous
pouvez accéder aux fonctions alphanumériques. Le symbole s’éteint dès
que vous appuyez sur une autre touche ou que vous appuyez une nouvelle
fois sur [ALPHA].
Si vous souhaitez utiliser plusieurs fois de suite des fonctions
alphanumériques sans que ce soit fastidieux vous pouvez utiliser [SHIFT]
[A-LOCK]. Le symbole A reste allumé et vous accédez en continu aux
fonctions alphanumériques tant que vous n’aurez pas appuyé sur [ALPHA]
pour annuler le réglage, ou [SHIFT] si vous voulez passer directement à une
fonction seconde.
Notations utilisées dans le manuel
Dans ce manuel les fonctions seront indiquées comme suit (en reprenant
l’exemple précédent):
principale [sin]
seconde [SHIFT] [sin
-1
]
alpha [ALPHA][D]
Les touches [0] à [9] seront notées 0 à 9 (sans crochets) pour faciliter la
lecture.
Les calculs et les résultats seront présentés comme suit :
description saisie -> afchage alphanumérique | ligne résultat
Ex :
Pour effectuer le calcul (4+1)x5= le processus sera noté ainsi :
[(] 4 [+] 1 [)] [x] 5 [EXE] -> (4+1)x5 | 25.
Lorsque cela ne nuira pas à la compréhension d’un exemple, la partie la plus
à gauche pourra être omise.
Français
Touches usuelles
0 - 9
[+]
[-]
[x]
[÷]
[EXE]
[.]
Touches de chiffres.
Addition.
Soustraction.
Multiplication.
Division.
Donne le résultat.
Insertion de la virgule pour un nombre décimal.
Ex :
pour écrire 12,3 -> 12[.]3
[SHIFT]
[(-)]
[(], [)]
Change le signe du nombre qui sera rentré immédiatement après.
5 [x] [SHIFT] [(-)] [5] [EXE] -> -25.
[DEL]Efface le caractère à l’endroit où se trouve le curseur.
Vous pouvez saisir dans votre calculatrice vos calculs et ceux-ci s’inscrivent
en bas à gauche dans un style alphanumérique facile à lire et à corriger.
Une fois le calcul saisi et le résultat obtenu en appuyant sur [EXE], il est
facile de revoir et modier votre calcul grâce aux èches [ ], [ ].
Remarques sur la saisie de calculs :
Vous pouvez saisir en une seule fois un calcul jusqu’à une longueur de 127
caractères ; à noter que même si une fonction telle que sin-1 nécessite de
taper sur 2 touches et qu’elle s’afche à l´écran en plusieurs lettres, elle
n’est comptée que pour un caractère par la calculatrice. Si vous arrivez à
121 caractères la calculatrice vous préviendra en changeant la forme du
curseur de _ à .
Si votre calcul est excessivement long, mieux vaut le découper en plusieurs
parties.
Ex :
Vous avez effectué la saisie suivante :
Pour déplacer le curseur et éditer un calcul.
[ ] pressé une fois alors que le résultat numérique est
afché fait apparaître la ligne de calcul alphanumérique et
place le curseur en bout de ligne.
[ ] pressé une fois alors que le résultat numérique est
afché fait apparaître la ligne de calcul alphanumérique et
place le curseur en tête de ligne.
Si vous appuyez sur [ ] vous retrouvez l’afchage alphanumérique de votre
calcul et le symbole
être afché entièrement.
l Vous voulez modier 27 en 7 dans le calcul
Vous positionnez le curseur à l’aide de la touche [ ] pour vous placer sur
l’endroit de correction, c’est-à-dire le 2.
Appuyez sur [DEL] pour supprimer le 2. Si vous appuyez sur [EXE], le
résultat devient -450.
10
vous indique que le calcul est trop long pour pouvoir
Votre calculatrice vous permet, si vous le souhaitez, de saisir plusieurs
calculs à réaliser successivement sur une seule ligne, puis de les exécuter
en appuyant sur [EXE]. La calculatrice effectue alors le premier calcul saisi ;
elle afche le résultat intermédiaire et le symbole Disp pour vous indiquer
que l’exécution des calculs n’est pas terminée. Si vous appuyez sur [EXE] la
calculatrice passe au deuxième calcul et ainsi de suite jusqu’au dernier, pour
lequel Disp s’éteint.
l On ne peut pas éditer les calculs tant que Disp est afché et que
le dernier calcul n’est pas atteint, sauf si on appuie sur [AC] pour les
interrompre.
l Dans l’exemple précédent, si on appuie une fois de plus sur [EXE] le
calcul recommence (l’écran afche 93. et Disp ).
l Voir aussi pour ces calculs comment effectuer le rappel du résultat
précédent, fonction Ans dans le chapitre suivant.
Marque de séparation entre deux calculs consécutifs
saisis sur une même ligne.
Interrompt l’exécution de calculs consécutifs.
9-18 4x6-2 50x12 | 93. Disp
Disp
Français
Notation scientique et ingénieur
La GC460 afche directement le résultat d’un calcul (x) en mode décimal
normal si x appartient à l’intervalle suivant :
0.000000001≤ |x| ≤ 9999999999
Note :
|x| est la valeur absolue de x, soit |x|= –x si x‹0 et |x|=x si x≥0.
En dehors de ces limites la calculatrice afchera automatiquement le résultat
d’un calcul selon le système de notation scientique, les deux chiffres en
haut à droite représentant l’exposant du facteur 10.
Carré de 2 500 000 et son inverse
2500000 [X2][EXE] -> 25000002 | 6.2512 soit 6,25 x 10
[X-1][EXE] -> 6.25E12-1 | 1.6
La notation dite ingénieur découle du même principe, mais pour cette
Français
notation il faut que la puissance de 10 soit un multiple de 3 (103, 106,109
–13
soit 1,6 x 10
etc.). En reprenant l’exemple précédent :
6,25 x 1012 s’écrit aussi 6.25 12 en notation ingénieur, mais 1,6 x 10
s’écrira 160.
–15
Choix de la notation
12
-13
-13
[EXP]
[ENG]
Ou
[SHIFT] [
Flèche au-dessus
de la touche
[ENG]
Saisie d’une valeur en notation scientique.
Passage en notation ingénieur:
• Chaque fois que l’on appuie sur [ENG] l’exposant
diminue de 3.
]
• Chaque fois que l’on appuie sur [SHIFT] [
l’exposant augmente de 3.
]
Pour un nombre qui se situe dans l’intervalle précédent, votre calculatrice
vous permet de le saisir directement en notation scientique, an d’éviter la
saisie répétitive de zéros.
Ex :
Pour entrer 2 500 000 soit 2,5 x 106 en notation scientique :
2 [.] 5 [EXP] 6 [EXE] -> 2.5E6 | 2500000.
Pour entrer 2 500 0002 soit (2,5 x 106 )2 en notation scientique :
2 [.] 5 [EXP] 6 [X2] [EXE] -> 2.5E62 | 6.25
Pour entrer 0.016 soit 1,6 x 10-2 en notation scientique :
1 [.] 6 [EXP] [SHIFT] [(-)] 2 [EXE] -> 1.6
E
-2 | 0.016.
12
Pour passer à la notation ingénieur, en reprenant les exemples précédents :
2 [.] 5 [EXP] 6 [EXE] -> 2.5E6 | 2500000.
[ENG] -> 2.5
[ENG] -> 2500.
[ENG] -> 2500000.
[ENG] -> 2500000000.
Lorsque vous xez le nombre de chiffres après la virgule d’une valeur par un
réglage Fix, vous ne modiez que l’afchage de cette valeur et non la valeur
mémorisée par la calculatrice, qui comporte 24 chiffres signicatifs.
Si vous le souhaitez vous pouvez modier la valeur mémorisée pour
continuer vos calculs avec une valeur arrondie, selon le nombre de chiffres
après la virgule demandé. En reprenant l’exemple précédent :
Lorsque vous xez le nombre de chiffres signicatifs d’une valeur par un
réglage Sci, vous ne modiez que l’afchage de cette valeur et non la valeur
mémorisée par la calculatrice, qui comporte 24 chiffres signicatifs.
Si vous le souhaitez vous pouvez modier la valeur mémorisée pour
continuer vos calculs avec une valeur arrondie, selon le nombre de chiffres
signicatifs demandé. En reprenant l’exemple précédent :
ce mode d’afchage est compatible avec [ENG] :
100000 [÷] 3 [EXE] -> 100000÷3 | 33333.33333
[MODE][8] 5 [EXE] -> Sci 5 | 3.3333
[ENG] -> 33.333
04
03
Priorités de calcul
Quand il y a plusieurs opérations à réaliser dans un calcul, votre calculatrice
les évalue et détermine l’ordre dans lequel les effectuer, en fonction des
règles arithmétiques. Cet ordre de priorités est le suivant :
1. Les opérations entre parenthèses, et, en cas de plusieurs niveaux de
parenthèses, la dernière parenthèse ouverte.
2. Les fonctions utilisant un type d’exposant telles que X
ainsi que le changement de signe [(-)].
3. Les fonctions de type cos, sin, ln, e
x
…
-1
, X2, √, Xy et x√,
4. Les fonctions de saisie d’une donnée, telles que [º ’’’] et [A B/c].
5. Les multiplications et divisions (la multiplication peut être implicite, par
exemple 2cosπ).
6. Les additions et soustractions.
7. Les fonctions qui signalent la n d’un calcul ou mettent en mémoire une
valeur : [EXE], [], [DT], etc.
Sci
Sci
Lorsque les opérateurs sont de même niveau de priorité la calculatrice les
effectue tout simplement par ordre d’apparition de gauche à droite. Au sein
des parenthèses l’ordre des priorités est conservé.
Votre calculatrice fait la différence entre les différents niveaux de priorité et, au
besoin, mémorise les données et les opérateurs jusqu’à la bonne résolution
du calcul, et ce jusqu’à 24 niveaux différents d’opérateurs et 10 niveaux de
valeurs numériques intermédiaires pour un calcul en cours. Ces niveaux sont
appelés ¨stacks¨ en anglais ; si votre calcul est très compliqué et dépasse
les possibilités pourtant étendues de votre machine vous verrez apparaître le
message suivant Stk ERROR (dépassement de la capacité ¨stacks¨).
24 [÷] [(] 4[+]6 [)] [EXE] -> 24÷(4+6) | 2.4
Le résultat (2,4) est automatiquement mémorisé dans la mémoire Ans.
On peut alors calculer 3x ANS + 60÷ANS
3 [x] [ANS] [+] 60 [÷][ANS] [EXE] -> 3xANS+60÷ANS | 32.2
Calculs en chaîne
Il s’agit de calculs pour lesquels le résultat du calcul précédent sert de
premier opérande du calcul suivant. Vous pouvez notamment utiliser dans
ces calculs les fonctions [√], [X2], [sin],...
Calculs successifs
L’utilisation de Ans est impérative pour les calculs successifs écrits sur une
ligne :
54 [+] 39 [ALPHA][ ] [Ans] [-] 18 [EXE] -> 93. puis en appuyant sur
[EXE] : 75
Mémoires temporaires (A - Z)
[ALPHA][A]
[][ALPHA][A]
[EXE]
[ALPHA] [~]
Rappelle le contenu de la mémoire A pour
utilisation dans un calcul.
Stocke la valeur afchée ou à calculer dans la
mémoire A.
Permet d’accéder au contenu de plusieurs
mémoires en même temps.
Ex :
5 [] [SHIFT] [A-LOCK] [A][~][D] [EXE] assigne
la valeur 5 aux mémoires A, B, C et D.
Rappel : [SHIFT] [A-LOCK]=[SHIFT][ALPHA], verrouillage de
[ALPHA]
Efface le contenu de toutes les mémoires
temporaires.
15
Votre calculatrice dispose de 26 mémoires temporaires, A, B, C, D, E…, Y, et
Z. Ces mémoires temporaires vous permettent de stocker des données pour
rappel et utilisation dans des calculs futurs.
Vous pouvez employer [], [ALPHA] pour chacune des touches [A], [B],
[C], [D], …. [Y] et [Z]. Rappel : la lettre accessible via [ALPHA] est inscrite en
Français
rouge et se trouve en bas à droite de la touche concernée. Ex : A se trouve
en bas à droite de la touche [X-1].
Note :
il est possible de modier le réglage de la calculatrice pour disposer
de plus de 26 mémoires temporaires. La procédure à suivre est expliquée
dans le chapitre « Programmation ».
Ex :
5 [] [ALPHA] [X] [EXE] -> 5
[-] 3 [] [ALPHA] [X] [EXE] -> 5.-3
6 [x] [ALPHA] [X] [EXE] -> 6xX | 12.
[ALPHA] [X][EXE] -> X | 2.
Les deux premières lignes de calcul modient la valeur de X (X=5 puis 2), le
calcul 6xX utilise la valeur de X mais ne la modie pas.
X | 5.
X | 2.
5 [] [SHIFT] [A-LOCK] [A] [~][E] [EXE] -> 5
A,B, C, D et E contiennent maintenant toutes la même valeur, 5.
[ALPHA] [B] [x] [ALPHA] [C] [EXE] -> BxC | 25.
[SHIFT][Mcl] [EXE] -> Mcl | 25.
[ALPHA] [D] [EXE] -> D | 0.
L’utilisation de [SHIFT][Mcl] a annulé le contenu de toutes les mémoires.
On souhaite réaliser l’opération suivante :
Articles en stock le matin = 200
Articles livrés dans la journée : 5 boîtes de 12 et 9 boîtes de 6
Articles vendus dans la journée : 2 boîtes de 24
Quantité de pièces en stock à la n de la journée ?
Si chaque pièce coûte 3,50€, valeur du stock.
On met en mémoire le nombre de pièces en stock au départ :
200 [] [ALPHA] [A] [EXE] -> 200
On rajoute les pièces livrées et on retranche les pièces vendues :
[+] 5 [x] 12 [+] 9 [x] 6 [-] 2 [x] 24 [
-> 200.+5x12+9x6-2x24
Le stock est de 266 pièces.
Et pour calculer la valeur du stock on fait :
3 [.] 5 [x] [ALPHA] [A] [EXE] -> 3.5xA | 931.
Calculs de pourcentage
] [ALPHA] [A] [EXE]
A | 266.
[SHIFT] [%]
Ex :
Il y a 312 lles sur 618 élèves au lycée, pourcentage de lles ?
312 [÷] 618 [SHIFT] [%] | 50.48543689 soit 50,5%
Prix original 200 Euros, quel pourcentage de variation si le prix change pour
220 Euros ou 180 Euros :
220 [-] 200 [SHIFT] [%] -> 220-200 | 10. soit 10% de hausse
180 [-] 200 [SHIFT] [%] -> 180-200 | -10. soit 10% de baisse
a = 3, b=1 et c=2. a est la partie entière de x, c’est-à-dire x= 3 + = 3,5
En fait
x = 3
x = 3
–
2
1
–
2
1
–
2
En notation d/c, d=7 et c=2.
Votre calculatrice vous permet d’effectuer un certain nombre d’opérations
arithmétiques exprimées ou converties en fractions.
a, b et c peuvent être remplacés par un calcul entre parenthèses. Cependant
dans certains cas on pourra obtenir un résultat décimal mais pas un résultat
en fractions.
La somme d’une fraction et d’un nombre décimal (à partie décimale non
nulle) aura pour résultat un nombre décimal et ne peut pas être reconvertie
en fraction.
On peut utiliser une fraction en tant qu’exposant :
l pour effectuer un calcul tel que + , si on utilise [SHIFT] [X-1] on
1
1
–
–
6
7
n’obtiendra qu’un résultat décimal et non exprimable en fractions.
Français
6 [X-1] + 7 [X-1] [EXE] -> 6-1+7-1 | 0.3095238095
l pour une fraction telle que :
24
–
4 + 6
On peut utiliser la notation a b/c pour obtenir un résultat en fractions. Il faut
saisir le calcul comme suit :
24 [a b/c] [(] 4 [+] 6 [)] [EXE] -> 24
[a b/c] -> 24
On appelle factorielle de n! ou factorielle n! le nombre suivant :
n! = 1 x 2 x 3 x.....x (n-2) x (n-1) x n
n! représente le nombre de façons différentes d’arranger n objets distincts
(n! permutations).
