Respecter dans le projet, les règles en
vigueur et en particulier
- le DTU 65.14 P1
- le CPT planchers réversibles à eau basse
température
- le guide de pose
DANFOSS HEATING SOLUTIONS
Guide de pose
Plancher
Document Technique
Document technique Guide de pose
INTRODUCTION
Danfoss, spécialiste du confort dans l’habitation, a prouvé depuis des décennies
son expertise avec une gamme diversifiée de produits de qualité : régulation des
émetteurs et de l’ambiance, vannes d’équilibrage performantes et pratiques pour
toutes les installations, composants pourbrûleurs et chaudières pour ne citer
qu’eux. Danfoss entend se positionner aujourd’hui comme un « solutionneur
climatique » répondant aux besoins des installations modernes et aux
nouveaux défis environnementaux en intégrant dans sa gamme une offre
Plancher Chauffant basse température et pompe à chaleur.
3 – Isolation sous chape flottante ...................................... 6
4 – Pose du collecteur ............................................................ 7
5 – Pose du Tube ...................................................................... 9
5-1 Coupe du tube et raccordement au colecteur
5-2 Pose du tube
5-3 Passage d’une cloison, joint de
fractionnement ou de dilatation
6 – Remplissage et pression d’épreuve............................. 14
7 – Enrobage du tube plancher de type A....................... 16
7-1 Enrobage minimum
7-2 Armatures et qualité du béton (plancher de type A)
7-3 Joint de fractionnement
7-4 Disposition particuliere pour les revêtement de sol scellé 7-4-1 Armature et qualité du béton
7-4-2 Joint de fractionnement
8 – Les planchers de type C............................................... 22
9 – Première mise en Chauffe.............................................. 25
10 – Revêtement de sol........................................................... 26
11– Les chapes auto lissantes ou fluides.......................... 27
12– Plancher chauffant et rafraîchissant........................... 27
13– Les élements du plancher Danfoss............................. 28
14– Vos notes............................................................................. 29
Si la hauteur de réservation avant la mise en
place des isolants est supérieure à celle calculée
et spécifiée par le maître d’œuvre, la solution
sera apportée, non pas par une surépaisseur de
la couche d’enrobage, mais par la mise en œuvre
sous l’isolant d’un ravoirage, d’un enduit de
préparation de sol, ou d’un ragréage
COUPE 2
Bande de pourtour
Isolat ion
Plancher Support
Ragréage
COUPE 1
S’assurer également que le support est plan et
horizontal et exempt de gravats, dans le cas
contraire prévoir un ravoirage (Coupe 1) ou un
ragréage (Coupe 2).
S’assurer qu’aucune gaine électrique et
hydraulique ne passera dans la chape
d’enrobage, dans le cas contraire prévoir un
ravoirage sous la couche isolante. (Coupe 3).
Extrait Règlementation
DTU 65.14
Bande de pourtour
Isolat ion
Isolation
Plancher Support
Ravoi rage
COUPE 3
Tube d'alimentation Collecteur
Bande de pourtour
Isol at ion
Isolation
Plancher Support
6.1 Supports admissibles
«Le support destiné à recevoir la sous-couche
isolante doit avoir une planéité de 7 mm sous la
règle de 2 m et 2 mm sous la règle de 20 cm avec
un aspect de surface fin et régulier qui de préparation de sol ou d’un ravoirage est alors nécessaire.»
Ravoirage
Correspond à l’état de surface d’un béton surfacé à
parement soigné. Si le support ne présente pas les
tolérances de planéité et l’état de surface requis, la
mise en œuvre d’un enduit.
L’isolation périphérique doit être posée sur toute
paroi verticale (cloisons extérieures et
Intérieures, refend, droit des portes).
Elle devra :
- Etre en contact avec la dalle porteuse.
- Avoir une épaisseur de 5mm mini
- Aller du plancher support jusqu’à la surface
finie du plancher.
Plinthe
Bande isolante
de pourtour ép:
BANDE DE DESOLIDARISAT ION
Extrait Règlementation
DTU 65.14
4.4.2 Bande d’isolation périphérique
La bande d’isolation périphérique doit aller du
plancher support jusqu’à la surface finie du
plancher et permettre un mouvement de la dalle
d’au moins 5 mm.
(§ 4.2.2.2 Bande d’isolation périphérique — NF EN
126 4 - 4
La bande d’isolation périphérique doit être réalisée
en matériaux résilients d’épaisseur minimale 5mm.
NOTE ; cette prescription est conforme au paragraphe 4.3 de la norme NF P 61-203 qui précise de
plus que la bande d’isolation peut comporter un
rabat destiné à éviter la pénétration de laitance.
5
Document technique Guide de pose
Préconisations
3 – Isolation sous chape flottante
Se reporter au bilan thermique fait par le bureau
d’étude agréé.
