AUTOMGEN est une marque déposée par la société IRAI.
L’utilisation de cette marque ne peut se faire sans l’accord
préalable de la société IRAI.
Introduction
Avec le logiciel AUTOMGEN Starter Kit nous allons vous faire
découvrir le monde des automatismes. Comme vous pourrez
vous en rendre compte, l’automatisme est partout dans notre
vie quotidienne. Cette technologie passionnante vous permettra
de matérialiser vos projets les plus ambitieux en ayant
l’impression de vous amuser.
Mais commençons sans plus attendre …
Installation du logiciel
Le logiciel AUTOMGEN Starter Kit nécessite un ordinateur
compatible PC possédant les caractéristiques suivantes :
- système d’exploitation WINDOWS 98 SE, XP, VISTA ou
WINDOWS 7,
- au moins 256 Mo de mémoire disponible,
- un disque dur possédant un espace libre de 60 Mo au moins,
- une carte vidéo avec au moins une résolution de 800 par 600
pixels en mode 65535 couleurs.
Allumez votre ordinateur et placez le CD-ROM contenant
AUTOMGEN Starter Kit dans le lecteur de CD-ROM (vous
pouvez aussi télécharger AUTOMGEN STARTER KIT sur notre
site Internet www.irai.com).
L’installation est lancée automatiquement. Si ce n’est pas le
cas, cliquez sur le menu « Démarrer » de WINDOWS, sur la
commande « Exécuter », puis sur le bouton « Parcourir » et
choisissez le fichier « Setup.exe » qui se trouve dans le
répertoire racine du CD-ROM.
Répondez ensuite aux questions du programme d’installation…
La version de démonstration du logiciel AUTOMGEN Starter Kit
vous a été confiée à des fins d’évaluation. Cette version ne
permet pas la sauvegarde des applications. Elle peut être
transformée en version définitive du produit en introduisant un
numéro de série qui vous sera délivré lors du passage de votre
commande.
L’équipe technique et commerciale d’IRAI vous remercie de
l’intérêt que vous portez à ses produits.
Contacter IRAI
Pour toutes questions ou remarques techniques ou
commerciales vous pouvez nous contacter à votre choix
Par téléphone :
04 66 54 91 30
Par Fax :
04 66 54 91 33
Par email :
stephane.massart.irai@orange.fr
Par courrier :
IRAI
17 avenue du 19 mars 1962 – 30110 LA GRAND COMBE
Vous pouvez obtenir des informations complémentaires sur nos
produits sur notre site Internet :
www.irai.com
Cliquez sur le bouton « Ouvrir » de la barre d’outils en haut de
Cliquez ici
l’écran et allez ouvrir le fichier nommé « Exemple » qui se
trouve dans le sous-répertoire « Exemples\général » du
répertoire où a été installé AUTOMGEN Starter Kit
(« C:\Program Files\IRAI\ASK2 » par défaut).
Remarque : l’appui sur les interrupteurs avec le bouton gauche
de la souris les fait changer de position (bistable), avec le
bouton droit, l’interrupteur reprend sa position au relâchement
(monostable).
Ceci termine notre rapide tour d’horizon de présentation du
logiciel AUTOMGEN Starter Kit.
Nous vous laissons découvrir les autres exemples.
La suite de la notice vous permettra d’apprendre à utiliser
l’environnement et le langage d’automatisme graphique
simplifié ASK qui constituera les briques de vos propres
programmes d’automatismes…
Comme nous avons pu le découvrir dans le chapitre précédent,
un scénario doit être choisi au lancement du logiciel. Ce choix
influe sur les éléments disponibles pour créer les programmes
et sur la façon dont ils seront exécutés (pilotage ou simulation
de telle ou telle interface, simulation, etc …).
La case à cocher « Ne plus afficher cette boîte de dialogue au
démarrage » permet de figer le scénario au démarrage
d’AUTOMGEN STARTER KIT. Au prochain lancement, le
scénario précédent sera utilisé sans proposer de choix à
l’utilisateur.
Pour revenir à la boîte de dialogue de choix, il faut presser la
touche [SHIFT] du clavier pendant le démarrage d’AUTOMGEN
STARTER KIT.
Choix d’un mode de représentation
Les boutons radios « environnement sérieux et environnement
moins sérieux » permettent de choisir entre deux styles
d’environnement (c’est vraiment selon votre goût).