Ex :
8 chevaux sont au départ d’une course hippique. Combien de combinaisons
y a t il de leur ordre d’arrivée ?
Nombre de permutations de leur ordre d’arrivée = n! avec n = 8.
8 [SHIFT] [n!] [EXE] -> 40320.
Génération de nombre aléatoire (fonction Random)
[SHIFT] [Ran#]
[EXE]
Ex :
[SHIFT] [Ran #] [EXE] -> Ran # | 0.256
[EXE] -> 0.84
[EXE] -> 0.511
... etc.
Note :
il s’agit de générer une valeur aléatoire, donc en faisant la même
manipulation vous ne trouverez pas les mêmes résultats que dans ce
manuel !
Calcul de la factorielle n!
Votre calculatrice permet de calculer la factorielle n!
jusqu’à n=69 (voir chapitre des « Messages d’erreur »).
Génère un nombre aléatoire ≥ 0 et <1, avec trois
chiffres signicatifs.
Pour générer le chiffre suivant appuyez sur [EXE].
Français
Pour tirer les chiffres du Loto (entre 1 et 49) :
[MODE] [7] 0 [EXE]
mode Fix, avec 0 chiffres après la virgule, on veut afcher des nombres
entiers.
[SHIFT] [Ran #] [x] 48 [+] 1 [EXE] génère, compte tenu des arrondis, un
nombre compris entre 1 et 49.
[SHIFT] [Ran#] [x] 48 [+] 1 [EXE] -> RAN#x48+1 | 39.
[EXE] -> 32.
[EXE] -> 17.
[EXE] -> 2.
Afche la valeur approchée de la constante �, avec dix
chiffres signicatifs, soit 3,141592654.
Ex :
Périmètre et surface maximaux d’une roue de Formule 1, le diamètre
maximal étant de 660mm.
On calcule le rayon (diamètre divisé par 2) exprimé en mètres, puis on
applique les formules 2�r et �r2 :
2 [SHIFT] [�] [ALPHA] [Y] [EXE] -> 2�Y | 2.073451151
[SHIFT] [�] [ALPHA] [Y] [X2] [EXE] -> �Y 2 | 0.34211944
Le périmètre est donc de 2,1 m et la surface de 0,34 m2.
Remarque : la multiplication est implicite, nous n’avons pas eu besoin
d’appuyer sur la touche [x].
Unités d’angles
Choix de l’unité d’angle et conversions
[MODE] 4 [EXE]
[MODE] 5 [EXE]
[MODE] 6 [EXE]
Sélectionne les degrés comme unité d’angle active.
Le symbole D s’afche à l’écran.
Sélectionne les radians comme unité d’angle active.
Le symbole R s’afche à l’écran.
Sélectionne les grades comme unité d’angle active.
Le symbole G s’afche à l’écran.
[SHIFT] [MODE] 4
(ou 5 ou 6) [EXE]
Note :
le réglage se conserve lorsque la calculatrice est éteinte et rallumée.
Convertit la mesure d’angle introduite en degrés (ou
radians ou grades) dans l’unité active.
Vériez bien l’unité active avant d’effectuer votre calcul !
Ex :
[MODE] [6] [EXE] -> Gra | 0.
Pour convertir 90 degrés en radians :
[MODE] [5] [EXE] -> Rad | 0.
90 [SHIFT] [MODE] 4 [EXE] -> 90
Un panneau routier indique une pente à 5%. Donner la mesure de l’angle en
degrés et en radians.
Si la pente est à 5% l’altitude augmente de 5m tous les 100m. Le sinus de
l’angle à trouver est de 5 divisé par 100, soit 0,05.
Initie la saisie des coordonnées cartésiennes pour
conversion en coordonnées polaires.
Initie la saisie des coordonnées polaires pour
conversion en coordonnées cartésiennes.
Utilisé avec [SHIFT] [Pol(] ou [SHIFT] [Rec(], se
place entre x et y, ou r et pour signaler la saisie de
ème
la 2
coordonnée.
Parenthèse terminant la saisie du couple de
Français
coordonnées.
Afche la première coordonnée après conversion, x
ou r.
Afche la deuxième coordonnée après conversion, y
ou .
2
= tan-1 (y/x)
On appelle x et y les coordonnées cartésiennes, ou rectangulaires, r et
sont les coordonnées polaires.
Note :
l’angle sera calculé dans l’intervalle [-180º,+180º] (degrés
décimaux) ; la mesure d’angle sera donnée dans l’unité d’angle qui a été
présélectionnée sur la calculatrice : en degrés si la calculatrice est en mode
Degré, en radians si la calculatrice est en mode Radian, etc.
Les coordonnées sont stockées dans les mémoires temporaires I et J après
conversion ; comme les autres mémoires temporaires elles peuvent être
rappelées à tout moment et utilisées dans d’autres calculs.
[SHIFT] [Pol(]6 [SHIFT] [,] 4 [)] [EXE] -> Pol (6,4) | 7.211102551
La calculatrice afche directement le résultat pour la première coordonnée,
r= 7.211102551
[ALPHA] [J] [EXE] -> J | 33.69006753
J représente la valeur de , soit 33.69 degrés.
Si on souhaite revoir la valeur de r :
[ALPHA] [I] [EXE] -> I | 7.211102551
l conversion de r= 14 et = 36 degrés
[SHIFT] [Rec(] 14 [SHIFT] [,] 36 [)] [EXE] -> Rect(14,36)| 11.32623792
La calculatrice afche directement le résultat pour la première coordonnée,
x= 11.32623792.
[ALPHA] [J] [EXE] -> J | 8.228993532
[ALPHA] [I] [EXE] -> I | 11.32623792
5. CALCULS EN BASE-N
Pour mémoire
Changements de base
Nous effectuons nos calculs de façon courante en base 10. Par exemple :
1675 = (1675)10 = 1x103 + 6x102 + 7x10 + 5
En mode binaire, un nombre est exprimé en base 2.
1 s’écrit 1, 2 s’écrit 10, 3 s’écrit 11, etc.
Le nombre binaire 11101 est équivalent à :
(11101)2= 1x24 + 1x23 + 1x22 + 0x2 +1 = (29)
10
En mode octal, un nombre est exprimé en base 8.
7 s’écrit 7, 8 s’écrit 10, 9 s’écrit 11, etc.
Le nombre octal 1675 est égal à :
(1675)8= 1x83 + 6x82 + 7x81 + 5= (957)
10
En mode hexadécimal, un nombre est exprimé en base 16, les chiffres audelà du 9 étant remplacés par des lettres : 0123456789ABCDEF
9 s’écrit 9, 10 s’écrit A, 15 s’écrit F, 16 s’écrit 10, etc.
Le nombre hexadécimal 5FA13 est égal à :
(5FA13)16= 5x164 + 15x163 + 10x162 + 1x161 + 3= (391699)
Outre les fonctions arithmétiques +, -, x, ÷, (-), on utilise en base N des
opérateurs logiques qui sont des fonctions à une ou deux variables A et B,
notées :
l Not A (NON A ou inverse de A)
l And (ET)
l Or (OU)
l Xor (OU exclusif)
l Xnor (NON OU exclusif)
Les résultats des fonctions ci-dessus sont les suivantes en fonctions de A
et B :
ABNot AA and BA or BA xor BA xnor B
01
10
0010001
0110110
1000110
1101101
Français
Pour A et B plus grands que 0 ou 1, le résultat se calcule bit par bit sur
les valeurs exprimées en binaire. Par exemple si A=25=(19)16=(11001)2 et
B=(1A)16=(11010)2 :
A000000011001
B000000011010
A and B
000000011000
A xnor B111111111100
A and B = (11000)2 = (18)16 = (24)
A xnor B = (111111111100)2 = (FFFFFFFC)16 = (-4)
Lorsque la calculatrice est en Base N, le message BASE-N reste afché en
haut de l’écran, et un indicateur de base s’afche à droite :
l d pour décimal
l b pour binaire
Français
l o pour octal
l h pour hexadécimal
Pour éviter les confusions avec les noms des mémoires temporaires, les
chiffres hexadécimaux sont notés ainsi sur les touches de votre calculatrice :
A |A
B |B
C |C
D |D
E |E
F |F
Remarques sur le mode Base N :
l Les touches de fonctions correspondant au mode Base N sont indiquées
en bleu foncé en bas à gauche des touches concernées. Elles se trouvent
sur les 3
e
, 4e et 5e lignes de touches à partir du haut.
l Le mode est conservé même si la calculatrice est éteinte et rallumée.
l Si vous entrez une valeur incompatible avec la base choisie (ex : [SHIFT]
[Bin] 3, la calculatrice afchera Syn ERROR. Voir le chapitre « Messages
d’erreurs » pour plus de détails sur les valeurs admissibles en mode Base
N.
l La plupart des fonctions générales ne peuvent pas être utilisées en Base
N. Les paragraphes suivants détaillent les opérateurs admissibles.
l Vous pouvez utiliser les mémoires et les touches de mise en mémoire
et de rappel associées : [Ans], [ALPHA] [A]-[Z], [], [ALPHA] [~],
[SHIFT][Mcl] (voir chapitre « Utilisation des mémoires »).
Commandes du mode Base N et conversions
[MODE] [-]
[MODE] [+]
[Dec] [EXE]
[Bin] [EXE]
[Oct] [EXE]
[Hex] [EXE]
[SHIFT] └d┘ ou └b┘
ou └o┘ ou └h┘
28
Passe en mode Base N, BASE-N reste afché en
haut de l’écran.
Annulation du mode Base N, retour en mode normal.
Sélectionne la base 10 comme base active, d
s’afche.
Sélectionne la base 2 comme base active, b
s’afche.
Sélectionne la base 8 comme base active, o
s’afche.
Sélectionne la base 16 comme base active, h
s’afche.
Spécie que la valeur saisie immédiatement après
est en base 10 ou 2 ou 8 ou 16, lorsque la base active
est différente.
[MODE] [-] et [MODE] [+] vous permettent respectivement de passer au
mode Base N et retourner en mode normal, et il n’y a pas besoin d’appuyer
sur [EXE] après cette commande.
A partir de maintenant tous les exemples donnés dans ce chapitre sont
en Base N.
Il y a deux façons de convertir une valeur d’une base dans une autre :
Méthode 1 :
Une fois en Base N vous choisissez la base de la valeur à convertir. Vous
saisissez la valeur, puis vous changez la base.
Ex :
Conversion de (11101)2 en base 10 :
[Bin] [EXE] -> Bin |
11101 [EXE] -> 11101 | 11101
[Dec] [EXE] -> Dec | 29
Méthode 2 :
Une fois en Base N vous choisissez la base dans laquelle vous voulez
convertir une valeur. Ensuite vous spéciez la base d’origine et vous
saisissez cette valeur.
Ex :
Conversion de (11101)2 en base 10 :
[MODE] [-]
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [b] 11101 [EXE] -> b11101 | 29
b
b
d
d
d
Français
Autres exemples de conversion (les deux méthodes sont utilisées) :
Conversion de (5FA13)16 en base 8 puis 10 :
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
5 [|F] [/A] 13 [EXE] -> 5FA13 | 5FA13
[Oct] [EXE] -> Oct | 1375023
[Dec] [EXE] -> Dec | 391699
Conversion de (1675)8 en base 10 :
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [o] 1675 [EXE] -> o1675 | 957
Change le signe de la valeur saisie immédiatement
après, équivalent de la touche arithmétique [(-)].
Parenthèses.
Votre calculatrice vous permet de réaliser des opérations usuelles (addition,
soustraction, multiplication, division et parenthèses) en Base N. A noter
qu’en Base N on ne manipule que des nombres entiers ; si une opération
génère un résultat décimal, seule la partie entière de la valeur sera
conservée.
Vous pouvez, sur une même ligne de calcul, utiliser des nombres exprimés
en bases différentes. Le résultat sera donné dans la base active qui a été
présélectionnée.
Ex :
Si, en mode hexadécimal on soustrait 5A7 à 5FA13, cela donne :
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
5 [|F] [/A] 13 [-] 5 [/A] 7 [EXE] -> 5FA13-5A7 | 5F46C
On multiplie ce résultat par 12 :
[x] 12 [EXE] -> 5F46Cx12 | 6B2F98
ou
12 [x] [Ans] [EXE] -> 12xAns | 6B2F98
En mode binaire on effectue (11010 + 1110) ÷10 :
[Bin] [EXE] -> Bin | 0
[(] 11010 [+] 1110 [)] [÷] 10 [EXE]
-> (11010+1110) ÷10 | 10100
h
h
h
h
b
b
On ajoute (101)2 et le chiffre octal (12)8 et on veut un résultat en base 10 :
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [b] 101 [+] [SHIFT] [o] 12 [EXE]
-> b101+o12 | 15
On divise ce résultat par 12
[÷] 12 [EXE] -> 15÷12 | 1
Seule la partie entière du résultat de la division est conservé.
En mode hexadécimal on calcul le négatif de 1C6 :
[Hex] [EXE] -> Hex | 00000000 h
[Neg] 1 [|C] 6 [EXE] -> Neg 1C6 | FFFFFE3A
[+]1 [|C] 6 [EXE] -> FFFFFE3A+1C6 | 0
Fonction NON OU exclusif.
NON (inverse) de la valeur saisie immédiatement
après.
Votre calculatrice effectue ces calculs à partir des valeurs que vous avez
saisies, quelles qu’en soit la base initiale et les exprime directement dans
la base que vous avez présélectionnée. Le type de saisie effectué suit la
même méthode que pour les opérateurs arithmétiques vus au paragraphe
précédent.
Ex :
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
(19)16 OR (1A)16 en base 16
[Hex] [EXE] -> Hex | 0 h
19 [or] 1 [/A] [EXE] -> 19or1A | 1B h
(120)16 XOR (1101)2 en décimal
[Dec] [EXE] -> Dec | 0 d
[SHIFT] [h] 120 [SHIFT] [xor] [SHIFT] [b] 1101 [EXE]
-> h120xorb1101 | 301 d
NON de (1234)8 en base 8 puis 10, mise en mémoire dans la mémoire
temporaire G, et comparaison avec Neg (1234)
[Oct] [EXE] -> Oct | 0 o
8
[Not] 1234 [EXE] -> Not 1234 | 7777776543 o
[Dec] [EXE] -> Dec | -669 d
[] [ALPHA] [G] [EXE] -> -669
G | -669 d
[Oct] [EXE] -> Oct | 7777776543 o
[Neg] 1234 [EXE] -> Neg 1234 | 7777776544 o
[-] [ALPHA] [G] [EXE] -> 37777776544-G | 1 o
[Dec] [EXE] -> Dec | 1 d
On dispose de n données sur un échantillon de mesures, résultats,
personnes, objets... Chaque donnée est constituée d’un nombre (une
variable x) ou deux (deux variables x et y). On cherche à calculer la
moyenne de ces données et la répartition de ces données autour de la
moyenne, l’écart-type.
Ces données se calculent à partir de sommes que l’on notera :
∑x = x1+x2+x3+....x
2
∑x2= x
∑xy = x1y1+x2y2+x3y3+....x
Moyenne x=
écart type / déviation standard de l’échantillon pour x :
+x
1
2
s =
√
écart type / déviation standard de la population pour x :
=
o
√
variance V = s2 ou
Lorsqu’on a deux variables on essaie de déduire des données une relation
entre x et y. On étudie la solution la plus simple : une relation de type y=a+bx.
cov(x,y) est la covariance :
cov (x,y) =
La validité de cette hypothèse est vériée par le calcul suivant :
cov (x,y)
–
o
appelé coefcient de corrélation linéaire. Le résultat est toujours entre –1
et +1 et on considère bon un résultat supérieur ou égal à √3/2 en valeur
absolue.