En aucun cas, l’isolation sous chape flottante ne
devra être inférieure aux valeurs garde fous
données dans l'annexe C du DTU 65.14. et celles
durcies par la RT2005
Valeur garde-fous
Resistance
thermique,
R(m².K/W)
Pièce sur local
chauffé
Terre plein
0.751.72.152.52.6
pièce sur sous -sol
ou non chauffé, vide
Les isolants doivent être de classe SC1 a ou b ou
SC2 a, et impérativement de classe Ch. (plancher
chauffant)
SC(1,2) : classe d’incompressibilité
a, b : charge d’exploitation
ch : Plancher chauffant
Planchers bas
donnant sur
l’extérieur
sanitaire
Pièce sur extérieur
ou garage collectif
Extrait Règlementation
DTU 65.14
6
4.4 Isolants
4.4.1 Sous-couches isolantes
La norme NF EN 1264-4 impose des valeurs
minimales de résistance thermique d’isolants en
fonction des conditions thermiques sous la
structure du plancher chauffant apportées soit par :
— la résistance thermique d'un seul isolant de
désolidarisation,
— la somme des résistances thermiques de tous les
isolants de la paroi.
Par ailleurs, la réglementation thermique impose
des valeurs de coefficient de transmission thermique maximales ou des valeurs de résistance
thermique minimales suivant les cas (garde-fous).
On se référera à l’annexe C pour le choix des
résistances thermiques des isolants de la paroi, en
fonction de la configuration sous la dalle support.
Dans les deux cas cités ci-dessus, on respectera
toujours une valeur minimale. Ces valeurs peuvent
être apportées par la somme de tous les isolants de
la paroi en respectant toujours une valeur minimale
de résistance thermique de l’isolant flottant (1 ou 2
isolants superposés) de 0,75 m².K/W.
Document Technique Guide de pose
Préconisations
4 – Pose du collecteur
Le collecteur devra être posé au-dessus du
niveau des tubes à environ 50 cm. Le module du
collecteur départ sera au niveau supérieur, le
module retour avec les vis de réglage au niveau
inférieur.
Extrait Règlementation
DTU 65.14
6.3.4 Raccordements au distributeur ou collecteur
Afin d'assurer un bon assemblage raccord/tube, il
est indispensable de couper ce dernier à 90° à l'aide
d'un outil spécial assurant une coupe d'équerre.
Pour les tubes en matériau de synthèse, les raccords
ou adaptateurs utilisés sont ceux définis dans le
cadre de l'Avis Technique sur le système de
canalisation. Pour les tubes en cuivre, les raccords
utilisés doivent être conformes à la norme NF EN
1254 ou être titulaires d’un Avis Technique favorable.
Ils doivent tous rester accessibles. Le tube est
raccordé directement sur les organes d'arrêt ou de
réglage ou sur les distributeurs et collecteurs. Les
distributeurs et collecteurs sont situés au-dessus du
niveau des tubes, et sont placés horizontalement,
afin de pouvoir assurer la purge de l'installation.
7
Document technique Guide de pose
ASSEMBLAGE COLLECTEURLe collecteur FHF est utilisé pour contrôler le
débit d’eau dans les systèmes de chauffage par le
sol. Chaque tube du système de chauffage par le
sol est raccordé au collecteur, ce qui permet de
contrôler le débit d’eau ou l’apport de chaleur
dans chaque pièce du bâtiment. Le collecteur est
composé d’un collecteur d’alimentation et d’un
collecteur de retour. Le collecteur d’alimentation
offre la possibilité d’arrêter chaque circuit
individuellement et offre également un débitmètre en option. Le collecteur de retour est équipé
de vannes de préréglage Danfoss intégrées qui
garantissent un équilibre hydraulique optimal
dans le système. Les vannes peuvent être
commandées électroniquement par des
actionneurs thermiques ou agir directement
au moyen de régulateurs de température à
distance. Le collecteur est livré en modules de 12
sorties maximum. Des rallonges sont par ailleurs
disponibles pour raccorder les collecteurs en
série. Les vannes à billes sont disponibles en
option pour obtenir un arrêt positif entre le
collecteur et le système. Les embouts FHF-EM et
FHF-EA sont fournis avec un purgeur manuel ou
encore avec un purgeur automatique, un robinet
de purge. Les embouts sont placés à l’extrémité
du collecteur.
Afin d'assurer un bon assemblage raccord/tube, il
est indispensable de couper ce dernier à 90°.
Placer l’écrou
Placer le raccord
Placer la rondelle
A 1mm du bord
Placer l’ensemble sur
le collecteur
Pièces fournies et montées de serie :
Ecrou
Rondelle
Raccord
Extrait Règlementation
DTU 65.14
6.3.3 Pose des tubes
6.3.3.1 Déroulement du tube
6.3.3.1.1 Cas des tubes en matériau de synthèse
Le tube est raccordé au distributeur suivant les
prescriptions du paragraphe 6.3.4 ci-après. Il est
déroulé en commençant par l'extérieur de la
couronne et en sens inverse de l'enroulement. Après
fixation, le tube est de nouveau raccordé au
collecteur sans qu'il y ait eu d'interruption.