Enregistrement de votre licence
Un numéro de licence vous est fourni lorsque vous décider
d’acquérir AUTOMGEN STARTER KIT. Ce numéro de licence
vous est attribué de façon unique, ne le communiquez à
aucune autre personne. Le bouton poussoir « LICENCE » vous
permet d’enregistrer votre numéro de licence et de transformer
la version de démonstration en version définitive.
La création des programmes peut s’effectuer entièrement à la
souris. Un programme se crée principalement en prenant des
éléments (des blocs) sur la barre qui se trouve à droite ou à
gauche de l’écran et en les posant sur la feuille.
La barre
La feuille
Modifier le paramétrage d’un bloc
Certains blocs sont configurables, cela veut dire qu’un bloc peut
avoir plusieurs comportements possibles, par exemple un bloc
temporisation permettra d’attendre un temps plus ou moins
long.
Les blocs configurables sont reconnaissables par la ou les
zones contenues sur leurs surfaces. Ces zones sont de couleur
noire et contiennent des caractères verts.
Pour modifier le réglage contenu dans une de ces zones,
déplacez le curseur de la souris au dessus. Des éléments
apparaissent alors.
Si la zone contient une valeur numérique, alors des boutons
« + » et « - » apparaissent au dessous de la zone. En cliquant
sur ces boutons on modifie la valeur. Vous pouvez également
modifier directement la valeur en cliquant sur la zone et en
entrant la nouvelle valeur au clavier. Déplacer le curseur de la
souris hors de la zone valide la nouvelle valeur.
Si la zone contient autre chose qu’une valeur numérique, alors
une liste apparaît. Vous modifiez alors le paramètre en
choisissant un élément de la liste avec la souris.
Déplacer un bloc
Pour déplacer un bloc se trouvant sur la page , cliquez dessus,
laissez le bouton de la souris enfoncé et déplacez le curseur.
Relâcher le bouton de la souris termine le déplacement du bloc.
Effacer un bloc
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur un bloc et
choisissez l’option « Effacer » dans le menu qui s’ouvre.
Sélectionner un ou plusieurs blocs
Cliquez sur un bloc le sélectionne ou le déselectionne (c’est
une bascule). Des carrés noirs apparaissent au quatre coins
d’un bloc sélectionné. Si la touche [SHIFT] du clavier est
enfoncée, alors on peut sélectionner plusieurs blocs en cliquant
sur chacun. Une autre méthode pour sélectionner un ensemble
de blocs est de cliquer sur un endroit vide de la feuille, puis de
laisser le bouton de la souris enfoncé et enfin de déplacer le
curseur de la souris. Une marque se dessine. Relâcher le
bouton de la souris sélectionne l’ensemble des blocs se
trouvant partiellement ou non dans l’espace défini par la
marque.
Les blocs ainsi marqués peuvent être déplacés ou effacés en
utilisant la même méthode que pour un seul bloc.
Dessiner une liaison
En cliquant avec le bouton droit de la souris sur la page, vous
pouvez choisir la commande « Dessiner un lien » qui permet de
dessiner une ligne composée de blocs de type « Liens » entre
deux points.
Les liens permettent simplement de relier une action à un test
(cela est utile pour reboucler un programme comme dans notre
exemple précédent).
Traitements parallèles
Le langage ASK peu être utilisé pour définir plusieurs tâches
qui doivent s’exécuter en même temps. Pour cela il suffit de
dessiner plusieurs chemins sur la page de programme.
Exemple :
Choix
Les blocs et permettent d’aiguiller
l’exécution d’un programme vers une branche ou une autre.
Le bloc
deux branches ainsi créées doivent aboutir sur deux tests.
Le bloc permet quand à lui de raccorder deux
branches en une seule. Les deux branches doivent arriver de
deux tests. La branche qui repart au dessous doit aboutir à une
action.
Exemple :
doit être écrit en dessous d’une action, les
Les autres éléments du langage
Les temporisations
Les temporisations sont des éléments du langage permettant
d’attendre un certain temps. Une temporisation porte un
Le langage ASK permet d’utiliser des variables numériques
nommées « mots ». Les variables numériques sont repérées
par la lettre « M » suivi d’un numéro allant de 200 à 4999 (les
mots 0 à 199 sont réservés).
Les mots sont des variables numériques signées codées sur 16
bits.
Deux blocs d’action permettent de placer une constante dans
un mot ou d’effectuer un calcul entre deux mots et déposer le
résultat dans un troisième mot.
Deux blocs de test permettent de comparer une variable
numérique avec une constante ou avec un autre mot.
Pour certains scénarios, une boîte de dialogue permet de tester
l’interface et de créer des métablocs personnalisés.