Votre calculatrice vous permet d’obtenir aisément ces résultats, en suivant
les étapes suivantes :
l Choisissez votre mode statistique (une ou deux variables).
l Saisissez les données.
l Vériez que la valeur de n correspond bien au nombre de données
théoriquement saisies.
l Calculez la moyenne x et l’écart type (ou déviation standard)
de l’échantillon ou de la population, ainsi que les autres calculs
intermédiaires si nécessaire ([∑x], [∑x2]) à l’aide des touches
correspondantes.
l S’il y a deux variables, procédez aux mêmes calculs pour y (moyenne,
écart type), puis calculez la régression linéaire (a et b dans y=a+bx) et le
coefcient de corrélation linéaire.
l Si la corrélation linéaire est jugée valide, on peut alors calculer la valeur
estimée de y pour un x donné, ou la valeur estimée de x pour un y donné,
de par la relation y=a+bx.
Touches de fonctions statistiques
[MODE] [x]
[MODE] [÷]
[MODE] [+]Retour au mode normal.
[SHIFT] [Scl] [=]Remet à zéro toutes les données statistiques.
[DT]
[SHIFT] [,]
[SHIFT] [;]
[AC]
Passage en mode statistique à 1 variable. SD est
indiqué sur l’afchage.
Passage en mode statistique à 2 variables. LR est
indiqué sur l’afchage.
Enregistre les données : donnée1 [DT] donnée2
[DT] etc.
Pour entrer la même donnée plusieurs fois, appuyer
sur [DT] plusieurs fois à la suite.
Pour saisir y après x lorsqu’il y a deux variables :
x1 [,] y1 [DT] x2 [,] y2 [DT] etc.
Permet d’enregistrer plusieurs données identiques en
une seule saisie :
donnée1 [;] 3 [DT] ou x1 [,] y1 [;] 3 [DT] enregistre 3
fois la même valeur en mémoire.
Permet de corriger une saisie avant d’avoir appuyé
sur [DT].
8 [DT] -> 8. début de saisie des données.
9 [.] 5 [DT] -> 9.5
10 [DT] [DT] -> 10.
ou 10 [SHIFT] [;] 2 [DT] pour saisir deux fois la même valeur.
Et ainsi de suite :
10 [.]5 [DT]
11 [DT]
13 [DT]
13[.]5 [DT]
14 [.]5 [DT]
15 [DT]
On afche n et on vérie que le nombre afché correspond aux nombres de
valeurs saisies :
[ALPHA][W] EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 11.5
Leur moyenne est de 11,5.
Français
[SHIFT] [x
type recherché.
] [EXE] -> xon-1 | 2.34520788 soit l’écart
o
n-1
Si on veut calculer la variance on appuie sur
[x2][EXE] -> 2.345207882 | 5.5 c’est la variance.
Si on veut changer la première valeur, 8 en 14 :
8 [CL]
14 [DT]
On voit que n reste égal à 10 mais que la moyenne a été modiée :
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 12.1
On reprend l’expérience avec la composition de maths, à laquelle ils ont
obtenu les notes suivantes :
ElèveABCDEFGHIJ
note47.51288814.5171818
[SHIFT] [Scl] [EXE] -> Scl mise à zéro.
On peut vérier en faisant :
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 0.
Début de saisie des données :
4 [DT] -> 4 | 4.
7 [. ] 6 [AC] 7 [.] 5 [DT] -> erreur de saisie avant [DT] et correction.
13 [DT]
13 [CL]
12 [DT] -> erreur de saisie après [DT] et correction.
8 [SHIFT] [;] 3 [DT] -> on saisit 8 trois fois
Français
ou
8 [DT] [DT] [DT]
14 [.] 5 [DT]
Et ainsi de suite jusqu’à 18 [DT] [DT]
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 11.5
Leur moyenne est de 11,5 également.
[SHIFT] [x
] [EXE] -> xon-1 | 5.088112507
o
n-1
soit l’écart type recherché.
On constate que la moyenne est la même mais que l’écart type est plus grand
cette fois-ci : on peut en conclure qu’il y a plus d’écart entre les notes des
élèves, leur niveau est donc moins homogène en maths qu’en français.
A titre d’exercice, dans cet exemple (les notes de maths) on obtient les valeurs
suivantes pour ∑x et ∑x2 :
[ALPHA] [V] [EXE] -> 115. soit ∑x
[ALPHA] [U] [EXE] -> 1555.5 soit ∑x
2
Statistiques à 2 variables – exemple pratique
On a le tableau suivant où x est la longueur en mm et y le poids en mg d’une
chenille de papillon à différents stades de son développement.
X221215212121
Y552425404040
On passe en mode statistiques à deux variables :
[MODE] [÷] ->
LR afché
[SHIFT] [Scl] [EXE] -> Mcl mise à zéro
On commence la saisie :
2 [SHIFT] [,] 5 [DT] -> 2.
[DT] pour saisir la même valeur une deuxième fois :
[DT] -> 2.
12 [SHIFT] [,] 24 [DT] -> 12.
16 [SHIFT] [,] 25 [AC] erreur de saisie avant [DT].
15 [SHIFT] [,] 24 [DT]
15 [SHIFT] [,] 24 [CL] [EXE] erreur de saisie après [DT].
15 [SHIFT] [,] 25 [DT] correction.
21 [SHIFT] [,] 40 [SHIFT] [;] 3 [DT] pour entrer trois fois la même valeur
-> 21.
On vérie n :
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 7.
On afche les résultats de la régression linéaire :
[SHIFT] [A] [EXE] -> A | 1.050261097
[SHIFT] [B][EXE] -> B | 1.826044386
[SHIFT] [r] [EXE] -> r | 0.9951763432
r est supérieur à √3/2 = 0.866 environ, la validité de la régression est
vériée.
Grâce à la régression linéaire on estime y à partir de x=3 :
3 [SHIFT] [y] [EXE] -> 3y | 6.528394256
^
^
On estime x à partir de y=46 :
46 [SHIFT] [x] [EXE] -> 3x | 24.61590706
^
^
Avec les touches statistiques de votre calculatrice vous pouvez afcher
facilement tous les résultats intermédiaires, comme par exemple :
∑xy : [ALPHA] [R] [EXE] -> 3203.
[SHIFT] [y
] [EXE] -> 14.50967306
o
n
Régression non linéaire
Vous trouverez ci-dessous les types de régressions que vous pouvez
rechercher avec votre calculatrice, et les valeurs correspondantes que vous
devez rentrer pour x et y :
On soupçonne que x et y sont liés par une relation du type y=a’ xb et on
cherche à conrmer l’hypothèse en procédant de la façon suivante.
On saisit les valeurs en ajoutant les logarithmes de n=1 à n=4, par exemple
pour la première saisie (en n’oubliant pas de faire [SHIFT][Mcl][EXE]
avant !):
[ln] 0[.]5 [SHIFT] [,] [ln] 1[.]4 [DT]
Une fois les valeurs saisies, on obtient les valeurs de A, B et r suivantes :
A = 0,690213912
B = 0,515317442
r = 0,998473288
La régression de type puissance est vériée puisque r=0,998. On obtient A’
en calculant l’exponentielle de A :
[SHIFT][ex][SHIFT][A][EXE] -> eA= 1.994142059
Par approximation on peut dire que y ≈ 2x
7. FONCTIONS GRAPHIQUES
Dénitions et notations
Une courbe est la représentation graphique d’une fonction f, y=f(x), x étant
l’abscisse, sur l’axe horizontal, et y l’ordonnée, sur l’axe vertical.
Pour représenter une fonction graphiquement il est nécessaire de décider
d’une échelle, c’est-à-dire entre quelles valeurs on souhaite voir cette
fonction et comment on veut graduer les axes. Par exemple pour la fonction
y=x2 il n’est pas très intéressant de représenter la courbe pour y=-100…
La graduation des axes sera représentée par des points sur les axes et
permettent de mieux repérer les valeurs de x ou de y intéressantes : par
exemple pour y=ln x, graduation de 1, on voit facilement que y=0 pour x=1.
1/2
= 2√x.
L’échelle sera dénie par les valeurs suivantes :
X min, X max, et la graduation sur l’axe des X, Xscl.
Y min, Y max et la graduation sur l’axe des Y, Yscl.
Votre calculatrice comporte un certain nombre de courbes préprogrammées,
pour les fonctions sin, cos, x-1, ln, √… : pour celles-ci les échelles sont
prédénies et non modiables.
Tracer une courbe
[MODE] [+]
[Graph]
[Range]
[G T]
[SHIFT] [Cls]
[SHIFT] [Mcl]
[ ][ ][ ][ ]
Courbes préprogrammées
Pour tracer une courbe préprogrammée, il suft de faire :
[Graph] fonction [EXE].
Pour tracer une deuxième courbe préprogrammée, il y a deux possibilités :
- soit on souhaite tracer une courbe seule sur un nouvel écran, alors on
appuie de nouveau sur [Graph] fonction [EXE].
- soit on souhaite tracer la deuxième courbe sur le même écran que la
première, alors on appuie sur [Graph] fonction [ALPHA][X][EXE]. L’échelle
utilisée sera celle de la première courbe.
Passe au mode normal & mode graphique.
Initie le traçage d’une courbe :
- [Graph] fonction ou [Graph] fonction [Alpha] [X] pour
les fonctions préenregistrées.
- [Graph] suivi d’une expression de variable x.
Permet de saisir les valeurs d’échelle (Xmin, Xmax, Xscl,
Ymin, Ymax, Yscl).
Passe de l’afchage graphique à l’afchage normal et
vice versa.
Efface toutes les courbes.
Remet les valeurs d’échelle à leur valeur par défaut :
Xmin=-3,8
Xmax= 3,8
Xscl= 1
Ymin= -2,2
Ymax= 2,2
Yscl= 1
Change la position des axes pour afcher la partie de la
courbe située dans la direction de la èche.
Français
Ex :
Tracez la courbe y=sin x
Si vous n’êtes pas en mode normal appuyez sur [MODE][+].
[Graph] [sin] [EXE]
Tracez la courbe y=tan x en remarquant bien le changement d’échelle :
[Graph] [tan] [EXE]
Maintenant, tracez les deux sur le même graphique :
[Graph] [sin] [EXE]
[Graph] [tan] [ALPHA][X] [EXE]
Appuyez sur les touches [ ], [ ], [ ] ou [ ] pour visualiser les différentes
parties de la dernière courbe tracée et le déplacement des axes.
Vous pouvez tracer votre propre courbe en saisissant simplement
l’expression d’inconnue x que vous souhaitez représenter et l’échelle de
représentation.
Français
Ex :
Courbe y=x2+2x-3
Echelle : x entre –5 et +5, graduation de 2 en 2
y entre –10 et +10, graduation de 4 en 4
Et intersection avec la courbe y=1-x.
Ensuite on trace y =1-x sur le même graphique :
[Graph] -> Graph Y=
1[-] [ALPHA][X] -> Graph Y= 1-X
[EXE]
On voit sur le graphique qu’il y deux solutions à l’équation, x2+2x-3=1-x,
dont une évidente avec y=0 et x=1.
Pour tracer directement les deux courbes vous pouvez utiliser l’instruction
[ALPHA][ ] :
Graph Y=X2+2X-3 Graph Y= 1-X
Fonction Zoom
Français
[SHIFT] [Factor]
[SHIFT] [Zoomxf]Agrandit la courbe selon les paramètres spéciés.
[SHIFT] [Zoomxl/f]
[SHIFT] [ZoomOrg]
Cette fonction permet de visualiser une courbe sous divers agrandissements
ou réductions, ce qui vous permet de mieux étudier ses caractéristiques :
forme générale, points d’intersection… Il est intéressant de noter comment
dans l’exemple suivant que l’utilisation de [Range] avec les fonctions Zoom
permet de vérier les points d’intersection.
Ex :
Nous reprenons la courbe y=x2+ 2x-3 sans modier l’échelle.
Echelle : x entre –5 et +5, graduation de 2 en 2.
y entre –10 et +10, graduation de 4 en 4.
Une fois la courbe tracée on spécie des paramètres de l’agrandissement :
On peut donc vérier le point d’intersection entre la courbe et l’axe des x.
A noter qu’une fois l’échelle modiée manuellement avec [Range], celleci est dénitivement modiée et [ZoomOrg] afchera la courbe selon ces
paramètres.
Fonction Trace
Français
[Trace]
[ ], [ ]
[SHIFT] [X Y]
Cette fonction vous permet de déplacer le curseur sur la courbe avec les
èches et de visualiser la valeur de x ou y à l’emplacement du curseur.
Quelques points à retenir concernant cette fonction :
l le curseur se déplace de façon irrégulière, les valeurs de x et y sont des
valeurs approchées.
l La fonction Trace ne peut être utilisée que lorsque la courbe vient d’être
tracée. Elle peut cependant tout de même être utilisée après Range,
G
T et Factor.
l La fonction Trace ne peut pas être incluse dans un programme,
cependant on peut l’utiliser pendant une phase d’arrêt temporaire
d’un programme (Disp afché). Voir pour plus de détails le chapitre
Programmation.
Ex :
En reprenant l’exemple précédent :
Courbe y=x2+2x-3
Echelle : x entre –5 et +5, graduation de 2 en 2
y entre –10 et +10, graduation de 4 en 4
Une fois la courbe afchée on appuie sur [Trace] :
Place le curseur sur la courbe et afche la valeur de x
à la position du curseur.
Déplace le curseur sur la courbe.
Afche la valeur de y au lieu de celle de x à
l’emplacement du curseur, et vice versa.
[Trace] -> un curseur clignotant apparaît sur la courbe tout à fait
sur la gauche de l’écran
[SHIFT] [Value] -> la valeur de x s’inscrit. X=
-4.6875.
[ ] -> on appuie sur la èche et on observe que les
valeurs de x croissent et que le curseur se
Français
déplace sur la courbe.
On appuie sur :
[SHIFT][X Y] -> la valeur correspondante de y s’afche, Y=9.59765625
Fonctions Plot et Line
[SHIFT][Plot]
Place le curseur à l’endroit spécié.
x [SHIFT] [,] ySépare les coordonnées x et y pour la saisie.
[ ][ ][ ][ ]
[SHIFT] [Value]
à côté de INS
[SHIFT] [X Y]
[SHIFT] [Line]
Permet de déplacer le curseur à l’endroit souhaité.
Afche la valeur de x à la position du curseur.
Afche la valeur de y au lieu de celle de x à
l’emplacement du curseur, et vice versa.
Trace un segment entre le curseur et le point marqué
par Plot.
Plot permet de placer un point sur l’écran, on peut ensuite se déplacer à
l’aide des èches à partir de cette position. La fonction Line vous permet
ensuite de tracer un segment entre ces deux points. L’opération peut être
répétée plusieurs fois an de déterminer notamment des positions de points
sur la courbe avec une meilleure précision par projection sur les axes.
Si les valeurs proposées pour la fonction Plot sont situées en dehors des
valeurs Xmin/Xmax et/ou Ymin/Ymax, l’instruction sera ignorée.
Ex :
Avec la même échelle que précédemment.
[SHIFT][Plot] 2 [SHIFT][,] 4 [EXE] -> X=
1.875
Le curseur apparaît et une valeur approchée de x est afchée an appuyant
sur [SHIFT][Value].
Passage en mode écriture de programme. Le symbole
WRT s’afche.
Demande la saisie d’une valeur pendant l’exécution
d’un programme.
Donne le résultat intermédiaire ou nal. S’il s’agit d’un
résultat intermédiaire, Disp est afché.
le y peut être omis à la n d’un programme, sauf si le
programme se déroule en Base N
(voir « programmation avancée »).
45
Sur la ligne du bas vous voyez P suivi de numéros, cela indique que vous
pouvez mémoriser jusqu’à 10 programmes différents, appelés P0, P1, … P8,
et P9.
Si un programme a déjà été mis en mémoire, le chiffre est remplacé par un
tiret, ex : P012_45_789, si P3 et P6 existent déjà.