6.3.4 Raccordements au distributeur ou collecteur
Afin d'assurer un bon assemblage raccord/tube, il
est indispensable de couper ce dernier à 90° à l'aide
d'un outil spécial assurant une coupe d'équerre.
Pour les tubes en matériau de synthèse, les raccords
ou adaptateurs utilisés sont ceux définis dans le
cadre de l'Avis Technique sur le système de
canalisation. Pour les tubes en cuivre, les raccords
utilisés doivent être conformes à la norme NF EN
1254 ou être titulaires d’un Avis Technique favorable.
Ils doivent tous rester accessibles. Le tube est
raccordé directement sur les organes d'arrêt ou de
réglage ou sur les distributeurs et collecteurs. Les
distributeurs et collecteurs sont situés au-dessus du
niveau des tubes, et sont placés horizontalement,
afin de pouvoir assurer la purge de l'installation.
6.3.5 Voisinage des autres canalisations
Aucune canalisation ou gaine autre que les tubes
des circuits du plancher chauffant ne doit être
incluse dans une
dalle d’enrobage, ni dans le ou les isolants. NOTE
Voir paragraphe 6.1 de la norme NF P 61-203 Mise
en oeuvre des sous couches isolantes sous chape ou
dalle flottantes et sous carrelage (Référence DTU
26.2/52.1). Une canalisation verticale traversant une
dalle désolidarisée isolée doit en être séparée par un
fourreau tel que décrit dans la norme NF P 61-203.
Le système de pose préconisé par Danfoss est la
pose en colimaçon.
1 – Repérer la boucle à débiter sur les longueurs
de 240ml ou 120ml
(Chaque longueur de boucle est majorée
d’environ 6ml)
Conditionnement
2 – Raccorder le tube au collecteur et commencer
la pose du circuit choisi en commençant sur la
périphérie de la pièce, en respectant les préconisations du plan de pose et de l’étude hydraulique.
(Pas de pose, longueur de tube posée.)
5.3 – Passage d’une cloison, joint de fractionnement ou de dilatation
Dans le cas où le tube devra traverser une cloison
ou un mur de refend, le tube devra être placé
dans un fourreau.
Dans le cas ou le tube devra traverser un joint de
fractionnement
Tube
10 cm
cloison, mur etc...
Bande de pourtour
10 cm
Fourreau
Extrait Règlementation
DTU 65.14
12
6.6 Joints de fractionnement
Pour des dalles chauffantes destinées à recevoir un
revêtement de pierre ou de carrelage, les surfaces
entre joints ne doivent pas dépasser 40 m2 avec un
maximum de 8 m pour la plus grande longueur.
Dans le cas de pièces rectangulaires, les surfaces
peuvent dépasser ces dimensions mais avec un
rapport maximum de dimensions de 2 à 1. Si des
joints de fractionnement sont réalisés dans des
dalles chauffantes, la profondeur de sciage ne doit
pas dépasser le tiers de l'épaisseur de la dalle, et être
soumis à considération dans les constructions de
type A selon la position des canalisations, et doivent
être rebouchés après mise en chauffe.
Dans le cas de dalles chauffantes de types A et C, les
joints de dilatation et les bandes périphériques
peuvent être seulement traversés par les canalisations aller et retour et uniquement sur un seul
niveau. Dans ce cas,
les canalisations aller et retour doivent être
protégées par un manchon en matériau compressible sur au moins 0,3 m.
e
Document Technique Guide de pose
Préconisations
Le DTU 65.14 autorise le passage des tubes sous
un joint de fractionnement.
La profondeur de sciage ne doit pas dépasser le
tiers de l’épaisseur de la dalle d’enrobage.
dalle d'enrobage
tube
isolation
support
Dans le cas où le tube devra traverser un joint de
dilatation de dalle désolidarisée : (DTU 65.8 ; long
15ml surface 150m²) absent du nouveau DTU
65.14. (Préconisation suivant les Documents
particuliers du Marché.)
dalle d'enrobage
tube
isolation
3 cm 3 cm
0
0
Joint de fractionnement
Joint de dillatation de dall
support
Dans le cas où le tube devra traverser un joint de
dilatation du bâtiment.
La norme interdit le passage de tube dans un
joint de dilatation du bâtiment.
Le remplissage d’une installation de plancher
chauffant doit être réalisé boucle par boucle.
Quand il y a risque de gel, des mesures appropriées telles que l’utilisation d’antigel ou le
chauffage du bâtiment doivent être prises.
1- Isoler le plancher du reste du circuit en
fermant les vannes sur l’arrivée et le départ du
collecteur.
Extrait Règlementation
DTU 65.14
2- Fermer chacune des boucles
Avant de réaliser la dalle, l'étanchéité des circuits de
chauffage doit être vérifiée par un essai sous
pression d'eau.
