Dubai, United Arab Emirates
Dubaï, Émirats arabes unis
Dubái (Emiratos Árabes Unidos)
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BurjKhalifa
Described as both a ‘Vertical City’ and ‘A Living Wonder’, Burj Khalifa,
at the heart of downtown Dubai, is also the world’s tallest building.
Developed by Dubai-based Emaar Properties PJSC, Burj Khalifa rises
gracefully from the desert and honors the city with its extraordinary
union of art, engineering and meticulous craftsmanship.
At 2,716.5 ft. (828 m), the equivalent of a 200-story building, Burj Khalifa
has 160 habitable levels, the most of any building in the world. The
tower was inaugurated on January 4, 2010, to coincide with the fourth
anniversary of the Accession Day of His Highness Sheikh Mohammed
Bin Rashid Al Maktoum, Vice President and Prime Minister of the UAE
and Ruler of Dubai.
Arguably the world’s most interesting construction project, Burj Khalifa
is responsible for a number of world firsts. The tower became the
world’s tallest man-made structure just 1,325 days after excavation
work started in January 2004.
Burj Khalifa utilized a record-breaking 430,000 cubic yds. (330,000 m3)
of concrete; 42,990 tons (39,000 metric tons) of steel reinforcement;
1.1 million sq. ft. (103,000 m
2
) of glass; and 167,000 sq. ft. (15,500 m2) of
embossed stainless steel. The tower took 22 million man-hours to build.
With a total built-up area of 5.67 million sq. ft. (526,000 m2), Burj Khalifa
features 1.85 million sq. ft. (170,000 m2) of residential space, over 300,000
sq. ft. (28,000 m2) of office space, with the remaining area occupied by
a luxury hotel. In 2003, as a result of an international design
competition, Skidmore, Owings & Merrill LLP (SOM) was selected from
a group of five international competitors to carry out the architecture
and engineering of the Burj Khalifa.
With famous architecture in the Haj Terminal at Jeddah Airport and
National Commercial Bank, SOM is no stranger to Middle Eastern
design. SOM incorporated patterns and elements from traditional Islamic
architecture, but the most inspiring muse was a regional desert flower,
the Hymenocallis, whose harmonious structure is one of the organizing
principles of the tower’s design. Three ‘petals’ are arranged in a triangular
shape and unified at the center, and instead of repeated identical
patterns, the architectural plan appoints successively receding and
rotated stories.
The Y-shaped plan is ideal for residential and hotel usage, with the wings
allowing maximum outward views and inward natural light. Viewed from
above or from the base, the tips of the Y-shaped plan evoke the onion
domes of Islamic architecture. During the design process, engineers
rotated the building 120 degrees from its original layout to reduce
stress from prevailing winds.
Architecturally, the building transforms itself from a solid base expression
to a vertically expressed middle section of polished stainless steel,
projected metal fins, and glass. Only vertical elements were used here,
as the fine dust in Dubai’s air would build up on any horizontal projecting
elements.
With the design and engineering of Burj Khalifa, Skidmore, Owings &
Merrill LLP (SOM) joined forces with Dubai based developers Emaar
Properties PJSC, to redefine what was possible with supertall buildings.
With a portfolio that includes some of the most important architectural
accomplishments of the 20th and 21st centuries, including the John
Hancock Center and Willis (formerly Sears) Tower, SOM was perfectly
placed to carry out this challenging task.
To create Burj Khalifa—a building that shatters all previous height records
at 2,716.5 ft. (828 m)—a team of more than 90 designers and engineers
combined cutting edge technology and culturally-influenced design to
create a global icon that will serve as a model for future urban centers.
Burj Khalifa is truly the product of international collaboration; over 60
consultants including 30 on-site contracting companies from around
the world were involved in the project.
At the peak of construction, over 12,000 professionals and skilled
workers from more than 100 countries were on site every day. The
world’s fastest high-capacity construction hoists, with a speed of up
to 6.5 ft./sec (2 m/sec or 120 m/min), were used to move men and
materials.
Over 1.59 million cubic ft. (45,000 m
concrete, weighing more than 121,254
tons (110,000 metric tons), were used
to construct the concrete and steel
foundations, which feature 192 piles,
buried more than 164 ft. (50 m) deep.