Français
Sur la droite vous avez un nombre à trois chiffres : celui-ci vous indique
le nombre de pas restants disponibles pour votre programmation. Un
pas correspond à un caractère ou une fonction (A, 1, +, cos, xy…), à part
quelques fonctions qui utilisent 2 pas (Prog et Lbl que nous verrons plus
tard). Il est facile de suivre l’évolution du nombre de pas :
- Lorsque vous écrivez un programme le nombre de pas utilisés par ce
programme s’afche.
- En suivant le déplacement du curseur avec les èches [
Le chiffre 0 clignote car le curseur se trouve à cet endroit. Appuyez sur
[EXE] pour commencer la saisie du programme P0.
Ex :
Vous souhaitez calculer le périmètre 2πr et la surface d’un cercle πr2 pour
différentes valeurs du rayon.
Ce programme va comporter les étapes suivantes :
[ALPHA] [?] Demande d’une valeur de rayon.
[ ][ALPHA] [R] Stockage dans la mémoire temporaire R.
[:] Passage à l’instruction suivante.
2 [SHIFT] [π] [ALPHA] [R] Calcul du périmètre.
[ALPHA] [ ] Obtention du résultat intermédiaire.
[SHIFT] [π] [ALPHA] [R] [X2] Calcul de la surface.
[ALPHA] [ ] Résultat nal et n de l’exécution (facultatif).
On l’omettra dans les autres exemples.
], [ ].
La saisie s’inscrit ainsi sur votre écran :
?
Et l’afchage indique un total de 12 pas.
Exécuter un programme
[MODE] [1]
[Prog] 0-9 Démarre l’exécution du programme spécié.
En reprenant l’exemple ci-dessus :
[Prog] 0 [EXE] -> ? attente de saisie.
5 [EXE] -> 31.41592654 c’est le périmètre ;
[EXE] -> 78.53981634 c’est la surface ; n de l’exécution.
46
R:2 π R πR2
Passage en mode éxécution de programme.
[MODE] [1] et [MODE] [2] permettent d’arrêter un
programme en cours d’exécution.
Si vous appuyez de nouveau sur [EXE] l’exécution du programme
recommence :
[EXE] -> ? attente de saisie.
0 [.] 33 [EXE] -> 2.073451151 c’est le périmètre ; Disp afché.
[EXE] -> 0.34211944 c’est la surface ; n de l’exécution.
Modier un programme
[MODE] [2]
[ ], [ ]
Passage en mode écriture de programme. Le symbole
WRT s’afche.
Pour déplacer le curseur.
[DEL]Efface le caractère à l’endroit où se trouve le curseur.
[SHIFT] [INS]
Insère un caractère immédiatement à gauche du
curseur d’insertion.
Lorsque vous appuyez sur [MODE] [2] vous revenez à la liste des
programmes. Sélectionnez le programme concerné à l’aide des èches et
appuyez sur [EXE] pour faire apparaître son contenu.
Ex :
Reprenons l’exemple précédent et modions le programme pour calculer la
surface 4 πr2 et le volume 4πr3/3 d’une sphère de rayon r.
[MODE] [1]
[Prog] 0 [EXE] -> ? attente de saisie.
5 [EXE] -> 314.1592654 c’est la surface;
Disp afché.
[EXE] -> 523.5987756 c’est le volume ; n de l’exécution.
Messages d’erreur
Il est possible que lors de l’exécution d’un programme, un message du type
P0 Syn ERROR apparaisse sur votre écran à la place du résultat attendu !
Ce message vous informe à la fois sur le type d’erreur (syntaxe) rencontré
et sur son emplacement, P0. Il ne vous reste alors plus qu’à suivre la
procédure de modication d’un programme pour le relire, identier et corriger
l’erreur en question… Vous pouvez vous référez au chapitre « Messages
d’erreur » pour vous y aider.
Message d’erreur ou pas, une fois que vous avez écrit un programme, il est
recommandé de vérier qu’il fonctionne comme il devrait. Pour cela testez-le
avec des valeurs simples et vériez que vous obtenez les mêmes résultats
en faisant le calcul à la main.
Effacer des programmes
Français
[MODE] [3]
[AC]
Passage en mode effacement de programme. Le
symbole PCL s’afche.
Efface le programme sur le numéro duquel se trouve le
curseur.
[SHIFT] [Mcl]Efface tous les programmes.
Note : lorsqu’on appuie sur [SHIFT] [Mcl] en mode PCL seuls les
programmes sont effacés, pas le contenu des mémoires temporaires.
Ex :
Si deux programmes, P0, P2 et P6 sont en mémoire, on veut effacer P2 puis
tous les programmes :
[MODE] [3] -> P _1_345 _789
[ ][ ] -> P _1_345 _789
[AC] -> P _12345 _789
[SHIFT] [Mcl] -> P 0123456789
572
PCL afché.
572
(_= curseur).
580
P2 effacé.
600
P0, P6 effacés.
Programmation avancée
Insertion de messages
[ALPHA] [“] texte
[ALPHA] [“]
[SHIFT] [A-LOCK]
([SHIFT][ALPHA])
[ALPHA][SPACE]
Pour afcher un texte entre 2 guillemets pendant
l’exécution d’un programme.
Verrouillage de la fonction ALPHA, pour taper
plusieurs lettres à la suite.
Permet de saisir un espace dans un message. Vous
pouvez en fait utiliser dans vos messages toutes les
touches alphanumériques (signalées en rouge sur
votre calculatrice).
Dans un programme il est parfois utile de pouvoir afcher des messages, en
particulier lorsqu’il y a plusieurs “?” pour saisir des données, ou pour clarier
lorsqu’il y a plusieurs résultats intermédiaires.
Le 2eme guillemet doit être suivi par [ALPHA] [ ] ou [ALPHA] [?] : ainsi le
texte reste afché tant qu’on ne rentre pas une valeur ou qu’on appuie pas
sur [EXE].
Lorsqu’on exécute le programme, cela donne :
[MODE] [1]
[PROG] 0 [EXE] -> R=? attente de saisie.
5 [EXE] -> P= Disp afché.
[EXE] -> 31.41592654 Disp afché.
[EXE] -> S= Disp afché.
[EXE] -> 78.53981634 c’est la surface; n de l’exécution.
Français
Si on veut rajouter [ALPHA] [SPACE] après R cela s’écrit :
[ALPHA] [“] [ALPHA] [R] [ALPHA] [SPACE] [SHIFT] [=] [ALPHA] [“]
Et à l’exécution un espace est inséré entre le R et le signe = :
-> “R =” ?“
→ R:
Saut inconditionnel
[SHIFT] [Lbl]
0-9
[SHIFT] [Goto]
Assigne une adresse à un emplacement dans un
programme.
La touche Lbl se trouve au niveau de la èche [ ]
Ordonne au programme de continuer son exécution
0-9
à l’endroit indiqué par [Lbl].
[MODE] 1, ou [AC]Interrompt l’exécution du programme.
Lorsque le programme rencontre l’instruction Goto, il se dirige vers l’adresse
indiquée par Lbl. Il y a alors deux cas de gure possibles :
- si Lbl est placé après le Goto correspondant, l’exécution « saute » une
partie du programme.
- si Lbl est placé avant le Goto correspondant, l’exécution se répète
Français
indéniment vu que cet ordre n’est pas soumis à condition : on parle alors
de boucle sans n. Vous aurez alors besoin d’interrompre vous-même
l’exécution du programme.
Ex :
Reprenons notre programme sur le calcul du périmètre et de la surface d’un
cercle de rayon r.
“R=” ?→ R : “P=” 2 π R “S=” πR
2 025
Nous voulons simplement obtenir la surface, sans effacer la partie sur le
périmètre, et répéter l’exécution indéniment. Nous modions le programme
ainsi (rappel : on effectue l’insertion avec [SHIFT][Ins]):
Lbl 0 : rajout de [SHIFT] [Lbl] 0 [ :]
“R=” ?→ R:
Goto 1 : rajout de [SHIFT] [Goto] 1 [:]
“P=” 2 π R
Lbl 1 : rajout de [SHIFT] [Lbl] 1 [ :]
“S=” πR
A l’exécution cela donne :
[MODE] 1
[Prog] 0 [EXE] -> R = ?
5 [EXE] -> S=
[EXE] -> 78.53981634
Disp
Disp
[EXE] -> R = ?
2 [EXE] -> S=
[EXE] -> 12.56637061
Si on écrit :
“R=” ?→ R : Lbl 0 :Goto 1 :”P=” 2 π R Lbl 1 :”S=” πR2 Goto 0
Disp
Disp
037
On ne peut rentrer la valeur de R qu’une seule fois et la calculatrice calcule
en boucle S= 78,53981634 … Heureusement les sauts conditionnels
que nous allons voir maintenant permettent d’aboutir à des résultats plus
passionnants qu’une boucle sans n.
Saut conditionnel
[SHIFT] [ ]
Sépare l’énoncé d’une condition et celui de l’action
à effectuer si cette condition est vériée.
Remarque : pourquoi utilise-t-on souvent des Goto après un saut
conditionnel ?
l Souvent lorsqu’une condition est vériée, on a plusieurs actions à
effectuer, alors que la syntaxe du saut conditionnel n’en permet qu’une.
Le Goto permet d’aller à un endroit du programme et d’y écrire toutes les
actions à effectuer.
l Parfois on veut effectuer une action si la condition est vraie et une AUTRE
action si la condition n’est pas vériée. Le Goto permet de sauter la partie
qui concerne cette autre action :
Ex :
A=B
A=B
action si A=B : action suivante.
Goto x : action suivante effectuée seulement si A≠B.
→A:
√A
Français
On a une équation y=ax2+bx+c qu’on veut résoudre pour y=0, en utilisant
les formules Δ=b2-4ac et x=(-b±√Δ)/2a si Δ≥0. On utilise Goto pour que les
actions soient différentes selon que Δ soit supérieur ou non à 0.
S’utilise suivi d’un nom de mémoire temporaire et d’une
instruction : Dsz A : Instruction.
Diminue la valeur de A d’une unité et exécute l’instruction
si A≠0.
[SHIFT] [Isz]
S’utilise suivi d’un nom de mémoire temporaire et d’une
instruction : Isz A : Instruction.
Augmente la valeur de A d’une unité et exécute
l’instruction si A≠0.
Associé à Goto et Lbl, le compteur permet de créer une boucle qui s’arrête
au bout d’un nombre de fois prévu à l’avance. Par exemple, dans le jeu
du nombre mystère qui gure en n de ce chapitre, le compteur permet de
donner dix chances au joueur de trouver la solution avant d’afcher
« perdu ! » .
Ex :
On part de A=10 et on met le programme en boucle jusqu’à A=0. On afche
A à chaque début de boucle.
10→A:Lbl 1:A Dsz A:Goto 1 ”FIN”
Même chose avec A=-10 et avec [Isz].
-10→A:Lbl 1:A Isz A:Goto 1 ”FIN”
Si on veut que A augmente de 1 à 10, c’est possible en utilisant un saut
conditionnel juste après Isz :
1→A:Lbl 1:A Isz A:A<10 Goto 1 A-1→A:”FIN”
La valeur de A peut être xée par le programme lui-même. Ici on utilise la
fonction Random (Ran#) pour déterminer une valeur entre 1 et 15.
Int (Ran#x15+1)→A:Lbl 1:A Dsz A:Goto 1 ”FIN”
Sous-programmes
[Prog] 0-9
52
Inséré dans un programme, déclenche l’exécution
du sous-programme spécié.
Vous pouvez utiliser [Prog] en tant qu’instruction dans un programme an de
déclencher l’exécution d’un programme écrit à un autre emplacement. On
appelle sous-programme un programme qui s’exécute au sein d’un autre.
Faire appel à un sous-programme est utile notamment dans les cas
suivants :
l pour utiliser un programme déjà écrit dans un programme nouveau.
l pour des raisons de clarté, lorsque le sous-programme représente un
calcul long ou compliqué, qu’il vaut mieux séparer du reste.
l
Lorsque la même procédure/calcul est utilisé plusieurs fois au sein d’un
programme.
Attention : si vous avez des instructions Goto dans un programme ou dans
un sous-programme, vériez bien qu’elles s’adressent à des Lbl situés dans
le même programme ou sous-programme.
Ex :
On a un programme Prog 0 qui calcule une valeur X à partir de divers
paramètres.
Dans le programme 1 on a les instructions suivantes :
Prog 0 : X+1→A
Lorsque le programme rencontre l’instruction Prog 0, il exécute le
programme Prog 0 dans son intégralité, puis il revient à Prog 1 chercher
l’instruction suivante : il met alors la valeur de X+1 dans la mémoire
temporaire A.
Exemple récapitulatif : le jeu du nombre mystère
Le principe du jeu est le suivant : la calculatrice génère un nombre entre 1 et
999 et vous avez 12 tentatives pour le découvrir.
Nous allons programmer ce jeu dans Prog 0 en utilisant un sousprogramme, Prog 1, pour tous les préparatifs du jeu.
On utilisera les variables suivantes :
l
A pour le compteur des 12 tentatives.
l
N le nombre à découvrir.
l
X la valeur proposée par l’utilisateur.
Pour chaque valeur de A non nulle on demande une valeur de X.
l
Si X=N, c’est gagné et on propose de rejouer.
l
Si X>N, on afche « Trop grand » et on demande une nouvelle valeur de
X. Sinon c’est que X est trop petit, et on redemande aussi une nouvelle
valeur de X.
Si A=0, vous avez perdu et on vous propose de rejouer.
Français
Prog 1 assigne la valeur 12 à A et génère un nombre entier compris entre 0
et 999 à l’aide de Ran# (nombre aléatoire entre 0 et 0,999) et de Int (partie
entière).
On écrit Prog 1 :
12“A:Int (Ran# x1000+1)“N
Prog 1: exécution du sous-programme Prog 1.
Lbl 0: début de la boucle principale.
“X=”?→X saisie de X.
Dsz A Goto 1: compteur, si A≠0 on va à Lbl 1.
Français
“PERDU, N=” N Goto 4: A=0, on afche perdu et on va en n de
programme (Lbl 4).
Lbl 1 : A≠0, on va tester X.
X=N Goto 2: Si X=N on va à Lbl 2.
X>N Goto 3: Si X>N on va à Lbl 3.
“TROP PETIT”: Goto 0: Si on arrive ici c’est que X<N, on repart
au début de la boucle pour demander
une autre valeur de X.
Lbl 2:“GAGNE !” Goto 4: N trouvé, on sort de la boucle et on va
en n de programme.
Lbl 3:“TROP GRAND” Goto 0: N n’est pas trouvé, on repart en début
de boucle .
Lbl 4:“JOUE ENCORE”
Note : le ! s’obtient en appuyant sur [SHIFT][n!]
121
Fin du jeu.
Programmation et graphiques
Vous pouvez utiliser toutes les fonctions graphiques, à part [Trace], sans
modications dans un programme. A noter que pour la fonction [Range] il
suft de rentrer les données dans l’ordre séparées par des virgules.
Ex :
Pour trouver graphiquement le nombre de solutions des équations :
y=x2 +2x-3
y=1-x
Avec les valeurs d’échelle suivantes :
Xmin = -5
Xmax = 5
Xscl = 2
Ymin = -10
Ymax = 10
Yscl = 4
Le programme est le suivant :
Range –5,5,2,-10,10,4:Graph Y=X2+2X-3
Graph Y=1-X
030
On voit sur le graphique qu’il y deux solutions à l’équation, x2+2x-3=1-x,
dont une évidente avec y=0 et x=1.
Note :
le [ ] permet d’arrêter l’exécution une fois tracée la première courbe,
si on ne veut pas de pause on peut le remplacer par [:].
Il est possible de programmer des calculs à effectuer en Base N, avec les
adaptations suivantes :
• Pour spécier le mode Base N pour un programme, par exemple P3 :
[MODE] 2 -> Passage en mode WRT.
[MODE] [-] -> Passage en mode Base N pour le programme
qui sera spécié immédiatement ensuite.