La pression d'essai est de 2 fois la pression de service
avec un minimum de 6 bars. Pendant la réalisation
de la dalle, cette pression doit être appliquée aux
canalisations. L'absence de fuites et la pression
d'essai doivent être inscrites dans un rapport d'essai.
Quand il y a risque de gel, des mesures appropriées
telles que l'utilisation d'antigel ou le chauffage du
bâtiment doivent être prises. Si la protection
anti-gel n'est plus nécessaire dans les conditions
normales de fonctionnement, l'antigel doit être
vidangé et l'installation doit être rincée au moins
trois fois avec de l'eau propre.
Déclipser la protection rouge et visser le
débimètre, jusqu’a la butée.
En vissant le bouchon au maximum
6.3.6.1 Tubes en matériau de synthèse
Le remplissage d’une installation de plancher
chauffant doit être réalisé boucle par boucle. L’essai
d’étanchéité est réalisé selon le paragraphe 4.3
ci-dessus de la norme NF EN 1264-4. L’essai consiste
à vérifier, pour tout ou partie de l’installation qu’il
n’y a pas de diminution de la pression hydraulique
mesurée par un manomètre et que l’installation est
étanche. Il dure au minimum deux heures après la
stabilisation de l’indication du manomètre ou 30
minutes augmentées du temps nécessaire à
l’inspection de l’étanchéité de chaque boucle.
Durant la phase d’enrobage et de prise du béton, et
dans le cas où le plancher chauffant est raccordé au
réseau d’eau de ville, la pression est au minimum
celle de l’eau de ville en continu.
3- Raccorder le tuyau d’alimentation d’eau de
ville sur la vanne de remplissage départ. Puis
alimenter en eau de ville. S’assurer que la vis du
purgeur automatique est ouverte.
Vis du purgeur automatique
Vanne de remplissage
4- Ouvrir et remplir boucle par boucle, le
remplissage s’effectue et l’air est chassé par le
purgeur automatique. Une fois l’opération de
remplissage de la boucle terminée refermer la
boucle et répéter l’opération.
5- Retirer l’alimentation d’eau de ville et placer la
pompe d’épreuve afin d’amener la pression de
l’installation à 6 bars, les boucles seront alors
toutes ouvertes. Cette pression devra être
maintenue sur une durée de 2h. Un contrôle
d’étanchéité pour alors être réalisé.
Déclipser la protection
rouge et dévisser le
débimètre, jusqu’a la
butée.
Durant la phase d’enrobage et de prise du béton,
et dans le cas où le plancher chauffant est
raccordé au réseau d’eau de ville, la pression est
au minimum celle de l’eau de ville.
IsolantPlanchers de type A
SC1 a et b35 mm
SC2 a40 mm
SC2 bnon autorisée
L’épaisseur minimale d’enrobage du tube
dépend également des caractéristiques mécaniques de l’isolation.
Il est de la responsabilité du Maître d’œuvre de
limiter cette épaisseur et donc la masse surfacique au minimum, pour améliorer le temps de
réponse du plancher chauffant.
Extrait Règlementation
DTU 65.14
16
Pour les dalles chauffantes, les différents types
suivants sont considérés (voir EN 1264-1:1997, 3.11) :
— Type A — Éléments chauffants dans la dalle ;
— Type C — Éléments chauffants dans la couche
d’enrobage, sur laquelle la dalle est réalisée avec
une double couche de désolidarisation.
L’épaisseur de la couche d’enrobage doit être au
moins de 20 mm de plus que le diamètre extérieur
des éléments chauffants. La dalle supérieure doit
avoir une épaisseur d’au moins 45 mm.
Document Technique Guide de pose
Plancher de type A sol collé
Préconisations
7-2 Armatures et qualité du béton
- Armatures ou systèmes limitant la fissuration.
- Le treillis le plus couramment utilisé maille
50x50 650g/m² 1.4x1.8
- Composition de la dalle d’enrobage.
- Ciment : norme NF EN 197-1 de type CEM I, CEM
II, CEM III, CEM IV ou CEM V et de classe de
résistance 32,5 N ou 32,5 R ou 42,5 N ou 42,5 R
dosé à 350 kg/m3 de béton (DTU 52.1)
- Granulats : utiliser des granulats naturels
conformes aux spécifications de la norme XP P
18-545 et NF EN 12620. La dimension nominale
supérieure du plus gros granulat (Dmax) est
limitée à 10 mm.
dalle d'enrobage
- Dalle béton dosé à 350kg/m3
- Agrégats Dmax 10mm
- Treillis Métallique
- 50 x 50 650kg/m²
- 1.4 x 1.8
- Eau de gâchage : L’eau de gâchage utilisée peut
être l'eau distribuée par des réseaux publics ainsi
que toute eau potable. Dans les autres cas, l'eau
de gâchage utilisée doit répondre aux spécifications de la norme NF P 18-303. (Remplacé par la
norme NF EN 1008 (IDC P 18-211))
- Adjuvant : plastifiant ou super plastifiant
conforme à la norme NF EN 934.2 et compatible
avec la nature des tubes.