Le bouton poussoir « Configurer » qui apparaît sur la boîte de
dialogue de choix de scénarios permet d’accéder à cette
fonctionnalité.
Le bouton « Essayer » permet de piloter manuellement les
sorties de l’interface connectée ainsi que de visualiser l’état des
entrées. Le bouton « Associer un bloc » permet de créer un
élément de programmation qui deviendra accessible en phase
de programmation.
Les configurations ainsi créées peuvent être sauvegardées et
relues depuis un fichier sur le disque dur.
Scénarios, interfaces d’entrées sorties
Pour les interfaces non détaillées dans cette notice, l’attribution
des variables est réalisée dans l’ordre : l’entrée 0
d’AUTOMGEN STARTER KIT est la première entrée de
l’interface, la sortie 0 la première sortie de l’interface.
Les exemples installés dans le sous-répertoire « exemple » du
répertoire d’installation d’AUTOMGEN STARTER KIT
contiennent des informations pour certaines interfaces.
Pour utiliser ce scénario, vous devez connecter un module
d’entrées/sorties RPX I/O configuré comme esclave numéro 1.
Le câblage des capteurs et des actionneurs sur l’interface RPX
I/O doit être conforme à celui décrit dans les documentations
techniques fournies par la société POLYDIS.
Pour utiliser ce scénario, vous devez connecter l’interface FISCHERTECHNIK® sur le port
parallèle du PC. Le câblage des capteurs et des actionneurs doit être le suivant :
SORTIES :
Montée de l’ascenseur O0
Descente de l’ascenseur O1
Voyant vert O2
Voyant orange O3
Voyant rouge O4
ENTRÉES
Appel de l’ascenseur au rez-de-chaussée I0
Appel de l’ascenseur au niveau 1 I1
Appel de l’ascenseur au niveau 2 I2
Ascenseur présent au niveau 0 I3
Ascenseur présent au niveau 1 I4
Ascenseur présent au niveau 2 I5
Ce driver se configure automatiquement. L’interface peut être
connectée sur COM1 ou COM2, elle est détectée de façon
automatique au lancement de l’exécution de l’application
d’automatisme.
Raccordement
Le raccordement entre l’interface LEGO® et l’ordinateur doit
être réalisé par un câble de liaison série fourni par LEGO®.
Correspondance des entrées / sorties
Les variables suivantes sont en correspondances avec
l’interface :
Entrées I0 à I7 : les 8 états booléens des entrées de l’interface.
Sorties O0 à O15 : les 16 sorties booléennes de l’interface :
O0 = sens 1 de la sortie A,
O1 = sens 2 de la sortie A,
O2 = sens 1 de la sortie B,
O3 = sens 2 de la sortie B,
O4 = sens 1 de la sortie C,
O5 = sens 2 de la sortie C,
O6 = sens 1 de la sortie D,
O7 = sens 2 de la sortie D,
O8 = sens 1 de la sortie E,
O9 = sens 2 de la sortie E,
O10 = sens 1 de la sortie F,
O11 = sens 2 de la sortie F,
O12 = sens 1 de la sortie G,
O13 = sens 2 de la sortie G,
O14 = sens 1 de la sortie H,
O15 = sens 2 de la sortie H.
Remarque : si les sens 1 et 2 sont pilotés en même temps pour
une sortie, alors la sortie n’est pilotée ni dans un sens ni dans
l’autre.
Mots M200 à M207 : les 8 entrées analogiques pour le capteur
de température et le capteur optique.
Mots M208 à M215 : les 8 entrées numériques pour le capteur
de position angulaire.
L’entrée I8 donne l’état de fonctionnement de l’interface : I8=1
si l’interface est connectée et que le fonctionnement est correct,
I8=0 si l’interface est déconnectée ou que le bouton poussoir
STOP est enfoncé.
Ce driver se configure automatiquement. L’interface peut être
connectée sur COM1 ou COM2, elle est détectée de façon
automatique au lancement de l’exécution de l’application. Un
seul module peut être connecté. Le module doit être configuré à
l’adresse 1 : interrupteurs i0 à i4 à 0, interrupteur i5 à 1. La
parité doit être réglée à « sans parité » : interrupteur i6 à 0. La
vitesse est détectée automatiquement et peut être réglée à
l’une des valeurs possibles 38400 bauds (i8 à 1 et i9 à 1),
19200 bauds (i8 à 0 et i9 à 1), 9600 bauds (i8 à 1 et i9 à 0) ou
4800 bauds (i8 à 1 et i9 à 1).