[ ][ ][ ] [EXE] -> Sélection Prog 3.
• A la n du programme il ne faut pas omettre le tout dernier [
Note :
la calculatrice n’a pas besoin d’être en mode Base N lorsqu’on lance
] ou [:].
l’exécution pour exécuter le programme en Base N.
Ex :
On écrit un programme qui demande une valeur A, la multiplie par (101)2 et
donne le résultat en binaire, hexadécimal et décimal.
? →A:Bin:Ax101 Hex Dec:
016
La base dans laquelle est entrée la valeur de A dépend du mode de la
calculatrice au lancement de l’exécution (décimal si mode normal ou Base-N d, binaire si Base-N b, etc.). Si on souhaite une base précise pour A il faut
le préciser dans le programme :
Bin:? →A:Ax101 Hex Dec:
016
Programmation et statistiques
Il est possible de programmer des calculs statistiques à une ou deux
variables, avec les adaptations suivantes :
Français
• Pour spécier le mode statistiques à une ou deux variables pour un
programme, par exemple P3 :
[MODE] 2 -> Passage en mode WRT.
[MODE] [x] ou [÷] -> Passage en mode SD1 ou LR1 pour le
programme qui sera spécié immédiatement ensuite.
[ ][ ][ ] [EXE] -> Sélection Prog 3.
• Il y a un certain nombre de fonctions ou signes que l’on ne peut pas
utiliser pour cause de touches assignées aux fonctions statistiques : Abs,
3
√, Dsz, >, <, en mode une et deux variables ; =, ≠, ≤, ≥, Isz et en
mode deux variables.
Note :
la calculatrice n’a pas besoin d’être en mode statistique lorsqu’on
Augmente le nombre de mémoires.
Diminue le nombre de pas de programme.
Ex : [MODE] [.] 10 [EXE] -> augmente le nombre de
mémoires à 36 au lieu de 26, diminue le nombre de
pas de 120.
[ALPHA][ [ ] et
[ALPHA][ ] ]
S’utilisent pour le nom des mémoires supplémentaires
: Z[1], Z[2], …
Votre calculatrice dispose de 26 mémoires temporaires dans lesquelles vous
pouvez stocker des valeurs numériques.
Sur cet écran vous voyez que s’il n’y a aucun programme en mémoire, vous
disposez en outre d’un maximum de 600 pas de programme.
Vous pouvez rajouter jusqu’à 50 mémoires supplémentaires, si vous n’avez
aucun programme actif, car chaque fois que vous rajoutez une mémoire
vous perdez 12 pas de programmes :
nb mémoires262728...7273747576
nb pas600588576...483624120
Ces mémoires s’utilisent en programmation ou en calcul direct comme des
mémoires temporaires normales, par exemple :
5→ Z[4]
30xZ[4] [EXE] -> 150.
Si vous avez déjà des programmes en mémoire et que vous essayez
d’obtenir un nombre de mémoires trop grand vous obtiendrez le message
Mem ERROR. De même si vous avez 3 mémoires supplémentaires et que
vous essayez d’utiliser une mémoire appelée Z[4].
Ex :
Si on fait [MODE] 2 on a l’écran suivant (pour exemple) :
P _ _2_34567_9
395
Il reste dans ce cas de gure, compte tenu des programmes existants,
395 pas de programme disponibles, soit un maximum de 32 mémoires
supplémentaires.
Pour rajouter 3 mémoires on fait :
[MODE] [.] 3 -> Defm 3
[EXE] -> M-29 S-359
M représente le nouveau nombre de mémoires disponibles (26+3) et S le
nombre de pas disponibles restants (395-3x12=359).
Vous pouvez alors utiliser des mémoires temporaires supplémentaires Z[1],
Z[2] et Z[3].
Les mémoires tableau sont très utiles lorsqu’il s’agit de mettre en mémoire
des valeurs de façon répétitive. Votre calculatrice vous offre cette
fonctionnalité d’une manière simple, à partir des mémoires temporaires A-Z.
Lorsqu’on écrit par exemple S[n], n est un entier qui peut être négatif, nul ou
positif, et S[n] correspond à une mémoire temporaire existante,T si n=1, U si
n=2, R si n=-1 et ainsi de suite.
On peut visualiser cela par un tableau d’équivalence :
mém tempABCD...YZ
A tableauA[0]A[1]A[2]A[3]…A[25]A[26]
B tableauB[-1]B[0]B[1]B[2]…B[24]B[25]
C tableauC[-2]C[-1]C[0]C[1]…C[23]C[24]
……………………
Y tableauY[-25] Y[-24]Y[-23] Y[-22]…Y[0]Y[1]
Z tableauZ[-26]Z[-25]Z[-24]Z[-23]…Z[-1]Z[0]
Remarques :
l A tout moment C[23] est égale à la mémoire temporaire Y, attention de
ne pas les faire entrer en conit par mégarde en utilisant les deux dans le
même programme pour des applications différentes.
l A[-1] n’existe pas, pour n négatif A[n] provoque un message Mem
ERROR.
l A[27], B[26],…, Z[1] existent si le nombre de mémoires a été étendu
comme expliqué dans le paragraphe précédent.
Ex :
On veut mettre en mémoire les valeurs 1 à 10 dans les mémoires C à L.
Sans mémoires tableau c’est fastidieux :
1→C:2→D:3→E:4→F:5→G:6→H:7→I:8→J:9→K:10→L
040
Avec les mémoires tableau c’est plus rapide et le résultat est exactement le
même puisque les mémoires C[0]-C[9] sont les mémoires C-L.
0 →Z:Lbl 1: Z+1 →C[Z]:Isz Z: Z<10Goto 1
026
Français
C’est aussi beaucoup plus facile à modier. Par exemple on repart du même
programme pour rentrer les puissances de 2 (21, 22, 23… 210) dans les
mémoires D à M :
0“Z:Lbl 1: 2xy(Z+1)“D[Z]:Isz Z: Z<10Goto 1 030
Lorsque l’écran afche un message d’erreur, les raisons peuvent être :
Français
l Syn ERROR : erreur de syntaxe. Ex : [sin] 3 [+] [EXE].
l Ma ERROR : la valeur utilisée est en dehors des valeurs admissibles
(voir tableau plus loin). Ex : division par 0, cos-1 (5), √(-2). Il se peut
aussi que lors du calcul effectué à partir des valeurs saisies, une valeur
intermédiaire se retrouve en dehors des valeurs admissibles, trop grande
ou trop petite. Une valeur très petite (inférieure à 10
un 0, ce qui peut créer une situation de division par 0.
l Go ERROR : en programmation, indique qu’il manque une instruction
[Lbl] pour une commande [Goto] ou qu’il n’y a pas de programme à
l’endroit indiqué par une commande [Prog].
l Stk ERROR : dépassement de la capacité mémoire de la calculatrice.
Votre calcul est trop long, mieux vaut le découper en deux parties ou plus
(voir paragraphe « Priorités de calcul » dans le premier chapitre).
l Mem ERROR : erreur dans l’utilisation des mémoires, soit lors de
l’expansion du nombre de mémoires, soit dans l’utilisation des mémoires
tableau. Voir les paragraphes correspondants dans le chapitre
« Programmation ».
l Arg ERROR : erreur d’argument sur une commande de type [MODE],
[Goto] … Ex : Fix 11 [EXE]. Vériez que la valeur employée est entre 0
et 9.
-99
) sera arrondie en
l Ne ERROR : erreur concernant les sous-programmes. Vériez bien qu’il
n’y a aucune instruction Prog n où n désigne le programme principal.
Pour sortir de l’écran d’afchage de l’erreur, appuyez sur [AC] ou utilisez les
èches et pour corriger l’équation.
Valeurs admissibles
De manière générale les valeurs utilisées dans les calculs doivent vérier :
-9,999999999 x 1099 ≤ x ≤ 9,999999999 x 1099 soit |x| <10
Note :
|x| est la valeur absolue de x, soit |x|= –x si x‹0 et |x|=x si x≥0.
Votre calculatrice comporte une mémoire électronique capable de conserver
une grande quantité d’informations. Ces informations sont gardées en
mémoire de manière able tant que les piles fournissent l’énergie nécessaire
et sufsante à leur bonne conservation. Si vous laissez les piles devenir
trop faibles, lorsque vous changez les piles ou si l’alimentation électrique
s’interrompt pour une autre raison, les informations stockées en mémoire
seront être irrémédiablement perdues. Un choc électrostatique important ou
des conditions d’environnement extrêmes peuvent aussi causer la perte des
informations.
Une fois les informations perdues elles ne peuvent pas être récupérées de
quelque manière que ce soit, c’est pourquoi nous vous conseillons fortement
de garder systématiquement une sauvegarde de vos données (valeurs,
programmes) dans un lieu sûr.
Utilisation de RESET
N’appuyez sur la touche de réinitialisation du système (RESET) que dans
les cas suivants:
• Lors de la première utilisation.
• Après le remplacement des piles.
• Pour effacer le contenu de toutes les mémoires.
• En cas de blocage général, toutes les touches étant inopérantes. Par
exemple, si vous exposez la calculatrice à un champ électrique, ou à
une décharge électrique pendant l’utilisation, il peut se produire des
phénomènes anormaux qui peuvent neutraliser le fonctionnement de
certaines touches y compris la touche [AC].
Français
ATTENTION : ne pas appuyer sur RESET lorsque vous pensez qu’un
calcul ou opération interne est en cours, cela pourrait endommager
irrémédiablement votre calculatrice.
Pour appuyer sur le bouton Reset, appuyez sur [AC] pour remettre la
calculatrice en marche puis utilisez un objet n et pointu tel qu’un trombone
déplié, et appuyez doucement.
Remplacement des piles
Dès que l’afchage faiblit et qu’un réglage de contraste n’améliore pas la
lisibilité, nous vous conseillons de remplacer la pile. Votre calculatrice utilise
une pile lithium de type CR2032.
1. Effectuez une sauvegarde de toutes les données et programmes dont
vous aurez besoin ultérieurement.
2. Eteignez la calculatrice en appuyant sur [SHIFT] [OFF].
3. Retirez la vis du compartiment à piles au dos de l’appareil à l’aide d’un
tournevis.
4. Remplacez la pile en respectant la polarité (côté + au-dessus).
6. Appuyez sur [AC] pour remettre la calculatrice en marche. Si la pile a été
correctement installée, l’icône D et le curseur clignotant seront afchés. Si
ce n’est pas le cas, retirez et réinstallez à nouveau la pile.
7. Appuyez doucement sur RESET avec un objet n et pointu pour
Français
réinitialiser la calculatrice (important).
Une mauvaise utilisation de la pile peut causer une fuite de liquide
électrolytique ou même la faire exploser, et peut endommager l’intérieur de
votre calculatrice. Lisez donc bien les recommandations suivantes :
- S’assurer qu’elle soit du modèle recommandé avant de l’installer.
- Bien respecter la polarité indiquée.
- Ne pas laisser de pile usagée dans la calculatrice, ellespeut fuir et
l’endommager irrémédiablement.
- Ne pas laisser de pile neuve ou usagée à la portée des enfants.
- Ne jamais jeter la pile au feu, elle pourrait exploser.
- Ne pas jeter la pile dans les ordures ménagères mais dans un lieu de
collecte adapté pour le recyclage, dans la mesure du possible.
Entretien de votre calculatrice
- Votre calculatrice est un instrument de précision. Ne pas essayer de la
démonter.
- Evitez de la faire tomber ou de lui faire subir des chocs violents.
- Ne la transportez pas dans la poche arrière d’un pantalon.
- Ne la rangez pas dans un endroit anormalement humide, chaud ou
poussiéreux. Dans un environnement froid la calculatrice peut ralentir ou
même suspendre son fonctionnement. Elle retrouvera un fonctionnement
normal dès que la température redeviendra plus clémente.
- N’utilisez pas de solvant ou de pétrole pour nettoyer votre calculatrice,
mais simplement un chiffon sec, ou encore un chiffon trempé dans une
solution d’eau et d’un peu de détergent neutre, bien essoré.
- Ne provoquez pas d’éclaboussures sur la calculatrice.
- Si un dysfonctionnement potentiel est détecté, relisez bien ce manuel et
vériez l’état de la pile pour vérier que le problème ne vient pas d’une
mauvaise utilisation ou de pile trop faible.
Ce produit est couvert par notre garantie de trois ans.
Pour toute mise en oeuvre de la garantie ou de service après-vente, vous
devez vous adresser à votre revendeur muni de votre preuve d’achat.
Notre garantie couvre les vices de matériel ou de montage imputables au
constructeur à l’exclusion de toute détérioration provenant du non-respect de
la notice d’utilisation ou de toute intervention intempestive sur l’article (telle
que démontage, exposition à la chaleur ou à l’humidité…).
LEXIBOOK SA
2, av de Scandinavie
91953 COURTABOEUF CEDEX
Informations sur la protection de l’environnement. Tout appareil électrique usé
est une matière recyclable et ne devrait pas faire partie des ordures ménagères!
Nous vous demandons de bien vouloir nous soutenir en contribuant activement à
la gestion des ressources et à la protection de l’environnement en déposant cet
appareil dans des lieux de collecte adaptés (si existants).
Calculadora cientíca gráca programable, funciones en base N,
estadísticas con 1 ó 2 variables, probabilidades, funciones aritméticas,
trigonométricas y de programación.
Tenemos el placer de poder contarle entre los numerosos usuarios de
productos LEXIBOOK® y le agradecemos la conanza depositada en
nuestros productos.
Desde hace más de 15 años, la empresa francesa Lexibook diseña,
desarrolla, fabrica y distribuye por todo el mundo productos electrónicos
dirigidos a todos los públicos. Dichos productos gozan de una reputación
impecable gracias a su valor tecnológico y a su calidad de fabricación.
Calculadoras, diccionarios y productos electrónicos, estaciones
meteorológicas, aparatos multimedia, relojes y despertadores, sistemas de
telefonía… Nuestros productos forman parte de su vida diaria.
Para poder apreciar al máximo las capacidades de la calculadora gráca
GC460, le invitamos a que lea detenidamente este manual de instrucciones.
Español
Instrucciones previas a la primera utilización del aparato
Antes de encender el aparato siga atentamente los pasos que se indican a
continuación:
1. Retire con precaución la lengüeta de protección del compartimiento de la
pila tirando del extremo de la lengüeta.
2. Si la lengüeta permanece trabada, retire el tornillo que ja el
compartimiento de la pila, extraiga la pila y, a continuación, retire la
lengüeta. Seguidamente, instale una pila tipo CR2032 observando la
polaridad indicada en el interior del compartimento (el polo positivo +
orientado hacia arriba). A continuación, vuelva a colocar la tapa del
compartimento y apriete el tornillo.
3. Posicione la calculadora en su tapa para acceder al teclado.
4. Retire la película estática de protección de la pantalla LCD.
5. Pulse la tecla [AC] para encender la calculadora. Observará que en la
pantalla aparecen la letra D y un cursor que parpadea. De no ser así,
verique el estado de la pila y vuelva a comenzar desde el principio (en
caso necesario, consulte el capítulo “Precauciones durante la utilización
del aparato”).
6. Localice el oricio identicado con la palabra RESET (restablecer) situado
en la parte trasera del aparato. Inserte un objeto de punta na (un clip
para papeles por ejemplo) y presione suavemente.
Si desea obtener más información con referencia a la pila, la importancia del
botón “RESET”, o sobre cómo salvaguardar sus datos, consulte el capítulo
“Precauciones durante utilización del aparato”.
1. GUÍA DE UTILIZACIÓN DE SU CALCULADORA
Cómo encender y apagar la calculadora
[AC]
[SHIFT]
[OFF]
Pantalla y símbolos utilizados
Esta calculadora es de tipo cientíco, gráco y programable. Cada
una de estas aplicaciones posee un tipo de pantalla diferente. Para
cualquier información relacionada con las aplicaciones grácas y de
programación, consulte los capítulos que correspondan.
La pantalla que corresponde a las funciones básicas es la siguiente:
Enciende la calculadora.