Burj Khalifa employs a record-breaking
11.6 million cubic ft. (330,000 m3) of
concrete; 42,990 tons (39,000 metric
tons) of reinforced steel; 1.1 million sq.
ft. (103,000 m2) of glass; 166,800 sq. ft.
(15,500 m2) of embossed stainless steel;
and the tower took 22 million man-hours
to build. The amount of reinforced steel
used at the tower would, if laid end to
end, extend over a quarter of the way
around the world. The concrete used
is equivalent to a sidewalk 1,200 miles
(1,900 km) in length, and the weight of
110,000 elephants. The weight of the
empty building is 551,156 tons (500,000
metric tons).
The tower accomplished a world record for the highest installation of
an aluminum and glass facade, at a height of 1,679.8 ft. (512 m). The
total weight of aluminum used on Burj Khalifa is equivalent to that
of five A380 aircraft, and the total length of stainless steel ‘bull nose’
fins is 293 times the height of the Eiffel Tower in Paris.
La tour Burj Khalifa a battu tous les records, utilisant 330 000 m3
de béton, 39 000 tonnes de poutres en acier, 103 000 m² de verre
et 15 500 m² d’acier inoxydable gaufré. La construction de la tour a
également exigé 22 millions d’heures de travail.
Avec une zone bâtie totale de 526 000 m², la tour Burj Khalifa comprend
170 000 m² d’espace résidentiel, plus de 28 000 m² d’espace de bureaux
alors que le reste est réservé à un luxueux hôtel. En 2003, fruit d’une
compétition architecturale internationale, l’agence d’architectes
SOM (Skidmore, Owings & Merrill LLP) a été sélectionnée parmi cinq
concurrents internationaux pour la mise en œuvre de la Burj Khalifa,
selon les plans d’architecture et d’ingénierie.
De par l’architecture de la National Commercial Bank et du terminal Haj
de l’aéroport de Jeddha, SOM n’est pas novice en matière de conception
architecturale au Moyen-Orient. SOM a intégré des éléments et des motifs
de l’architecture islamique traditionnelle, mais elle s’est principalement
inspirée d’une fleur du désert local, l’Hymenocallis, dont la structure
harmonieuse est l’un des principes d’organisation ayant été
utilisés pour la conception de la tour. Trois «pétales» réunis au centre
constituent une forme triangulaire et, plutôt que de répéter des motifs
identiques, le plan architectural alterne des étages en retrait et en
rotation.
Le plan en forme de Y est idéal pour les zones hôtelière et résidentielle,
les ailes permettant des panoramas exceptionnels ainsi qu’un passage
optimal de la lumière naturelle. Vues du dessus ou des fondations,
les branches du Y évoquent les coupoles en forme d’oignon de
l’architecture islamique. Les ingénieurs ont notamment fait pivoter
le bâtiment de 120 degrés par rapport à son emplacement d’origine
pendant le processus de conception afin de réduire l’impact des vents
dominants sur celui-ci.
D’un point de vue architectural, le bâtiment passe d’une base solide
à une section médiane exprimée verticalement, avec verre et ailettes
métallisées projetées faites d’acier inoxydable poli. Seuls des éléments
verticaux ont été utilisés dans la conception de la tour car sinon, la fine
poussière contenue dans l’air de Dubaï se déposerait sur tout élément
horizontal.
Pour l’architecture et l’ingénierie de la Burj Khalifa, l’agence d’architectes
SOM (Skidmore, Owings & Merrill LLP) a collaboré avec les développeurs
d’Emaar Properties PJSC, basés à Dubaï, pour redéfinir les possibilités
à l’égard des gratte-ciel géants.
Dotée d’un portfolio comprenant quelques-unes des plus importantes
réalisations architecturales des 20e et 21e siècles, notamment le
centre John Hancock et la tour Willis (précédemment appelée Sears),
l’agence SOM était en parfaite position pour relever ce défi.
Pour créer la Burj Khalifa, un bâtiment battant tous les records de
hauteur précédents avec ses 828 mètres, une équipe de plus de 90
concepteurs et ingénieurs ont allié technologie de pointe et conception
culturellement inspirée pour produire une icône mondiale qui servira
de modèle aux futurs centres urbains.