Le watchdog de l’interface RPX I/O est activé automatiquement.
Les sorties passent à l’état 0 en cas de rupture de la
communication.
Raccordement
Le raccordement entre l’interface RPX I/O et l’ordinateur doit
être réalisé par un convertisseur RS232/RS485 (voir la
documentation CROUZET).
Correspondance des entrées / sorties
Seules les entrées sorties booléennes sont utilisables.
Pour chaque module de l’interface RPX I/O 16 entrées I et 16
sorties O sont réservées.
Les variables suivantes sont en correspondances avec
l’interface :
Ce driver se configure automatiquement. L’interface peut être
connectée sur LPT1, LPT2, LPT3 ou LPT4 elle est détectée de
façon automatique au lancement de l’exécution de l’application
d’automatisme. Deux modules peuvent être connectés.
Raccordement
Le raccordement entre l’interface FISCHERTECHNIK et
l’ordinateur doit être réalisé par un câble de liaison parallèle
fourni par FISCHERTECHNIK.
Correspondance des entrées / sorties
Les variables suivantes sont en correspondances avec
l’interface :
Entrées I0 à I15 : les 16 états booléens des entrées de
l’interface.
O10 = sens 1 de la sortie M6,
O11 = sens 2 de la sortie M6,
O12 = sens 1 de la sortie M7,
O13 = sens 2 de la sortie M7,
O14 = sens 1 de la sortie M8,
O15 = sens 2 de la sortie M8.
Mots M200 à M201 : les 2 entrées analogiques.
L’entrée I16 donne l’état de fonctionnement de l’interface :
I16=1 si l’interface est connectée et que le fonctionnement est
correct, I16=0 si l’interface est déconnectée.
Le raccordement entre l’interface LEGO® 9771 et l’ordinateur
doit être réalisé par un câble fourni par LEGO®.
Correspondance des entrées / sorties
Les variables suivantes sont en correspondances avec
l’interface :
Entrées I0 à I1 : les 2 états booléens des entrées de l’interface.
Sorties O0 à O5 : les 6 sorties booléennes de l’interface :
O0 = sortie 0 et sens 1 de la sortie A,
O1 = sortie 1 et sens 2 de la sortie A,
O2 = sortie 2 et sens 1 de la sortie B,
O3 = sortie 3 et sens 2 de la sortie B,
O4 = sortie 4 et sens 1 de la sortie C,
O5 = sortie 5 et sens 2 de la sortie C,
L’interface doit être connectée sur le port imprimante LPT1.
Configuration
Les mots 200 à 204 configurent dynamiquement le driver.
Le mot 200 contient le nombre de cartes installées (1 par
défaut, doit être compris entre 0 et 4)
Le mot 201 contient le type des E/S TOR pour la carte 1(1 bit à
0=entrée, 1 bit à 1=sortie) par défaut contient la valeur
hexadécimale ff00 (0 à 7 en entrée, 8 à 15 en sortie)
Mots 202, 203, et 204 : idem pour les cartes 2, 3 et 4
Correspondance des entrées / sorties
Les E/S TOR sont attribuées dans l’ordre à partir de l’entrée 0
et de la sortie 0.
Le mot 205 reçoit la première entrée analogiques, les autres
sont rangées à la suite.
Les entrées analogiques des éventuelles autres cartes sont
rangées à la suite.
Les sorties analogiques sont attribuées aux mots suivants.
Les sorties analogiques des éventuelles autres cartes sont
attribuées à la suite.
L’interface doit être connectée sur le port imprimante LPT1.
Configuration
Le mot 200 donne, par l’état de chacun de ses 16 bits la nature
de chacun des ports de l’interface. Le bit 0 donne la nature du
port 0, le bit 1 la nature du port 1, etc… Un bit à 0 indique un
port en entrée, un bit à 1 un port en sortie.
Correspondance des entrées / sorties
Les E/S TOR sont attribuées dans l’ordre à partir de l’entrée 0
et de la sortie 0 d’AUTOMGEN STARTER KIT.
Ces scénarios permettent d’utiliser une simulation 3D de très
haute qualité. Les boutons situés en bas de la fenêtre de
simulation 3D permettent de naviguer dans le monde 3D.
La souris peut également être utilisée : en cliquant avec le
bouton gauche de la souris dans le monde 3D, en dehors des
éléments, sur le fond et en déplaçant la souris tout en laissant
le bouton gauche enfoncé, on change de point de vue.