35 mm mini à 45 mini
Extrait Règlementation
DTU 65.14
Isolation SC1, SC2
Support
conforme à la règle
de planéitée
Un exemple de configuration de plancher de
Type A revêtements de sol collés
4.3.1 Cas des planchers de type A
Le quadrillage limitant la fissuration doit avoir :
— soit une maille maximale de 50 x 50 mm et une
masse minimale de 650 g/m2,
— soit une maille maximale de 100 x 100 mm et
une masse minimale de 1000 g/m2,
NOTE Par exemple, le treillis soudé 1,4 mm x 1,8 mm
en mailles de 50 x 50 pèse environ 670 g/m2.
Un joint de fractionnement est nécessaire sur
une surface supérieure à 40m² et un linéique
supérieur ou égale à 8 ml.
Un joint de fractionnement est nécessaire au
niveau des passages de portes.
Un joint de fractionnement est nécessaire dans
les angles saillants des pièces en L.
La profondeur de sciage ne doit pas dépasser le
tiers de l’épaisseur de la dalle, et être soumis à
considération dans les constructions de type A.
Les sciages doivent être rebouchés après mise en
chauffe avec un élement souple.
dalle d'enrobage
tube
isolation
support
Joint de fractionnement
Des précautions particulières doivent être prises
dans le cas où le tube doit traverser un joint de
dilatation de dalle désolidarisé : (DTU 65.8 ; long
15ml surface 150m²) absent du nouveau DTU
65.14. (Préconisation suivant les Documents
particuliers du Marché.) Voir par 5.3 du manuel
technique.
7-4 Disposition particuliere pour les revêtement de sol scellé
La mise en œuvre d’un revêtement scellé impose
l’application d’un mortier de scellement
désolidarisé.
La couche désolidarisée est dissociée de la
couche d’enrobage par une double couche de
désolidarisation.
La pose sur support sans désolidarisation n'est
autorisée que sur les dalles de béton et les
planchers considérés comme supports non
récents. (Chape d’enrobage du tube âgé de plus
de 6 mois et âpres 1er mise en chauffe) DTU 52.1
- Epaisseur et composition de l’enrobage du tube
Idem que Revêtement de sol collé ou flottant
- Couche de désolidarisation
- Non tissé synthétique de 160 g/m2 minimum
posé sur un film de polyéthylène de 150 μm
d’épaisseur minimale,
- Tout autre dispositif faisant l’objet d’un Avis
Technique favorable pour cet emploi.
Composition du mortier de scellement (DTU
52.1)
Cette couche désolidarisée peut être constituée :
- d’un mortier de scellement tel que défini par la
norme NF P 61-202 (Référence DTU 52.1),
- d’un mortier tel que défini par la norme NF P
14-201 (Référence DTU 26.2),
- de tout autre procédé possédant un Avis
Technique favorable pour cet emploi.
- Ciment : de type CEM I, CEM II, CEM III, CEM V/A
ou B et de classe de résistance 32,5 N ou 32,5 R
ou 42,5 N ou 42,5 R dosé à 275 kg/m3 (+ - 50kg)
(DTU 52.1)
La double couche de désolidarisation est
constituée de :
- 2 films de polyéthylène de 150 μm d’épaisseur
minimale chacun,
Extrait Règlementation
DTU 65.14
6.5 Mise en oeuvre de la couche désolidarisée (cas
des planchers de type C)
(Voir Tableau 1)
La double couche de désolidarisation est mise en
oeuvre de la façon suivante :
— le film inférieur est déroulé sur l’ensemble de la
surface de la couche d’enrobage,
— la couche supérieure (film ou non tissé) est
déroulée sur le film inférieur à lés croisés ou pas,
avec recouvrement entre lés d’au moins 10 cm, ce
film est remonté sur la bande périphérique.
NOTE La présence d’armatures ou de système
limitant les fissurations n’est pas requise La couche
désolidarisée, lorsqu’elle est destinée à recevoir un
revêtement de sol collé, doit répondre aux exigences
de planéité et d’état de surface nécessaires afin de
recevoir le revêtement prévu.
- Granulats : utiliser des granulats naturels
conformes aux spécifications de la norme XP P
18-545 et NF EN 12620.
Le sable utilisé est du sable de rivière ou de
carrière lavé dont la propreté est telle que PS 70.
Sa classe granulométrique est 0/4 mm.
- L'emploi de sable à lapin est interdit ainsi que
celui du sable de dune non lavé.
Pour le béton de forme la dimension du plus gros
granulat utilisable est de 16 mm (au sens de la
norme XP P 18-540).