La tour Burj Khalifa est réellement le fruit d’une collaboration
internationale : plus de 60 entreprises consultantes dont 30 entreprises
de sous-traitance sur place venues du monde entier, ont participé
au projet.
Au plus fort de la construction, plus de 12 000 professionnels et
ouvriers qualifiés provenant de plus de 100 pays étaient à l’œuvre sur
le site, chaque jour. Les engins de levage de haute capacité les plus
rapides au monde, dont la vitesse peut
atteindre les 2 m/s, soit 120 m/min, ont
été utilisés pour déplacer les hommes
et les matériaux.
Plus de 45 000 m
de 110 000 tonnes, ont été utilisés pour
construire les fondations en béton et
acier, comptant 192 pieux, enterrés à plus
de 50 mètres de profondeur. La tour Burj
Khalifa a battu tous les records, utilisant
330 000 m3 de béton, 39 000 tonnes de
poutres en acier, 103 000 m² de verre
et 15 500 m² d’acier inoxydable gaufré.
La construction de la tour a également
exigé 22 millions d’heures de travail.
Les poutres en acier utilisées pour la
construction de la tour, mises bout à bout,
mesureraient plus du quart du tour de
la Terre. Le béton utilisé équivaut à un
trottoir de 1 900 km de long et au poids
de 110 000 éléphants. La tour vide pèse
500 000 tonnes.
La tour détient le record mondial de
l’installation la plus haute d’une façade en verre et en aluminium, à
une hauteur de 512 mètres. Le poids total d’aluminium utilisé pour
la tour Burj Khalifa est équivalent à celui de cinq avions A380, et la
longueur totale des ailettes à chanfrein arrondi en acier inoxydable
représente 293 fois la hauteur de la tour Eiffel à Paris.
Situado en el centro de la ciudad de Dubái, ha sido descrito como
«una ciudad vertical» y «una maravilla viviente». Es el Burj Khalifa: el
edificio más alto del mundo.
Construido por la compañía dubaití Emaar Properties PJSC, el Burj
Khalifa surge con elegancia de la arena del desierto para honrar a la
ciudad con una extraordinaria mezcla de arte, ingeniería y exquisita
artesanía.
La altura del Burj Khalifa, de 828 m y equivalente a la de un edificio
de 200 pisos, alberga 160 plantas habitables (más que cualquier
otro edificio del mundo). La torre se inauguró el 4 de enero de 2010,
coincidiendo con el cuarto aniversario del día de la coronación de su
alteza el jeque Mohammed Bin Rashid Al Maktoum, vicepresidente y
primer ministro de EAU y soberano de Dubái.
El Burj Khalifa no sólo es, casi indiscutiblemente, el proyecto de
construcción más interesante del mundo, sino también el objeto de
un buen número de récords. La torre se convirtió en la estructura más
alta del mundo fabricada por el hombre tan sólo 1.325 días después
de que comenzaran las tareas de excavación en 2004.
La construcción del Burj Khalifa supuso el uso de 330.000 m3
de concreto, 39.000 toneladas métricas de armazones de acero,
103.000 m2 de vidrio, 15.500 m2 de acero inoxidable gofrado y 22
millones de horas de mano de obra, cifras todas ellas sin precedentes
en el sector.
Los 526.000 m
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de superficie útil con los que cuenta el Burj Khalifa se
dividen en 170.000 m2 de espacio residencial, más de 28.000 m2 de
espacio para oficinas y un hotel de lujo que ocupa el espacio restante.
El estudio de arquitectura Skidmore, Owings & Merrill LLP (SOM) fue,
tras su elección como resultado de un concurso de diseño internacional
celebrado en 2003 en el que participaron cinco estudios de todo el
mundo, el responsable de ejecutar las tareas de arquitectura e ingeniería
que fueron precisas para hacer realidad el Burj Khalifa.