Pone a cero la pantalla de la calculadora.
Nota: cuando se vuelve a encenderse la calculadora
después de haberla apagado, el aparato estará
congurado por defecto en modo decimal (DEC), con la
función de punto decimal otante activada y las medidas
de ángulo expresadas en grados D .
Apagado.
Tras aproximadamente 6 minutos de inactividad, la
calculadora se apagará de forma automática.
D
99
-1.031914894
Exponente
Mantisa
Español
En la línea inferior se visualizarán las operaciones introducidas en
caracteres alfanuméricos.
La línea inferior muestra un resultado numérico de 10 cifras signicativas,
o bien 10 cifras signicativas más otras 2 cifras de notación cientíca en la
parte superior derecha (véase el párrafo “Notación cientíca”).
Deberá tenerse en cuenta que si bien el resultado mostrado aparece en
formato de 10 ó 10 más 2 cifras signicativas, los cálculos internos se
realizan con 24 cifras signicativas y dos exponentes, lo cual le proporciona
un nivel de precisión bastante alto durante la ejecución de las operaciones.
La pantalla mostrará un cierto número de símbolos (en este caso, sólo se
muestra D). Estos símbolos le proporcionan indicaciones que permiten una
mejor lectura de las operaciones en curso:
-
o
Español
DISP
M
S
A
…… ERROR
hypSe muestra cuando la función hiperbólica está activada.
FIX
Signo negativo que indica que el número visualizado es
negativo.
Aparece para indicar que la operación en curso es
demasiado larga para que pueda visualizarse totalmente
en la pantalla. En este caso, pulse las teclas [ ] o [ ]
para mostrar el resto del cálculo.
Indica que el valor mostrado en la pantalla es un resultado
intermedio, véase el párrafo “Operaciones sucesivas
sobre una misma línea”, o bien el capítulo “Programación”.
Indica que la función MODE (modo) está activada.
Indica que la función SHIFT (funciones secundarias) está
activada.
Indica que la función ALPHA (alfanumérica) está activada.
Se muestra cuando el cálculo excede la capacidad
de visualización permitida o se detecta un error. Los
diferentes mensajes de error, así como sus causas
y posibles soluciones se describen en la sección
correspondiente del capítulo “Mensajes de error”.
Indica que el resultado se mostrará con un número
determinado de cifras detrás de la coma (punto) decimal.
SCI
D
R
G
68
Indica que el resultado se mostrará con un número
determinado de cifras signicativas.
Se muestra cuando la calculadora está en modo de
representación angular en grados, o cuando la unidad de
medida del ángulo mostrado está en grados.
Se muestra cuando la calculadora está en modo de
representación angular en radianes, o cuando la unidad
de medida del ángulo mostrado está en radianes.
Se muestra cuando la calculadora está en modo de
representación angular en gradientes, o cuando la unidad
de medida del ángulo mostrado está en gradientes.
En la parte central de la calculadora, justo debajo de la pantalla encontrará
las echas direccional [ ] , [ ] , [ ] y [ ]. De momento, sólo nos
centraremos en [ ] y [ ].
Para ajustar el contraste de la pantalla, pulse una vez la tecla [MODE] y,
a continuación, pulse [ ] para reducir el nivel de contraste, o [ ] para
aumentarlo. Si no se logra aumentar el nivel de contraste mediante este
procedimiento, se deberá seguramente a que las pilas están bajas de
carga y será necesario sustituirlas ; consulte los consejos e instrucciones
referentes a la sustitución de las pilas que se indican al nal de este manual.
Nota: deberá pulsarse la tecla [MODE] cada vez que se utilicen [ ] y [ ].
Funciones secundarias y alfanuméricas (teclas SHIFT y ALPHA)
[SHIFT]
[ALPHA]
[SHIFT]
[A-LOCK]
Ajuste del contraste de la pantalla.
Permite acceder a las funciones secundarias, las cuales
están indicadas en naranja justo encima de la tecla que
corresponda.
Permite acceder a las funciones alfanuméricas, las cuales
están indicadas en rojo en la parte inferior derecha de la
tecla que corresponda.
Permite acceder continuamente a las funciones
alfanuméricas (bloqueo de la función ALFA), cancelación
pulsando de nuevo la tecla [ALPHA], o en [EXE].
Español
La mayoría de las veces, las teclas de su calculadora incorporan al menos
dos funciones. No obstante es posible que incorporen tres o incluso cuatro
funciones. Éstas están indicadas mediante colores y conforme a su posición
alrededor de la tecla que sirve para acceder a las mismas.
Por ejemplo:
-1
sin
Sin
D
ID
lsin (seno) es la función principal y se accede a ella directamente
pulsando la tecla.
l sin-1 es la función secundaria y para acceder a ella, será necesario pulsar
primero la tecla [SHIFT] y, a continuación, la tecla correspondiente (la
pantalla mostrará brevemente la letra S ).
l D es la función alfanumérica, para acceder a ella, será necesario pulsar
primero la tecla [ALPHA] y, a continuación, la tecla correspondiente (la
pantalla mostrará brevemente la letra A ). Se trata principalmente de
teclas para las funciones de memoria o de introducción de texto.
l ID y las otras funciones indicadas en azul sólo pueden accederse durante
las operaciones en Base N. Encontrará más información sobre esta
función en el capítulo correspondiente.
Asimismo, las funciones indicadas entre las echas
son funciones
└ ┘
relacionadas con el modo de operaciones estadísticas que se describen en
el capítulo correspondiente.
Si pulsa una sola vez la tecla [SHIFT], el símbolo S aparecerá en la
pantalla para indicar que la tecla [SHIFT] está activada y que es posible
acceder a las funciones secundarias. El símbolo se apagará en cuanto pulse
cualquier otra tecla o vuelva pulsar la tecla [SHIFT].
Español
Asimismo, si pulsa una sola vez la tecla [ALPHA], el símbolo A aparecerá
en la pantalla para indicar que la tecla [ALPHA] está activada y que es
posible acceder las funciones alfanuméricas. El símbolo desaparecerá en
cuanto pulse cualquier otra tecla o vuelva pulsar la tecla [ALPHA].
Si desea utilizar varias veces seguidas las funciones alfanuméricas sin
que por ello suponga una tarea tediosa, podrá utilizar las teclas [SHIFT]
[A-LOCK]. El símbolo A permanecerá indicado y podrá acceder de forma
continua a las funciones alfanuméricas en tanto no pulse la tecla [ALPHA]
para anular la selección, o bien la tecla [SHIFT] si desea pasar directamente
a una función secundaria.
Notaciones utilizadas en este manual
En este manual, las funciones estarán indicadas de la manera siguiente
(volviendo a utilizar el ejemplo anterior):
Principal [sin]
Secundaria [SHIFT] [sin
Alfanumérica [ALPHA][D]
-1
]
Las teclas [0] a [9] se escribirán 0 a 9 (sin corchetes) para facilitar la lectura.
Los cálculos y los resultados se mostrarán de la manera siguiente:
descripción de los datos -> representación alfanumérica | línea de resultado
p. ej.:
Para efectuar el cálculo (4+1)x5= el proceso se indicará de la manera
siguiente:
[(] 4 [+] 1 [)] [x] 5 [EXE] -> (4+1)x5 | 25.
Una vez que esta representación no impida comprender el ejemplo, podrá
omitirse la parte situada más a la izquierda de la pantalla.
Introducción y modicación de una operación (Replay)
[ ] [ ]
Teclas numéricas.
Suma.
Resta.
Multiplicación.
División.
Proporciona el resultado de las operaciones.
Inserción del punto (coma decimal) para números decimales.
p. ej.:
para escribir 12,3 se introduce 12[.]3
Cambia el signo del número que se va introducir
inmediatamente después.
5 [x] [SHIFT] [(-)] [5] [EXE] -> -25.
Abre/cierra un paréntesis.
p. ej.:
[(] 4 [+] 1 [)] [x] 5 [EXE] -> 25.
Se utiliza para desplazar el cursor y modicar una
operación.
Español
Si se pulsa una sola vez [ ] mientras que se muestra
el resultado numérico, aparecerá la línea de cálculo
alfanumérico y el cursor se situará al nal de la línea.
Si se pulsa una sola vez [ ] mientras que se muestra
el resultado numérico, aparecerá la línea de cálculo
alfanumérico y el cursor se situará al principio de la línea.
[DEL]
Será posible introducir en su calculadora las operaciones que desee y éstas
aparecerán abajo a la izquierda en un estilo alfanumérico fácil de leer y de
corregir.
Una vez que haya introducido el cálculo y obtenido el resultado pulsando la
tecla [EXE], será bastante fácil revisar y modicar la operación utilizando las
echas direccionales [ ], [ ].
Se borra el carácter situado en el lugar donde se
encuentra el cursor.
71
Observaciones con respecto a la introducción de cálculos:
Esta calculadora le permite introducir de una sola vez un cálculo de hasta
127 caracteres. No obstante, deberá tenerse en cuenta que si incluso una
función (como por ejemplo sin-1) requiere que se pulsen 2 teclas y que la
pantalla la muestre con varias letras, dicha función sólo será contabilizada
por la calculadora para un sólo carácter. En cuanto se alcancen los 121
caracteres, la calculadora le avisará cambiando la forma del cursor de
_ a .
En caso de que la operación a efectuar sea demasiado larga, será
conveniente dividirla en varias etapas.
p. ej.:
Se han introducido los siguientes datos:
34 [+] 57 [-] 27 [x] 78 +5 [EXE] -> 34+57-27x78+5 | -2010.
Si pulsa la tecla [ ] se mostrará la representación alfanumérica del cálculo
efectuado y el símbolo
Español
para que pueda mostrarse en su totalidad.
l Si desea sustituir 27 por 7 en su operación, proceda como sigue:
Posicione el cursor utilizando la tecla [ ] para desplazarse hasta el lugar
exacto donde desea efectuar la corrección, es decir, delante del número 2.
Pulse la tecla [DEL] para suprimir el 2. Si, a continuación, pulsa la tecla
[EXE], el resultado cambiará a -450.
Operaciones sucesivas sobre una misma línea
le indicará que la operación es demasiado larga
[ALPHA]
[ ]
[AC]
Si así lo desea, su calculadora le permite introducir varias operaciones
de manera sucesiva sobre una misma línea y, a continuación, ejecutarlas
pulsando la tecla [EXE]. De esta manera, la calculadora efectúa la primera
operación introducida y, a continuación muestra el resultado intermedio y
el símbolo Disp para indicarle que la ejecución de las operaciones no ha
nalizado. Si pulsa la tecla [EXE], la calculadora saltará a la segunda Disp
desaparecerá de la pantalla.
p. ej.:
Si desea efectuar la operación siguiente, proceda como sigue:
54+39=
9-18=
4x6-2=
50x12=
72
Marca de separación entre dos operaciones consecutivas
introducidas en una misma línea.
Interrumpe la ejecución de operaciones consecutivas.
l No podrán modicarse las operaciones en tanto que el símbolo Disp
aparezca en la pantalla y no se haya alcanzado la última operación, a
menos que se pulse [AC] para interrumpir la ejecución de las mismas.
l En el ejemplo anterior, si se pulsa una vez más de la cuenta la tecla
[EXE], volverá a iniciarse la operación (la pantalla mostrará 93. y Disp ).
l Véase también para este tipo de cálculos, la manera de recuperar el
resultado anterior (función Ans) que se describe en el siguiente capítulo.
Notación cientíca y de ingeniería
El modelo GC460 muestra directamente el resultado de un cálculo (x) en
modo decimal normal cuando x está dentro del intervalo siguiente:
0.000000001≤ |x| ≤ 9999999999
Nota :
|x| es el valor absoluto de x, es decir: |x|= –x si x‹0 y |x|=x si x≥0.
Más allá de estos límites, la calculadora mostrará automáticamente el
resultado de una operación según el sistema de notación cientíca, en el
que las dos cifras situadas arriba y la derecha representan el exponente del
factor 10.
Español
p. ej.:
Cómo calcular el cuadrado de 2.500.000 y su función inversa
2500000 [X2][EXE] -> 25000002 | 6.2512 es decir: 6,25 x
12
10
[X-1][EXE] -> 6.25E12-1 | 1.6
–13
es decir: 1,6 x 10
La notación denominada de ingeniería funciona siguiendo el mismo
principio, sólo que en este caso es necesario que la potencia de 10 sea un
múltiplo de 3 (103, 106,109 etc.). Volviendo a utilizar el ejemplo anterior:
6,25 x 1012 se escribe también 6.25 12 en notación de ingeniería, sin
embargo, 1,6 x 10
Permite introducir un valor en notación cientíca.
Permite pasar a notación de ingeniería:
• Cada vez que se pulsa la tecla [ENG], el exponente
disminuye en 3.
]
• Cada vez que se pulsan las teclas [SHIFT] [
exponente aumenta en 3.
], el
73
-13
Para cualquier número comprendido dentro del intervalo mencionado
anteriormente, su calculadora le permitirá introducirlo directamente en
notación cientíca para evitar así una introducción reiterada de ceros.
p. ej.:
Si desea introducir 2.500.000 (es decir: 2,5 x 106) en notación cientíca,
proceda como sigue:
2 [.] 5 [EXP] 6 [EXE] -> 2.5E6 | 2500000.
Si desea introducir 2 500 0002 es decir: (2,5 x 106 )2 en notación cientíca,
proceda como sigue:
2 [.] 5 [EXP] 6 [X2] [EXE] -> 2.5E62 | 6.25
Si desea introducir 0.016 es decir: 1,6 x 10-2 en notación cientíca, proceda
como sigue:
1 [.] 6 [EXP] [SHIFT] [(-)] 2 [EXE] -> 1.6
E
-2 | 0.016.
Español
Para pasar a notación de ingeniería utilizando los ejemplos anteriores,
proceda como sigue:
2 [.] 5 [EXP] 6 [EXE] -> 2.5E6 | 2500000.
[ENG] -> 2.5
[ENG] -> 2500.
[ENG] -> 2500000.
[ENG] -> 2500000000.
Cuando se ja el número de cifras después de la coma (punto) decimal a un
valor determinado mediante el modo Fix, tan sólo se modica el modo de
visualización de dicho valor y no así el valor memorizado por la calculadora,
el cual incorpora 24 cifras signicativas.
Si así lo desea, podrá modicar el valor memorizado para exigir ejecutando
sus cálculos con un valor redondeado en función del número de cifras
después de la coma (punto) decimal que se haya seleccionado. Volviendo a
utilizar el ejemplo anterior:
Cuando se ja el número de cifras signicativas a un valor determinado
mediante el modo Sci, tan sólo se modica el modo de visualización de
dicho valor y no así el valor memorizado por la calculadora, el cual incorpora
24 cifras signicativas.
Si así lo desea, podrá modicar el valor memorizado para seguir ejecutando
sus cálculos con un valor redondeado en función del número de cifras
signicativas que se haya seleccionado. Volviendo a utilizar el ejemplo
anterior:
Nota: este modo de visualización es compatible con la notación [ENG]:
100000 [÷] 3 [EXE] -> 100000÷3 | 33333.33333
[MODE][8] 5 [EXE] -> Sci 5 | 3.3333
[ENG] -> 33.333
Cuando se efectúen varias operaciones en un mismo cálculo, su calculadora
los evaluará y determinará el orden en que han de completarse conforme a
las reglas aritméticas establecidas. Este orden de prioridad es el siguiente:
1. Las operaciones entre paréntesis y, en caso de diferentes niveles de
paréntesis, el último paréntesis abierto.
2. Las funciones que utilicen un tipo de exponente como X
así como el cambio de signo [(-)].
3. Las funciones de tipo cos, sin, ln, e
x
…
-1
, X2, √, Xy y x√,
4. Las funciones de introducción de datos como por ejemplo [º ’’’] y [A B/c].
5. Las multiplicaciones y divisiones (la multiplicación puede estar implícita,
como por ejemplo 2cosπ).