- Eau de gâchage : L'eau de gâchage utilisée peut
être l'eau distribuée par des réseaux publics ainsi
que toute eau potable. Dans les autres cas, l'eau
de gâchage utilisée doit répondre aux spécifications de la norme NF P 18-303. (Remplacé par la
norme NF EN 1008 (IDC P 18-211))
Couche de désolidarisation
Polyane. (1)
Dalle d'enrobage
- Dalle béton dosé à 350kg/m3
- Agrégats Dmax 10mm
- Adjuvant : Des adjuvants et, en particulier, des
plastifiants peuvent être ajoutés au mortier de
pose et de jointoiement. Ces produits doivent
être conformes à la norme NF EN 934-2.
Seuls sont autorisés les adjuvants dont les
fonctions principales sont : plastifiant-réducteur
d'eau, super plastifiant / haut réducteur d'eau,
hydrofuge de masse, retardateur de prise.
Mortier de scellement
- dosage moyen 275k g/m3 (+ - 50kg)
- Sable 0/4 mm
35 mm mini à 45 mini
40 mm mini
- Treillis Métallique
- 50 x 50 650kg/m²
- 1 .4 x 1.8
Isolation SC1, SC2
Support
conforme à la règle
de planéitée
Un exemple de configuration de plancher de
Type A revêtements de sol scellés
(1) La couche de désolidarisation dispense une
première mise en température après le coulage
et séchage de la dalle d’enrobage. Cette mise en
chauffe se fera après la pose des revêtements
scellés.
Le treillis le plus couramment utilisé
maille 100x100 325g/m²
- Composition de la dalle d’enrobage.
Ciment : norme NF EN 197-1 de type CEM I, CEM
II, CEM III, CEM IV ou CEM V et de classe de
résistance 32,5 N ou 32,5 R ou 42,5 N ou 42,5 R
dosé à 350 kg/m3 de béton (DTU 52.1)
Granulats : utiliser des granulats naturels
conformes aux spécifications de la norme XP P
18-545 et NF EN 12620. La dimension nominale
supérieure du plus gros granulat (Dmax) est
limitée à 10 mm.
4.3.2 Cas des planchers de type C
Le quadrillage limitant la fissuration est constitué
d’un treillis soudé de maille maximale 100 x100
mm et de masse minimale 325 g/m2.
Compositions du mortier de scellement
Cette couche désolidarisée peut être constituée :
- d’un mortier de scellement tel que défini par la
norme NF P 61-202
(Référence DTU 52.1),
- des mêmes constituants que ceux de la couche
d’enrobage.
- d’un mortier tel que défini par la norme NF P
14-201 (Référence DTU 26.2),
- de tout autre procédé possédant un Avis
Technique favorable pour cet emploi.
Eau de gâchage : L'eau de gâchage utilisée peut
être l'eau distribuée par des réseaux publics ainsi
que toute eau potable. Dans les autres cas, l'eau
de gâchage utilisée doit répondre aux spécifications de la norme NF P 18-303. (Remplacée par la
norme NF EN 1008 (IDC P 18-211))
Adjuvant : plastifiant ou super plastifiant
conforme à la norme NF EN 934.2 et compatible
avec la nature des tubes.
- des mêmes constituants que ceux de la couche
d’enrobage.
- d’un mortier tel que défini par la norme NF P
14-201 (Référence DTU 26.2),
- de tout autre procédé possédant un Avis
Technique favorable pour cet emploi.
Extrait Règlementation
DTU 65.14
Ciment : de type CEM I, CEM II, CEM III, CEM V/A
ou B et de classe de résistance 32,5 N ou 32,5 R
ou 42,5 N ou 42,5 R dosé à 275 kg/m3 (+ - 50kg)
(DTU 52.1)
La double couche de désolidarisation est
constituée de :
- 2 films de polyéthylène de 150 μm
d’épaisseur minimale chacun,
- 1 non tissé synthétique de 160 g/m2
minimum posé sur un film de polyéthylène de
150 μm d’épaisseur minimale,
- tout autre dispositif faisant l’objet
d’un Avis Technique favorable pour cet
emploi.
6.5 Mise en oeuvre de la couche désolidarisée (cas
des planchers de type C)
(Voir Tableau 1)
La double couche de désolidarisation est mise en
oeuvre de la façon suivante :
— le film inférieur est déroulé sur l’ensemble de la
surface de la couche d’enrobage,
— la couche supérieure (film ou non tissé) est
déroulée sur le film inférieur à lés croisés ou pas,
avec recouvrement entre lés d’au moins 10 cm, ce
film est remonté sur la bande périphérique.
NOTE La présence d’armatures ou de système
limitant les fissurations n’est pas requise La couche
désolidarisée, lorsqu’elle est destinée à recevoir un
revêtement de sol collé, doit répondre aux exigences
de planéité et d’état de surface nécessaires afin de
recevoir le revêtement prévu.