Tras haber diseñado con éxito la terminal Haj del aeropuerto Jeddah
y el edificio de la entidad bancaria National Commercial Bank, podría
decirse que el estilo arquitectónico de Oriente Próximo no era un campo
por explorar para SOM. Aunque el estudio de arquitectura incorporó
patrones y elementos característicos de la arquitectura tradicional
islámica, su auténtica musa fue una flor del desierto muy popular en
la región (la Hymenocallis), cuya armoniosa estructura empleó como
principio organizativo en el diseño de la torre. Este se fundamenta en
tres «pétalos» dispuestos en forma triangular y unidos por la parte
central que, en lugar de seguir patrones idénticos, descienden en
altura y rotan sus plantas sucesivamente.
La planta del edificio, en forma de Y, resulta ideal para el uso residencial
y hotelero, ya que maximiza las vistas al exterior y fomenta la penetración
de luz natural. Vistas desde la parte superior o desde la base, las puntas
de la Y evocan cúpulas bulbosas, tan características en la arquitectura
islámica. Durante el proceso de diseño, los ingenieros optaron por girar
el edificio 120 grados en relación con su posición original con objeto
de reducir la resistencia a los vientos preponderantes.
En términos arquitectónicos, el edificio parte de una sólida base cuya
manifestación se funde en una sección intermedia vertical expresada
empleando placas de metal proyectado (acero inoxidable pulido) y vidrio.
Esta sección contiene exclusivamente elementos verticales con el fin
de evitar que la fina arena que viaja suspendida en el aire de Dubái
Para las actividades de diseño e ingeniería del Burj Khalifa, Skidmore,
Owings & Merrill LLP (SOM) decidió contar con la constructora dubaití
Emaar Properties PJSC, junto a la que pondría nuevos límites a lo que
hasta entonces había sido posible en relación con los rascacielos de
gran altura.
SOM, que contaba con una diversa cartera de logros arquitectónicos
alcanzados durante los siglos XX y XXI (entre ellos el Centro John
Hancock y la Torre Willis, antes conocida como Torre Sears), era el
estudio de arquitectura perfecto para ejecutar esta desafiante tarea.
En el Burj Khalifa –cuyos 828 m pulverizaron todas las alturas alcanzadas
hasta entonces–, el equipo, formado por más de 90 diseñadores e
ingenieros, combinó la más avanzada tecnología con un diseño de
influencias culturales para crear un icono internacional que serviría
El Burj Khalifa es un auténtico producto de la colaboración internacional:
más de 60 expertos y 30 contratas de todo el mundo participaron
activamente en el proyecto.
En el momento álgido de la construcción acudían diariamente a
trabajar más de 12.000 profesionales y especialistas procedentes de
más de 100 países. El desplazamiento de personal y materiales se
llevó a cabo empleando las grúas de construcción de alta capacidad
más rápidas del mundo; su velocidad alcanza los 2 m/s (120 m/min).
Los cimientos, de concreto y acero,
compuestos por 192 pilares y enterrados
a más de 50 m de profundidad, exigieron
el uso de 45.000 m3 de concreto y su peso
asciende a más de 110.000 toneladas
métricas. El Burj Khalifa supuso el uso
de 330.000 m3 de concreto, 39.000
toneladas métricas de armazones de
acero, 103.000 m2 de vidrio, 15.500 m2
de acero inoxidable gofrado y 22
millones de horas de mano de obra,
un auténtico récord en el sector de la
construcción. Si se colocara en línea
recta todo el acero reforzado que
contiene la torre, se alcanzaría una
distancia equivalente a más de la cuarta
parte de la circunferencia del planeta. El
concreto empleado permitiría construir
un andén de 1.900 km de longitud y su
peso es igual al de 110.000 elefantes. El
peso del edificio vacío es de 500.000
toneladas métricas.
Con 512 m, la torre ostenta el récord mundial de instalación de una
fachada de aluminio y vidrio a mayor altura. El peso total del aluminio
instalado en el Burj Khalifa equivale al de cinco aviones A380; la
longitud total de las placas del remate de acero inoxidable cubriría
293 veces la altura de la Torre Eiffel de París.
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Fic h a de c arac t e r í st i c as d el B u rj K h alifa
Situación:......................... Centro de Dubái, Dubái (Emiratos Árabes Unidos)