6. Las sumas y restas.
7. Las funciones que denotan el n de una operación o que almacenan un
valor en la memoria: [EXE], [
Español
Cuando todos los operadores poseen el mismo nivel de prioridad, la
], [DT], etc.
calculadora los resuelve siguiendo simplemente el orden en el que aparecen
de izquierda a derecha. En el interior de los paréntesis, se mantiene el
orden de prioridad.
Su calculadora establece la diferencia entre los diferentes niveles de
prioridad y, según sea necesario, memoriza los datos y los operadores de
cálculo hasta proporcionar el resultado correcto de la operación, teniendo
en cuenta hasta un máximo de 24 niveles diferentes de operadores y 10
niveles de valores numéricos intermedios para la operación en curso.
Dichos niveles se denominan en inglés “stacks”. Si la operación realizada es
demasiado complicada y sobrepasa la amplia capacidad de su calculadora,
aparecerá el mensaje “Stk ERROR” (se ha excedido la capacidad de
“stacks”).
24 [÷] [(] 4[+]6 [)] [EXE] -> 24÷(4+6) | 2.4
El resultado (2,4) queda automáticamente almacenado en la memoria Ans.
Esto nos permite calcular 3x ANS + 60÷ANS
3 [x] [ANS] [+] 60 [÷][ANS] [EXE] -> 3xANS+60÷ANS | 32.2
Cálculos en cadena
Se trata de cálculos para los que el resultado del cálculo anterior sirve de
primer operando del cálculo siguiente. Es posible utilizar principalmente en
estos cálculos las funciones [√], [X2], [sin],...
Operaciones sucesivas
La utilización de la función Ans es esencial para la ejecución de operaciones
sucesivas escritas sobre una misma línea:
54 [+] 39 [ALPHA][ ] [Ans] [-] 18 [EXE] -> 93. Al pulsar la tecla [EXE] se
obtiene lo siguiente: 75
Memorias temporales (A - Z)
[ALPHA][A]
[][ALPHA][A]
[EXE]
[ALPHA] [~]
Recupera el contenido de la memoria A para
utilizarlo en un cálculo.
Almacena en la memoria “A” el valor mostrado en
la pantalla o el valor que se desea calcular.
Permite acceder simultáneamente al contenido de
varias memorias.
p. ej.:
5 [] [SHIFT] [A-LOCK] [A][~][D] [EXE] asigna el
valor 5 a las memorias A, B, C y D.
Recordatorio: [SHIFT] [A-LOCK]=[SHIFT][ALPHA], bloqueo de
[ALPHA]
0 [][ALPHA][A]
Puesta a cero de la memoria A.
[EXE] (cero)
[SHIFT][Mcl] [EXE]
Borra el contenido de todas las memorias
temporales.
Su calculadora dispone de 26 memorias temporales (A, B, C, D, E…, Y y Z).
Dichas memorias le permiten almacenar datos y recuperarlos para utilizarlos
en cálculos futuros.
Podrá utilizar las funciones [], [ALPHA] para cada una de las teclas
[A], [B], [C], [D], ... [Y] y [Z]. Recordatorio: la letra que puede accederse
mediante la función [ALPHA] está indicada en rojo y se encuentra en la
parte inferior derecha de la tecla que corresponda. p. ej.: “A” se encuentra
en la parte inferior derecha de la tecla [X-1].
Nota: es posible modicar la conguración de la calculadora para poder
disponer de un número superior a las 26 memorias temporales existentes.
El proceso a seguir se describe en el capítulo “Programación”.
6 [x] [ALPHA] [X] [EXE] -> 6xX | 12.
[ALPHA] [X][EXE] -> X | 2.
Las dos primeras líneas de cálculo modican el valor de X (X=5 y después
2), el cálculo 6xX utiliza el valor de X pero no lo modica.
X | 5.
X | 2.
5 [] [SHIFT] [A-LOCK] [A] [~][E] [EXE] -> 5
A, B, C, D y E contienen ahora todas el mismo valor, 5.
[ALPHA] [B] [x] [ALPHA] [C] [EXE] -> BxC | 25.
[SHIFT][Mcl] [EXE] -> Mcl | 25.
[ALPHA] [D] [EXE] -> D | 0.
La utilización de las teclas [SHIFT][Mcl] ha borrado el contenido de todas
memorias.
1 € = 140 Yenes, ¿cuánto son 33.775 Yenes en Euros? ¿Cuánto valen
Supongamos que deseamos efectuar la operación siguiente:
Artículos disponibles en almacén por la mañana = 200
Artículos suministrados durante el día: 5 cajas de 12 unidades
y 9 cajas de 6 unidades
Artículos vendidos durante el día: 2 cajas de 24 unidades
¿Cuántos artículos quedan en el almacén al nal del día?
Si cada artículo cuesta 3,50€, ¿Cuál es el valor total de los
artículos existentes en almacén?
Se introduce en la memoria el número de artículos existentes al principio en
el almacén:
200 [] [ALPHA] [A] [EXE] -> 200
Se añaden los artículos suministrados y se descuentan los artículos
vendidos:
[+] 5 [x] 12 [+] 9 [x] 6 [-] 2 [x] 24 [
-> 200.+5x12+9x6-2x24
Las existencias en almacén cuentan con 266 artículos.
Asimismo, para calcular el valor de las existencias se procede de la manera
siguiente:
3 [.] 5 [x] [ALPHA] [A] [EXE] -> 3.5xA | 931.
Cálculos de porcentaje
] [ALPHA] [A] [EXE]
A | 266.
[SHIFT] [%]
p. ej.:
El liceo cuenta con 312 niñas de un total de 618 alumnos, ¿cuál es el
porcentaje de niñas?
312 [÷] 618 [SHIFT] [%] | 50.48543689 es decir: el 50,5%
Precio original 200 euros, ¿cuál es el porcentaje de variación si el precio
cambia a 220 o a 180 euros?
220 [-] 200 [SHIFT] [%] -> 220-200 | 10 es decir, un 10% más caro
180 [-] 200 [SHIFT] [%] -> 180-200 | -10. es decir, un 10% más barato
División por el 10%
5 [÷] 10 [SHIFT] [%] -> 5÷10 | 50. (50÷0.1)
Un artículo cuesta 180 euros después de aplicar un descuento del 10%,
¿cuál era el precio original?
180 [÷] 90 [SHIFT] [%] -> 180÷90 | 200.
Esta función permite calcular un porcentaje, así como un
incremento o una reducción expresada en porcentaje.
3. FUNCIONES ARITMÉTICAS
Parte entera (Int), Parte decimal (Frac)
[SHIFT] [INT]
Proporciona la parte entera del valor introducido
inmediatamente después.
a = 3, b=1 et c=2. “a” es la parte entera de x, es decir, x= 3 + = 3,5
De hecho:
x = 3
x = 3
–
2
1
–
2
1
–
2
En notación d/c, d=7 et c=2.
Su calculadora le permite efectuar un cierto número de operaciones
aritméticas expresadas o convertidas en fracciones.
Es posible sustituir a, b y c por un cálculo colocado entre paréntesis. Sin
embargo, en algunos casos se podrá obtener un resultado expresado de
forma decimal pero no así un resultado expresado como una fracción.
┘5 | 1.65
La suma de una fracción y de un número decimal (cuyo parte decimal no
sea nula) tendrá como resultado un número decimal y no podrá convertirse
en fracción.
l Para efectuar una operación como por ejemplo + , si utilizamos
[SHIFT] [X-1],tan sólo obtendremos un resultado decimal que no puede
1
1
–
–
6
7
expresarse como fracción.
6 [X-1] + 7 [X-1] [EXE] -> 6-1+7-1 | 0.3095238095
l Para una fracción como por ejemplo:
24
–
4 + 6
Podremos utilizar la notación a b/c para obtener un resultado expresado
en fracciones. Para ello, será necesario introducir el cálculo de la manera
siguiente:
24 [a b/c] [(] 4 [+] 6 [)] [EXE] -> 24
[a b/c] -> 24
Se denomina factorial de n! o factorial n! el número siguiente:
n! = 1 x 2 x 3 x.....x (n-2) x (n-1) x n
donde n! representa el número de maneras diferentes en las que se puede
ordenar un número n de objetos distintos (n! permutaciones).
p. ej.:
8 caballos inician una carrera hípica. ¿Cuántas combinaciones existirán en
su orden de llegada?
Número de permutaciones en su orden de llegada = n! donde n = 8.
8 [SHIFT] [n!] [EXE] -> 40320.
Generación de número aleatorio (función Random)
[SHIFT] [Ran#]
[EXE]
p. ej.:
[SHIFT] [Ran #] [EXE] -> Ran # | 0.256
[EXE] -> 0.84
[EXE] -> 0.511
... etc.
Nota: se trata de generar un valor aleatorio, por lo tanto, manipulando los
números de la manera indicada no se obtendrán los mismos resultados
indicados en este manual.
Cálculo de la función factorial n!
Esta calculadora le permite calcular la función factorial
n! hasta un valor de n=69 (véase el capítulo “Mensajes
de error”).
Genera un número aleatorio ≥ 0 y <1, con tres cifras
signicativas.
Para generar la cifra siguiente, pulse [EXE].
Español
Si se desean sacar los números de la lotería primitiva (del 1 al 49), proceda
como sigue:
[MODE] [7] 0 [EXE]
modo Fix, con 0 cifras después de la coma decimal, ya que sólo queremos
que se muestren números enteros.
[SHIFT] [Ran #] [x] 48 [+] 1 [EXE] generará, teniendo en cuenta los
redondeos, un número comprendido entre 1 y 49.
[SHIFT] [Ran#] [x] 48 [+] 1 [EXE] -> RAN#x48+1 | 39.
[EXE] -> 32.
[EXE] -> 17.
[EXE] -> 2.
Calcular la circunferencia y la supercie máxima de la rueda de un automóvil
de Fórmula 1, cuyo radio máximo es de 660 mm.
Primero se calcula el radio (diámetro dividido por 2) expresado en metros y,
a continuación, se aplican las fórmulas “2�r” y “�r2” :
2 [SHIFT] [�] [ALPHA] [Y] [EXE] -> 2�Y | 2.073451151
[SHIFT] [�] [ALPHA] [Y] [X2] [EXE] -> �Y 2 | 0.34211944
El perímetro será por lo tanto 2,1 m en la supercie de 0,34 m2.
Observaciones: La multiplicación está implícita, no ha sido necesario pulsar
la tecla [x].
Unidades de ángulos
Selección de la unidad de ángulo y del tipo de conversión
expresado mediante diez cifras signicativas, es
decir: 3,141592654.
Y | 0.33
[MODE] 4 [EXE]
[MODE] 5 [EXE]
[MODE] 6 [EXE]
[SHIFT] [MODE] 4
(ó 5 ó 6) [EXE]
Selecciona grados como unidad de ángulo activa.
El símbolo D aparecerá en la pantalla.
Selecciona radianes como unidad de ángulo activa.
El símbolo R aparecerá en la pantalla.
Selecciona gradientes como unidad de ángulo
activa. El símbolo G aparecerá en la pantalla.
Convierte la medida de ángulo introducida en
grados (o radianes o gradientes) a la unidad activa
correspondiente.
Nota: el modo seleccionado se conserva una vez que la calculadora se
apaga y vuelve a encenderse. ¡Asegúrese de vericar la unidad activa antes
de efectuar sus cálculos!
p. ej.:
[MODE] [6] [EXE] -> Gra | 0. La pantalla muestra
G
Para convertir 90 grados en radianes, proceda como sigue:
[MODE] [5] [EXE] -> Rad | 0. La pantalla muestra
Para convertir 100 gradientes en grados:
[MODE] [4] [EXE] -> Deg | 0. La pantalla muestra
100 [SHIFT] [MODE] 6 [EXE] -> 100g | 90.
Para sumar 36, 9 grados y 41, 2 radianes y obtener un resultado en
gradientes:
[MODE] [6] [EXE] -> Gra | 0. La pantalla muestra
36[.]9 [SHIFT] [MODE] 4 [+] 41[.]2 [SHIFT] [MODE] 5 [EXE]
Una señal de tráco indica una pendiente del 5%. Proporcionar la medida
del ángulo en grados y en radianes.
Cuando una pendiente tiene un desnivel del 5%, signica que su altura
aumenta 5 m por cada 100 m de distancia. El seno del ángulo que se desea
calcular tendrá un valor de 5 dividido por 100, es decir 0,05.
Inicia la introducción de las coordenadas cartesianas
para su conversión en coordenadas polares.
Inicia la introducción de las coordenadas polares
para su conversión en coordenadas cartesianas.
Se utiliza junto con [SHIFT] [Pol(] o [SHIFT]
[Rec(], se coloca entre x e y, o r y para indicar la
introducción de la 2ª coordenada.
Paréntesis que indica la terminación de la
introducción del par de coordenadas.
Muestra la primera coordenada después de la
conversión, x o r.
Muestra la segunda coordenada después de la
conversión, y o .
Español
2
= tan-1 (y/x)
“x” e “y” reciben el nombre de coordenadas cartesianas o rectangulares,
mientras que “r” y “ ” representan las coordenadas polares.
Nota :
el ángulo se calculará dentro del intervalo [-180º,+180º] (grados
decimales); la medida angular se mostrará en la unidad angular
previamente seleccionada en la calculadora: es decir, en grados si se utiliza
la calculadora en modo Grados, o en radianes si se utiliza calculadora en
modo Radian, etc.
Las coordenadas se almacenan en las memorias temporales I y J después
de su conversión. Al igual que sucede con las otras memorias temporales,
éstas pueden recuperarse en cualquier momento y utilizarse para otras
operaciones.
En modo grados (se muestra D en la pantalla):
[MODE] 4 [EXE]
l Conversión de x= 6 e y= 4
[SHIFT] [Pol(]6 [SHIFT] [,] 4 [)] [EXE] -> Pol (6,4) | 7.211102551
La calculadora muestra directamente el resultado para la primera
coordenada, r= 7.211102551
[ALPHA] [J] [EXE] -> J | 33.69006753
J representa el valor de , es decir 33,69 grados.
Si deseamos volver a ver el valor de r:
[ALPHA] [I] [EXE] -> I | 7.211102551
l Conversión de r= 14 e = 36 grados
Español
[SHIFT] [Rec(] 14 [SHIFT] [,] 36 [)] [EXE] -> Rect(14,36)| 11.32623792
La calculadora muestra directamente el resultado para la primera
coordenada, x= 11.32623792.
[ALPHA] [J] [EXE] -> J | 8.228993532
[ALPHA] [I] [EXE] -> I | 11.32623792
5. CÁLCULOS EN BASE N
Recordatorio
Cambio de base
Efectuaremos nuestros cálculos de manera normal en base 10. Por ejemplo:
1675 = (1675)10 = 1x103 + 6x102 + 7x10 + 5
En modo binario, una cifra se expresa en base 2.
1 se escribe 1, 2 se escribe 10, 3 se escribe 11, etc.
El número binario 11101 será equivalente a:
(11101)2= 1x24 + 1x23 + 1x22 + 0x2 +1 = (29)
10
En modo octal, una cifra se expresa en base 8.
7 se escribe 7, 8 se escribe 10, 9 se escribe 11, etc.
El número octal 1675 será equivalente a:
(1675)8= 1x83 + 6x82 + 7x81 + 5= (957)
10
En modo hexadecimal, una cifra se expresa en base 16, cualquier cifra por
encima de 9 se sustituye por letras: 0123456789ABCDEF
9 se escribe 9, 10 se escribe A, 15 se escribe F, 16 se escribe 10, etc.