- Un gain de 10 à 15mm de hauteur de réservation par rapport à une pose scellée sur un
plancher de type A (suivant la classe
d’incompressibilité de l’isolant)
- L’utilisation d’un treillis limitant les fissurations
d’une gamme inférieure
- Un gain de temps, car pas de mise en chauffe
après coulage de la chape d’enrobage
- L’association de revêtements de sol collés et
scellés tout en gardant la même hauteur de
réservation
- La mise en chauffe doit être effectuée 14 jours
au minimum après la réalisation de la dalle
d’enrobage.
- La température de la première mise en chauffe
devra être comprise entre 20 et 25°C durant une
période de 3 jours
PhasesSéchage de la dalle d’en-
robage
Opération à
Système à l’arrêt20 mmEnv 35 à 40°C (suivant étude
réaliser
Duréede 14 à 21 jours3 jours4 jours
Montée en températureTempérature de service
hydraulique)
Extrait Règlementation
DTU 65.14
25
6.9 Première mise en chauffe
Cette opération doit être effectuée au moins 21
jours après la réalisation de la dalle dans le cas
d'une dalle en
béton ou en accord avec les instructions du
fabricant mais de toute façon après un minimum de
7 jours dans
le cas de dalle à base d'anhydrite. La première mise
en chauffe commence avec un fluide à une
température comprise entre 20 °C et 25 °C qui doit
être maintenue pendant au moins trois jours.
Ensuite, la température maximale de service doit
être atteinte et maintenue pendant au moins
quatre jours supplémentaires. Les processus de mise
en chauffe et de préchauffage doivent faire l'objet
de documents.
La durée de 21 jours est ramenée à 14 jours au
minimum dans le cas d’une dalle en béton en raison
des exigences
du présent document en ce qui concerne la qualité
des constituants de la couche d’enrobage.
La température du fluide chauffant est portée à la
température maximale de service selon les
prescriptions du
paragraphe 4.4 de la norme NF EN 1264-4. NOTE 1
La température maximale de service est la
température de départ calculée dans les conditions
de base. NOTE 2 Ce mode de mise en chauffe a pour
conséquence une montée en température progressive de la couche d’enrobage. Une mise en chauffe
préalable à la pose du revêtement de sol est :
— obligatoire pour les planchers de type A,
— facultative pour les planchers de type C et ceux
de type A à revêtements scellés désolidarisés.
Document Technique Guide de pose
Préconisations
La pose des revêtements de
sol s’effectue après la première
mise en chauffe suivant les
préconisations du DTU 65.14
10 – Revêtement de sol.
Les revêtements collés carreaux céramiques
- Carreaux céramiques, ou analogues collés au
moyen de mortiers-colles
- La pose d'un carrelage collé est réalisée en
respectant les dispositions particulières telles
que définies dans le Cahier des Prescriptions
Techniques «Revêtements de sols intérieurs et
extérieurs en carreaux céramiques ou analogues
collés au moyen de mortiers-colles».
- Le mortier-colle devra avoir une classification
C2S ou un avis technique autorisant la pose sur
chauffage au sol hydraulique.
- Le chauffage devra être interrompu 48 heures
avant l'exécution des travaux. La remise en
chauffe ne peut intervenir qu'après un délai de 2
jours à l'issue des travaux.
Parquets collés
- Le séchage naturel doit être complété par une
mise en température de l'installation de chauffage et son maintien pendant au moins trois
semaines avant la pose. Durant cette période le
parquet devra être entreposé.
- La pose de parquets en bois de bout n'est pas
admise sur sol chauffant.
- Le chauffage doit être interrompu 48 h avant
l'application de l'enduit de lissage et ne doit être
progressivement remis en route qu'une semaine
au moins après la pose du parquet.
Parquets et revêtements de sol contrecollés à
parement bois en pose flottante
Se référer à la norme NF P 63-204 (Référence DTU
51.11). Dans le cas où le fabricant autorise une
pose sur sol chauffant, quelle que soit la saison, il
y a lieu, préalablement aux travaux
de parquetage, de mettre en route le chauffage
pendant trois semaines au moins.
La pose du parquet est alors réalisée en respectant les dispositions particulières telles que
définies dans la norme NF P 63-204-1 (Référence
DTU 51.11). Le chauffage ne doit être progressivement remis en route qu’une semaine au moins
après la pose du parquet.
Planchers en bois ou à base de bois
La pose du plancher est réalisée en respectant
les dispositions particulières telles que définies
dans la norme NF P 63-203-1 (référence DTU
51.3).
Revêtements de sol stratifiés
Dès lors ou ils ont fait l’objet d’un Avis Technique
favorable pour l’emploi sur plancher chauffant, la
mise en chauffe préalable à la pose des revêtements de sols stratifiés contenant des résines
thermodurcissables et de leur sous couche de
désolidarisation associée, la pose du revêtement
et la première mise en chauffe de l’ouvrage
terminé, sont réalisées en respectant les
dispositions particulières telles que définies dans
les Avis Technique les concernant.
Revêtements plastique.
La pose du revêtement plastique est réalisée en
respectant les dispositions particulières telles
que définies dans la norme NF P 62-203
(Référence DTU 53.2). Le chauffage sera interrompu 48 h avant application de l’enduit de
lissage si elle est nécessaire et ne sera remis en
route que 48 h au moins après la mise en œuvre
du revêtement.
Revêtements textiles
- La pose du revêtement textile est réalisée en
respectant les dispositions particulières telles
que définies dans la norme NF P 62-202-1
(Référence DTU 53.1).
- Le chauffage sera interrompu 48 h avant
application de l’enduit de lissage si elle est nécessaire et ne sera remis en route que 48 h au moins
après la mise en œuvre du revêtement.
Revêtements de sol scellés
- La pose d'un carrelage scellé est réalisée en
respectant les dispositions particulières telles
que définies dans la norme NF P 61-202-1
(Référence DTU 52.1)
- En pose adhérente sur la couche d’enrobage (de
type A sans polyane), une première mise en
température du plancher chauffant, doit avoir
été conduite avant la pose du carrelage.
- Respecter les joints de fractionnement de la
dalle d’enrobage (soit 40 m2 et 8 m linéaires).
- Le chauffage doit être interrompu 48 heures
avant l'exécution des travaux de carrelage La
remise en chauffe ne peut intervenir qu'après un
délai de 7 jours à l'issue des travaux.
- En cas de pose désolidarisée sur la couche
d’enrobage (type A avec polyane), la première
mise en chauffe du plancher avant exécution du
carrelage est facultative.
- Il n’est pas nécessaire de suivre les éventuels
joints de fractionnement de la dalle d’enrobage.
Créer alors des joints de fractionnement dans le
mortier de scellement tous les 40 m² et les
couloirs seront fractionnés par tranche de 6 m
linéaires.
- Dans tous les cas, lorsque le carrelage se
poursuit d’une pièce à l’autre, placer un joint de
fractionnement au seuil. Ce fractionnement sur
seuil n’est pas nécessaire pour les pièces de très
petites surfaces, par exemple groupes sanitaires.
Le chauffage doit être interrompu 48 heures
avant l'exécution des travaux de carrelage La
remise en chauffe ne peut intervenir qu'après un
délai de 7 jours à l'issue des travaux.
Autres revêtements
Pour tous revêtement (et leurs produits de
liaisonnement associés), autres que ceux
énumérés ci-dessus, qui ont fait l’objet
d’un Avis Technique favorable pour l’emploi sur
plancher chauffant, la mise en chauffe préalable
à la pose des revêtements, la pose du revêtement et la première mise en chauffe de l’ouvrage
terminé, sont réalisées en respectant les
dispositions particulières telles que définies dans
les Avis Technique les concernant.
L’enrobage peut également être réalisé par
une chape fluide à base de ciment ou de sulfate
de calcium(anhydrite) prêt à l’emploi ou prêt à
gâcher, conforme à la norme NF EN 13813 et
faisant l’objet d’un Document Technique
d’Application visant son emploi en plancher
chauffant à eau basse température
En mode rafraichissement la chape fluide à base
de sulfate de calcium (anhydrite) n’est pas
autorisée.
Dans le cas d’emploi en plancher chauffant
rafraichissant, une sécurité réglée à 16°C doit être
mise en place au niveau du départ d’eau de
l’installation.
12 - Plancher chauffant et rafraîchissant
(PCR)
Le plancher chauffant rafraîchissant doit
être réalisé dans le respect du Cahier des
Prescriptions Techniques (CPT) du Centre
scientifique et technique du bâtiment, (CPT
planchers réversibles à eau basse température).
Les chapes d’enrobage des tubes sont
exclusivement réalisées à base de liants
hydrauliques, à l’exclusion de tout autre matériau
d’enrobage.
Les revêtements autorisés sont :
- Carrelages et revêtements plastiques.
- La mise en oeuvre des autres revêtements
est autorisée sous conditions du respect des
prescriptions du CPT. Ces revêtements doivent
faire l’objet d’un avis technique du CSTB
précisant leur compatibilité avec l’application
Plancher chauffant réversible.
Les circuits d’eau des locaux dont les
revêtements sont incompatibles avec cette
utilisation devront être fermés en été, soit
manuellement, soit à l’aide de cartouches
thermostatiques.
La température de l’eau en circulation dans le
plancher rafraîchissant ne sera pas inférieure aux
valeurs ci-dessous :
Zone géographiqueProfondeur
de la zone
Zone côtière de la Manche, de la Mer du Nord et de
l’Océan Atlantique au nord de l’embouchure de la
Loire
Zone côtière de l’Océan Atlantique au sud
de l’embouchure de la Loire et au nord de
l’embouchure de la Garonne
Zone côtière de l’Océan Atlantique au sud de
l’embouchure de la Garonne
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