El número hexadecimal 5FA13 será equivalente a:
(5FA13)16= 5x164 + 15x163 + 10x162 + 1x161 + 3= (391699)
Además de las funciones aritméticas +, -, x, ÷, (-), se utilizan en base N
unos operadores lógicos que son funciones con una o dos variables A y B,
escritas de la manera siguiente:
l Not A (NON A o inversa de A)
l And (Y)
l Or (O)
l Xor (O exclusivo)
l Xnor (NO O exclusivo)
Los resultados de las funciones arriba indicadas corresponden a las
siguientes funciones de A y B:
ABNot AA and BA or BA xor BA xnor B
01
10
0010001
0110110
1000110
1101101
Español
Para valores de A y B superiores a 0 ó 1, el resultado se calcula paso por
paso en función de los valores expresados en modo binario. Por ejemplo si
A=(19)16=(11001)2 y B=(1A)16=(11010)2 :
A000000011001
B000000011010
A and B
000000011000
A xnor B111111111100
A and B = (11000)2 = (18)16 = (24)
A xnor B = (111111111100)2 = (FFFFFFFC)16 = (-4)
Cuando la calculadora está en modo de Base N, el mensaje BASE-N
permanece en la parte superior de la pantalla, mientras que en la parte
derecha se muestra un indicador de base.
l d para decimal.
l b para binario.
l o para octal.
l h para hexadecimal.
Para evitar confusiones con los nombres de las memorias temporales, las
cifras hexadecimales están identicadas de la manera siguiente sobre las
teclas de su calculadora:
A |A
B |B
C |C
D |D
E |E
Español
F |F
Observaciones relacionadas con el modo de Base N:
l Las teclas de las funciones correspondientes al modo de Base N están
indicadas en azul oscuro en la parte inferior izquierda de las teclas que
correspondan. Se encuentran en las las de teclas 3ª, 4ª y 5ª empezando
por arriba.
l Se conservará el modo seleccionado incluso si la calculadora se apaga y
vuelve a encenderse.
l Si se introduce un valor incompatible con la base seleccionada (p. ej.
[SHIFT] [Bin] 3, la calculadora mostrará Syn ERROR. Véase el apartado
“Mensajes de error” para obtener más información sobre los valores
admisibles en modo de Base N.
l La mayoría de las funciones generales no pueden utilizarse en modo de
Base N. Los apartados que se encuentran a continuación proporcionan
una información detallada sobre los operadores admisibles.
l Será posible utilizar las memorias y las teclas de almacenamiento en
memoria, así como sus correspondientes teclas de recuperación de
datos: [Ans], [ALPHA] [A]-[Z], [], [ALPHA] [~], [SHIFT][Mcl] (véase el
apartado “Utilización de las funciones de memoria”).
Permite pasar al modo de Base N, la indicación
BASE-N permanecerá visible en la parte superior de
la pantalla.
[MODE] [+]
Cancelación del modo de Base N, la calculadora
vuelve al modo normal.
[Dec] [EXE]
Selecciona la base 10 como base activa, la pantalla
mostrará la letra d.
[Bin] [EXE]
Selecciona la base 2 como base activa, la pantalla
mostrará la letra b.
[Oct] [EXE]
Selecciona la base 8 como base activa, la pantalla
mostrará la letra o.
[Hex] [EXE]
Selecciona la base 16 como base activa, la pantalla
mostrará la letra h.
[SHIFT] └d┘ ó └b┘ ó
└o┘ ó └h┘
Especica que el valor introducido inmediatamente
después esta en base 10 ó 2 ó 8 ó 16, cuando la base
activa es diferente.
[MODE] [-] y [MODE] [+] le permiten respectivamente acceder al modo
de Base N y al modo normal. Por lo tanto, no es necesario pulsar [EXE]
después de ejecutar este comando.
A partir de ahora, todo los ejemplos proporcionados en este capitulo
estarán en Base N.
Existen dos maneras de convertir un valor de una base a otra:
Método 1:
Una vez en el modo de Base N, seleccione la base del valor que se desea
convertir. Primero se introduce el valor y, seguidamente, se cambia la base.
Español
p. ej.:
Conversión de (11101)2 en base 10:
[Bin] [EXE] -> Bin |
11101 [EXE] -> 11101 | 11101
[Dec] [EXE] -> Dec | 29
b
b
d
Método 2:
Una vez en el modo de Base N, seleccione la base en la que desea
convertir un valor. A continuación, especique la base de origen e introduzca
dicho valor
p. ej.:
Conversión de (11101)2 en base 10:
[MODE] [-]
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [b] 11101 [EXE] -> b11101 | 29
Otros ejemplos de conversión (se utilizan ambos métodos):
Conversión de (5FA13)16 en base 8 y después en base 10:
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
5 [|F] [/A] 13 [EXE] -> 5FA13 | 5FA13
[Oct] [EXE] -> Oct | 1375023
[Dec] [EXE] -> Dec | 391699
Conversión de (1675)8 en base 10:
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [o] 1675 [EXE] -> o1675 | 957
Cálculos en base N
h
h
o
d
d
d
[+]
Español
[-]
[x]
[÷]
[Neg]
Suma.
Resta.
Multiplicación.
División.
Cambia el signo del valor introducido
inmediatamente después. Es un equivalente de la
tecla aritmética [(-)].
[(], [)]
Paréntesis.
Su calculadora le permite efectuar operaciones básicas (suma, resta,
multiplicación, división y paréntesis) en Base N. No obstante, deberá
tenerse en cuenta que en modo de Base N sólo pueden manipularse
números enteros. Si alguna operación genera un resultado decimal, sólo se
conservará la parte entera de su valor.
Asimismo, podrá utilizar en una misma línea de cálculo números expresados
en bases diferentes. El resultado se proporcionará en la base activa
previamente seleccionada.
p. ej.:
Si, en modo hexadecimal se resta 5A7 de 5FA13, el resultado será
siguiente:
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
5 [|F] [/A] 13 [-] 5 [/A] 7 [EXE] -> 5FA13-5A7 | 5F46C
Se multiplica dicho resultado por 12:
[x] 12 [EXE] -> 5F46Cx12 | 6B2F98
En modo binario se ejecuta (11010 + 1110) ÷10 de la manera siguiente:
[Bin] [EXE] -> Bin | 0
b
[(] 11010 [+] 1110 [)] [÷] 10 [EXE]
-> (11010+1110) ÷10 | 10100
b
Sumamos (101)2 y el número octal (12)8 y queremos obtener el resultado en
base 10:
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
d
[SHIFT] [b] 101 [+] [SHIFT] [o] 12 [EXE]
-> b101+o12 | 15
d
Se divide dicho resultado por 12
[÷] 12 [EXE] -> 15÷12 | 1
d
Sólo se conserva la parte entera del resultado de la división.
En modo hexadecimal se calcula el negativo de 1C6:
[Hex] [EXE] -> Hex | 00000000 h
[Neg] 1 [|C] 6 [EXE] -> Neg 1C6 | FFFFFE3A
[+]1 [|C] 6 [EXE] -> FFFFFE3A+1C6 | 0
h
h
Operadores lógicos en base N
[and]
[or]
[SHIFT] [xor]
[SHIFT] [xnor]
[Not]
Función Y
Función O.
Función O exclusivo.
Función NO O exclusivo.
Función NO (inverso) del valor introducido
inmediatamente después.
Español
Su calculadora ejecuta estos cálculos a partir de los valores que ha
introducido, independientemente de cual fuera la base inicial y los expresa
directamente en la base que ha seleccionado. El tipo de introducción
efectuada sigue el mismo método que el indicado para los operadores
aritméticos que se han explicado en el párrafo anterior.
p. ej.:
(19)16 OR (1A)16 en base 16
[Hex] [EXE] -> Hex | 0
19 [or] 1 [/A] [EXE] -> 19or1A | 1B
(120)16 XOR (1101)2 en modo decimal
[Dec] [EXE] -> Dec | 0
[SHIFT] [h] 120 [SHIFT] [xor] [SHIFT] [b] 1101 [EXE]
NO de (1234)8 en base 8 y, a continuación, en base 10, almacenamiento en
la memoria temporal G y comparación con Neg (1234)
[Oct] [EXE] -> Oct | 0 o
[Not] 1234 [EXE] -> Not 1234 | 7777776543
[Dec] [EXE] -> Dec | -669
[] [ALPHA] [G] [EXE] -> -669
[Oct] [EXE] -> Oct | 7777776543
[Neg] 1234 [EXE] -> Neg 1234 | 7777776544
[-] [ALPHA] [G] [EXE] -> 37777776544-G | 1 o
[Dec] [EXE] -> Dec | 1
G | -669
8
6. FUNCIONES ESTADÍSTICAS
Notas preliminares
Español
Recordatorio
Se dispone de un número de datos n sobre una muestra de medidas,
resultados, personas, objetos… Cada dato lo constituye uno (una variable
x) o dos números (dos variables x e y). Se desea calcular la media de estos
datos y la distribución de los mismos en función de la media, es decir, la
desviación típica.
Dichos datos se calculan a partir de los totales anotados:
o
d
d
o
o
d
∑x = x1+x2+x3+....x
2
∑x2= x
∑xy = x1y1+x2y2+x3y3+....x
Media x=
desviación típica / desviación estándar muestral para x:
+x
1
2
s =
√
desviación típica / desviación estándar poblacional para x:
Cuando se utilizan dos variables, se intentará deducir de los datos una
relación entre x e y. Estudiaremos a continuación la solución más simple:
contamos con una relación de tipo y=a+bx.
cov(x, y) es la covarianza:
n
cov (x,y) =
1
–
∑(x
n
i=1
– x)(yi – y) =
i
1
–
n
∑x y
– x y
La validez de esta hipótesis se verica mediante el cálculo siguiente:
cov (x,y)
–
o
o
x
y
denominada coeciente de correlación lineal. El resultado sigue estando
entre –1 y +1 y se considera como válido un resultado con valor absoluto
superior o equivalente a √3/2.
Su calculadora le permite obtener fácilmente estos resultados siguiendo los
pasos que se indican a continuación:
l Seleccione el modo estadístico que desee (con una o dos variables).
l Introduzca los datos.
l Verique que el valor de n corresponde exactamente al número de datos
teóricamente introducidos.
l Calcule la media x y la desviación típica (o desviación estándar) muestral
o poblacional, así como cualquier otro cálculo intermediario que sea
necesario ([∑x], [∑x2]) utilizando las teclas que correspondan.
l Si existen dos variables, utilice los mismos cálculos para “y” (media,
desviación típica) y, a continuación, calcule la regresión lineal (a y b en
y=a+bx), así como el coeciente de correlación lineal.
l Si la correlación lineal se considera válida, podrá calcularse el valor
estimado de y para un valor dado de x, o el valor estimado de “x” para un
valor dado de “y” utilizando la relación y=a+bx.
Muestra el valor del coeciente a, b para la regresión
lineal y=a+bx.
[SHIFT] [r]
[SHIFT] [y]
[SHIFT] [x]
^
^
Muestra el valor del coeciente de correlación lineal r.
Proporciona el valor estimado de y utilizando la
fórmula de regresión lineal para el valor introducido
^
de x.
Proporciona el valor estimado de x utilizando la
fórmula de regresión lineal para el valor introducido
^
de y.
Estadísticas con una variable: ejemplo práctico
Benjamín y sus amigos han obtenido los resultados siguientes en los
exámenes de francés:
AlumnoABCDEFGHIJ
nota89.5101010.5111313.514.515
Calcular la media y la desviación típica (muestral) de las notas obtenidas por
Benjamín y sus amigos
[MODE] [x] -> La pantalla mostrará
SD1.
[SHIFT] [Scl] [EXE] -> Scl Pone a cero la pantalla de la calculadora.
8 [DT] -> 8. comienzo de la introducción de datos.
9 [.] 5 [DT] -> 9.5
10 [DT] [DT] -> 10.
ó 10 [SHIFT] [;] 2 [DT] para introducir dos veces el mismo valor.
Español
Y así sucesivamente:
10 [.]5 [DT]
11 [DT]
13 [DT]
13[.]5 [DT]
14 [.]5 [DT]
15 [DT]
La pantalla muestra la letra n y se verica que el número mostrado
corresponde al número de valores introducidos:
[ALPHA][W] EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 11.5
Su media es de 11,5.
Si se desea calcular la varianza, pulse
[x2][EXE] -> 2.345207882 | 5.5 será la varianza.
Si se desea sustituir el primer valor, 8 en 14, proceda como sigue:
8 [CL]
14 [DT]
Observamos que n permanece igual a 10 pero que la media ha sido
modicada:
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 12.1
Esta vez volveremos a efectuar el ejercicio utilizando las notas obtenidas en
los exámenes de matemáticas, es decir:
AlumnoABCDEFGHIJ
nota47.51288814.5171818
Español
[SHIFT] [Scl] [EXE] -> Scl Pone a cero la pantalla de la calculadora.
Puede vericarse de la siguiente manera:
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 0.
Comienzo de la introducción de datos:
4 [DT] -> 4 | 4.
7 [. ] 6 [AC] 7 [.] 5 [DT] -> error de introducción de datos antes de
pulsar [DT] y corrección.
13 [DT]
13 [CL]
12 [DT] -> error de introducción de datos después de
pulsar [DT] y corrección.
8 [SHIFT] [;] 3 [DT] -> se ha introducido tres veces el número 8
o
8 [DT] [DT] [DT]
14 [.] 5 [DT]
Y así sucesivamente hasta 18 [DT] [DT]
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 10.
[SHIFT] [x] [EXE] -> x | 11.5
Su media es también en este caso 11,5.
Observamos que la media es la misma pero que, sin embargo, el valor de
la desviación típica es mayor en este caso: según los resultados, es posible
concluir que existe una mayor desviación entre las notas de los alumnos.
Por consiguiente, su nivel será menos homogéneo en matemáticas que en
francés.
A título de ejercicio, en este ejemplo (las notas de matemáticas) se obtienen
los valores siguientes para ∑x y ∑x2 :
[ALPHA] [V] [EXE] -> 115. es decir, ∑x
[ALPHA] [U] [EXE] -> 1555.5 es decir, ∑x
2
Estadísticas con 2 variables: ejemplo práctico
Disponemos de la tabla siguiente en la que x es la longitud en milímetros e y
es el peso en miligramos de una oruga de mariposa a través de sus distintas
etapas de desarrollo.
X221215212121
Y552425404040
Se pasa al modo estadístico con dos variables:
[MODE] [÷] -> La pantalla muestra
LR
[SHIFT] [Scl] [EXE] -> Mcl Pone a cero la pantalla de la
calculadora
Se inicia la introducción de datos:
2 [SHIFT] [,] 5 [DT] -> 2.
Español
para introducir el mismo valor por segunda vez:
[DT] -> 2.
12 [SHIFT] [,] 24 [DT] -> 12.
16 [SHIFT] [,] 25 [AC] error de introducción de datos
antes de pulsar [DT].
15 [SHIFT] [,] 24 [DT]
15 [SHIFT] [,] 24 [CL] [EXE] error de introducción de datos
después de pulsar [DT].
15 [SHIFT] [,] 25 [DT] corrección.
21 [SHIFT] [,] 40 [SHIFT] [;] 3 [DT] para introducir tres veces el mismo valor:
-> 21.
Vericamos el valor n:
[ALPHA][W] [EXE] -> W | 7.
Se muestran los resultados de la regresión lineal:
[SHIFT] [A] [EXE] -> A | 1.050261097
[SHIFT] [B][EXE] -> B | 1.826044386
[SHIFT] [r] [EXE] -> r | 0.9951763432
r es superior a √3/2 = 0.866 aproximadamente, por tanto, se verica la
validez de la regresión.
Gracias a la regresión lineal, se estima el valor de y a partir de x=3:
3 [SHIFT] [y] [EXE] -> 3y | 6.528394256
^
Se estima el valor de x a partir de y=46:
46 [SHIFT] [x] [EXE] -> 3x | 24.61590706
^
^
^
Utilizando las teclas del modo estadístico de su calculadora, podrá mostrar
fácilmente todos los resultados intermediarios, como por ejemplo los
siguientes:
∑xy : [ALPHA] [R] [EXE] -> 3203.
[SHIFT] [y
Regresión no lineal
Español
] [EXE] -> 14.50967306
o
n
A continuación se muestran los tipos de regresiones que pueden
averiguarse utilizando su calculadora, así como los valores que deberá
introducir tanto para x como para y: